Michel Mercier est mylokaphéphile, c’est-à-dire collectionneur de moulins à café. Une passion dévorante qui prend de la place, beaucoup de place. « Je n’ai plus d'endroits pour les exposer », concède le passionné. Michel, policier à la retraite, a débuté sa collection en 1998, après être tombé, dans une brocante, sur un moulin à café mural provenant de Valentigney (Doubs) dont il est originaire. Il en possède aujourd’hui 672.