Jérémy Kalfon : «Temporairement, l'État de droit accepte que l'on fasse quelques exceptions, mais c'est temporaire et ça doit être particulièrement encadré. Là ce qui est proposé, ce n'est pas temporaire»
  • il y a 5 mois
L'avocat Jérémy Kalfon réagit au sondage sur la rétention de sureté systématique des détenus radicalisés en fin de peine, auquel ont répondu les Français : «Temporairement, l'État de droit accepte que l'on fasse quelques exceptions, mais c'est temporaire et ça doit être particulièrement encadré. Là ce qui est proposé, ce n'est pas temporaire».
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