Démo - Le Judo de Firminy nous offre une immersion olympique
Cette semaine, notre exploration des disciplines olympiques des JO 2024 à Paris nous conduit sur les tatamis. Plongeons dans l'univers du judo en discutant des JO avec Priscilla Gneto, médaillée de bronze aux JO de 2012.
FOOTBALL - Les contrats civiques dans le monde du foot
Aujourd'hui, explorons le domaine des contrats civiques. Rencontrons Jessim Raph et Yamine, trois jeunes investis à fond dans leur club, passionnés par le football.
Benoit Bayet rêve de caramboler en Master
Depuis son plus jeune âge, Benoit Bayet pratique le billard carambole et représente fièrement le club de Montbrison (CBM). Double champion de France N1 au cadre, il nourrit aujourd'hui le rêve de monter sur le podium en catégorie master pour rivaliser avec les plus grands. Entre découverte du billard français et anecdotes sur ses grandes victoires, Benoit nous partage son parcours.
Lyndsey Thomas, championne du monde de kick-boxing
Passée professionnelle en juin dernier, Lyndsey Thomas, la princesse du ring, a décroché le titre de championne de France en K1. Direction le Portugal, où la jeune femme a représenté la France aux championnats du monde de kick-boxing. Alors qu'elle visait un podium, elle a finalement décroché l'or.
Un premier historique pour le Hockey Club Stéphanois
Les 16 et 17 décembre prochains, le Hockey Club Stéphanois (HCS) accueillera le premier tour de Nationale 1 de hockey en salle, la version hivernale du hockey sur gazon. Un événement historique pour le club, une première pour ce club qui reçoit une compétition d'une telle envergure est organisée en terre stéphanoise.
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Passée professionnelle en juin dernier, Lyndsey Thomas, la princesse du ring, a décroché le titre de championne de France en K1. Direction le Portugal, où la jeune femme a représenté la France aux championnats du monde de kick-boxing. Alors qu'elle visait un podium, elle a finalement décroché l'or.
Un premier historique pour le Hockey Club Stéphanois
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00:00 *Musique*
00:16 *Applaudissements*
00:18 - Ça brille ! - Ouais, ça brille, faut que ça...
00:20 *Rires*
00:21 Bonsoir à toutes et à tous, on est de retour sur Plateau Sports.
00:23 - Tu me la prêtes ? - Tu fais attention.
00:25 - Je fais attention, elle revient du Portugal !
00:27 On aura forcément une championne du monde, une coupe, eh oui !
00:29 Parce que la loi, elle va briller cette semaine.
00:31 Exactement !
00:33 En public, Sportset. Ah, on est en public ?
00:35 Ou pas ? *Cris*
00:37 Ah bah voilà ! Alors, on sera en plus tardé !
00:39 Est-ce qu'on va tenir les 42 minutes ?
00:41 - Je pense pas ! - En fait, c'est un peu de challenge,
00:43 - chaque semaine. - Mais si, si, si !
00:45 C'est le sport, sur Sportset, c'est tenir les 42 minutes.
00:47 - Exactement ! Alors, on va parler de
00:49 OK en salle, sur gazon.
00:51 Enfin, on en parlera avec vous, Blondine, qu'on applaudit bien fort.
00:53 *Applaudissements*
00:55 - On va parler de quoi, exactement ? *Applaudissements*
00:57 - Alors, on va parler d'un événement assez exceptionnel.
00:59 - THE événement !
01:01 - The événement !
01:03 - A Saint-Etienne, qui va se dérouler à la salle Omnisport.
01:05 La belle salle Omnisport que la ville nous a mis à disposition
01:07 pour organiser un championnat de France
01:09 où il y a 10 équipes de toute la France qui vont venir.
01:11 - Et voilà, on en parlera avec vous dans quelques instants.
01:13 A côté de vous, Adrien Ponsard, qu'on applaudit bien fort.
01:15 *Applaudissements*
01:17 - On va parler de quoi avec vous ?
01:19 - On est contre la civique, aujourd'hui, des petits jeunes qui s'investissent dans les clubs
01:21 et qui font un bien fou à la France.
01:23 - Et on va parler de quoi avec vous ?
01:25 - On est contre la civique, aujourd'hui, des petits jeunes qui s'investissent dans les clubs
01:27 et qui font un bien fou à nos clubs digériens.
01:29 - Exactement ! On parlera avec vous, portrait sportif, cette semaine, avec Lilian Barbe.
01:31 - Bonsoir, bonsoir à tous.
01:33 Effectivement, on va aller du côté de Montbrison,
01:35 au club de bière de Montbrison.
01:37 On rencontre Benoit Bayet, double champion de France,
01:39 nationale une de bière Carambol.
01:41 - Parce que c'est un peu votre domaine, le bière Carambol.
01:43 - Ah bah moi, je suis très bière Carambol.
01:45 - Ouais, exactement.
01:47 Et Lola, ça nous fait plaisir, une fois par mois,
01:49 baisser notre rayon de soleil, notre mère Noël à nous.
01:51 - C'est vrai qu'il reçoit les lettres du Papa Noël, en direct.
01:53 - Mais tout à fait, en direct.
01:55 Bonsoir Julien, bonsoir à tous.
01:57 Et ce soir, je reviens avec ma star,
01:59 ma star pour ami haute,
02:01 Lince Thomas, qu'on a vue grandir au sein de Sportset.
02:03 Et oui, on peut dire maintenant,
02:05 ça fait 10 ans que je suis là,
02:07 donc je l'ai vue grandir et je suis très heureuse de la recevoir.
02:09 Elle va nous présenter son l'or,
02:11 l'or aux championnats du monde.
02:13 - Exactement. On va ouvrir une grande page
02:15 féminine, au moins pendant bien 20 minutes,
02:17 la moitié de l'émission, presque.
02:19 Alors, avant, quelques images,
02:21 si vous voulez bien. Il s'est passé des choses
02:23 dans le ciel ligérien, même stéphanois,
02:25 cette semaine. Alors, forcément,
02:27 aujourd'hui, nous sommes le lundi 4.
02:29 Si c'est samedi, c'est passé,
02:31 désolé, mais c'est la Sainte Barbara,
02:33 Sainte Barbe. - La Sainte Barbe.
02:35 - Oui, oui, c'est quand même... Ah oui, on peut applaudir.
02:37 Des origines, quand même.
02:39 Des stéphanois, quand même. Alors, c'était du côté
02:41 du Picouriau, mais il s'est passé aussi,
02:43 Lilian, quelque chose du côté
02:45 du boulevard... Enfin, de la Saint-Hélion.
02:47 - Oui, c'est ça. Juste en face de...
02:49 Entre la mosquée et le parc expo,
02:51 vous savez, c'est le départ de la Saint-Hélion.
02:53 Et cette année, pour ce départ,
02:55 ils ont décidé, l'Asie Saint-Hélion, de mettre
02:57 en place 300 drones dans
02:59 le ciel pour faire un show... - Attends, laissez-moi compter.
03:01 1, 2, 3... - C'est assez impressionnant.
03:03 - Ils l'ont dit, ils l'ont dit !
03:05 - C'est pas du fait, qu'il y a... - C'est un show, en fait,
03:07 de drones lumineux. - 6 mois de préparation.
03:09 - C'est ce que j'allais vous demander. Combien de temps ? - Exactement. Ils s'entraînent, donc...
03:11 Bah, ils s'entraînent pas chez nous, ils s'entraînent à Lyon-Paris,
03:13 dans l'hypodrome... - Mais on y sera l'année prochaine.
03:15 - Mais il faut être dans un... Ils prennent la place de l'hypodrome
03:17 pour pouvoir s'entraîner au-dessus, c'est incroyable.
03:19 - On y sera l'année prochaine, en plus c'est 70 ans de la Saint-Hélion,
03:21 donc... On enverra Yacine ?
03:23 - Non, moi j'irai. - Pourquoi pas ?
03:25 - Tu fais la complète. - Où c'est enregistré ?
03:27 - Oh là là, voilà. - C'est lui, c'est fait.
03:29 - Non mais pas Yacine pour faire la Saint-Hélion.
03:31 - Ah non, pour savoir comment ça se passe.
03:33 - Comment ça fonctionne les drones, exactement.
03:35 - Blandine, on va mettre un super titre,
03:37 une première historique pour ce club de hockey sur gazon,
03:41 mais qui, ce période hivernale, se passe en salle.
03:43 - C'est ça. - Forcément, il y avait de la neige,
03:45 en plus ce week-end. Déjà, on va voir l'affiche,
03:47 mais rapidement, le hockey sur gazon, c'est quoi, exactement ?
03:51 - Alors, c'est un sport olympique, depuis très très longtemps.
03:55 C'est vrai qu'il y a une version l'hiver où on joue en salle,
03:57 mais c'est un sport collectif, en fait, 11 contre 11,
04:00 comme au foot, le même principe, on met un but,
04:03 on se fait des passes. - Il y a un gardien.
04:06 - Il y a une période où il y avait beaucoup de clubs,
04:09 à Saint-Etienne, il y avait les dragons, les lézards, je sais pas.
04:13 - Non, non, mais sur la Loire, il y a Montbrison,
04:17 avec qui on est partenaire, et le hockey club Stéphano.
04:20 Il y a deux clubs dans la Loire, et sur Lyon, un peu plus développé,
04:23 et on fait beaucoup de championnats contre eux.
04:25 - On va revoir l'affiche, justement. Pourquoi c'est une première,
04:27 Fiona, Mudem et Julien, je ne comprends pas, pourquoi c'est une première ?
04:30 Il n'y a pas eu de club de l'année.
04:32 - Justement, l'année dernière... - C'est limite bien.
04:35 - L'année dernière, on avait créé une équipe féminine
04:38 qui a super bien tourné, qui a fait le championnat régional,
04:41 nationale 2, et elles sont montées en nationale 1.
04:44 Et c'est cette année, l'accession en nationale 1.
04:48 - Et pour qu'on comprenne, nationale 1, c'est quelle division ?
04:52 - C'est le deuxième niveau français, au-dessus, il y a l'élite.
04:55 - C'est la Ligue de... - C'est la Ligue 2, c'est exactement ça.
04:59 - Nous, c'est notre F. - Il faut parler foot, des fois,
05:01 pour qu'on comprenne. - Lilian, on voulait dire un truc, vous.
05:04 - Alors... - Attention, sortez les mouchoirs.
05:07 - Non, par rapport à notre grande championne ?
05:10 - Oui, c'est ça. - Par rapport à Victoire Arnault ?
05:12 - Oui, parce que vous avez eu Victoire Arnault au club.
05:14 - Oui, voilà, Victoire Arnault. - Et c'est vrai que,
05:16 on en parlait justement juste avant l'émission, que Victoire Arnault,
05:19 c'est le premier portrait de sportif que j'ai fait pour Sports 7.
05:21 - Qu'est-ce qu'il est nostalgique, ce gars ? - C'est pour ça.
05:23 - Non, mais mine de rien, c'est bien, parce qu'elle est encore au sommet.
05:26 - Exactement. Alors, qui est Victoire Arnault ?
05:28 - Alors, Victoire, c'est une petite jeune du hockey club séphanois,
05:30 qu'on a formée, elle est arrivée il y a... Elle avait 8 ans, 9 ans.
05:34 Elle a joué au hockey, donc, tout au début, et ça marchait bien pour elle.
05:39 Elle a commencé à aller jouer à Lyon, pour jouer...
05:41 - C'est votre lot de terrain, à vous ? - Un peu, oui.
05:43 - Oui, mais elle n'est pas rentrée au club.
05:45 - Petit à petit, elle est sélectionnée dans les équipes de France,
05:47 les équipes de France U18, U21, et là, elle est en France A,
05:50 aux portes des Jeux Olympiques, elle est encore dans le groupe.
05:52 Normalement, si tout va bien, je croise les doigts pour elle.
05:55 Une petite blessure, là, en ce moment, qui fait qu'elle était là ce week-end,
05:58 justement, parce que... - Eh bien, justement...
06:00 On l'écoute un petit peu ? - Oui, tout à fait.
06:02 Elle est venue nous voir pour un tournoi amical.
06:03 - Alors, si vous voulez, votre caméra, elle est là.
06:05 - Ah oui, pardon. Je regarde de travers.
06:08 Du coup, elle était là, gentiment. - C'est bon, c'est bon.
06:11 - Ça se passe très bien. On est un grand groupe, là, actuellement.
06:14 On est à l'autre part. On fait beaucoup de musculation
06:16 pour essayer d'être en forme physiquement.
06:18 Moi, j'ai juste eu un petit pépin physique.
06:21 Je vais revenir d'ici quelques semaines, mais on est bien, on est en forme.
06:25 On a hâte de pouvoir jouer ces Jeux de Maroc, moi.
06:29 Alors, j'ai commencé... J'avais 9 ans.
06:34 J'ai découvert le hockey grâce au HCS, c'est là où j'ai fait tous mes débuts.
06:38 Donc, c'est un grand plaisir de revenir ici et de revoir un peu toutes ces têtes
06:42 et de voir que ça continue et que les jeunes commencent à progresser aussi.
06:48 C'est chouette, en fait.
06:50 - Elle est aux portes des Jeux olympiques. - Oui, tout à fait.
06:55 - Une bonne porte. Elle a la main sur la porte.
06:57 - Pour Mélanie Saint-Etienne, c'est quand même un sacré...
06:59 - C'est ça. Elle est gentille de venir. À chaque fois qu'elle est là, elle vient au club.
07:02 Elle fait signer des autographes aux petites. Hier, elles étaient toutes à ses pieds.
07:06 - Elle joue où ? - Là, elle joue en Belgique.
07:08 - Ah oui, mais Belgique, c'est un peu le berceau, non ?
07:10 - Oui, c'est ça. Toutes les meilleures joueuses d'équipe de France sont presque toutes dans les clubs belges.
07:13 Il n'y en a que ça. - J'ai trouvé qu'elle avait un petit accent, une fois.
07:16 - Non, pas encore. - Et est-ce que ça attire, aujourd'hui, le hockey ?
07:21 - Oui, c'est difficile quand même. On a un petit peu du mal,
07:24 mais on arrive à peu près à avoir des équipes. - Ça tient bien, quand même, chez vous.
07:28 - Les filles, on fait beaucoup de partenariats. Ça marche bien avec Lyon.
07:33 - Avec qui ? - Avec Lyon.
07:35 - On connaît pas, nous. - Au Quai Saint-Gazan.
07:37 - On commence d'un côté. - Marie, qui est derrière,
07:40 elle joue dans l'équipe de Lyon, en élite. - Il ne peut pas y avoir que des qualités, Marie.
07:44 - Et pour la période de hockey en salle, c'est à notre championnat, là, qu'elle joue.
07:47 - Ah oui. - Saint-Etienne.
07:48 - Parce que là, justement, on en parlait avec Fiona.
07:50 Elle dit "mais comment ça se fait qu'ils ont eu le partenariat en salle ?"
07:53 Ça sera où, déjà, la salle ? - Salle Omnisport de Saint-Etienne.
07:56 - Ils sont très frilou, la ville de Saint-Etienne, avec leur revêtement.
07:58 - Ah mais ils font ça bien, parce que justement, les gymnases de Saint-Etienne sont nickels, partout,
08:03 grâce à cette... - Parce que là, c'est à Montréal, là.
08:05 - Là, c'est à Montréal, la gymnase Marc Seguin.
08:07 Mais la salle Omnisport, elle est nickel, et nous, on est contents de l'utiliser.
08:11 - Et comment vous avez fait, pour les amadouer ?
08:13 - Ils font confiance, ils ont confiance. - Ah mais ils avaient une peur, parce que...
08:16 - C'est un sport, malgré tout, qu'on peut quand même jouer en salle, en hiver, donc...
08:20 - Oui, c'est ça. - Mais c'est normalement les revêtements...
08:21 - Ils avaient peur des cannes. - Les revêtements doivent peut-être adapter.
08:24 - Non, non, mais la crosse est en bois, sur un revêtement, un Taraflex dur, il n'y a aucun souci.
08:30 - Vous avez même fait une démo devant les élus, pour leur montrer que ça ne s'abîmait pas, c'est vrai ou pas ?
08:34 - Oui, oui, c'est vrai, parce qu'on a un défi, avant les Jeux Olympiques.
08:37 Il y a 2024 personnes qui doivent être initiées, avant juillet 2024.
08:42 - Et Fiona et moi, on va tester. - Et Fiona, tout à l'heure, vous allez tester,
08:45 vous allez me signer. - J'ai mis la tenue pour, c'est parfait.
08:47 - Il n'en restera que 2022. - Oui, c'est ça.
08:49 - Magnifique. - Exactement.
08:50 - La tenue à la couleur du club, apparemment. - Pardon ?
08:52 - La tenue à la couleur du club. - Oui, mais déjà, je me suis mise aux couleurs...
08:55 - Aux couleurs stéphanoises, donc c'est pas... - Aux couleurs de ces rideaux de la maison.
08:58 Alors, du coup, on va juste revoir une dernière fois cette affiche.
09:01 Ça sera le 16 et... - 17 décembre.
09:04 - Exactement. - Pendant deux jours.
09:05 - Pendant deux jours, ouvert public, entrée libre, comment ça se passe ?
09:09 - Entrée gratuite, voilà. Une grosse organisation, parce qu'il y a des matchs tous samedi après-midi,
09:12 toutes les heures, vous avez un match. Les dix équipes se rencontrent, c'est le premier tour.
09:15 Et en trois week-ends, toutes les équipes se jouent.
09:17 - Elle m'a envoyé un off, le croquis du terrain. J'ai dit non, je ne pourrais pas le mettre à la télé,
09:22 il y avait trop de flashs à part des retours. - Là, vous attendez combien de personnes, à peu près ?
09:25 - Eh bien, on ne peut pas se rendre compte, vraiment, parce que c'est la première fois.
09:28 Du coup, on va... Je ne sais pas, je ne me rends pas compte.
09:31 Déjà, en termes d'équipe, il y a dix équipes. - Alors, la salle Omnisport, on va se séparer en deux ?
09:36 - Ah, pas du tout. - Trois.
09:37 - En trois ? - Trois.
09:38 - Le milieu étant le terrain de jeu, avec toutes les tribunes, toutes du long.
09:43 - D'accord. - Et de chaque côté, il y aura l'espace échauffement pour les équipes.
09:46 Et de l'autre côté, un petit accueil... - Espace détente.
09:48 - Détente. - Très bien.
09:49 - L'enjamb. - Exactement. Allez, une petite virgule et on reste encore avec les Jeux Olympiques.
09:54 Lilian, au mois de janvier, je sais que vous allez approcher la flamme olympique.
10:04 - Il y a quoi en janvier ? - La flamme olympique.
10:06 - La flamme olympique ? - La flamme olympique !
10:09 - Je ne suis pas au courant. - Alors, il n'a pas le droit de le dire, mais je le sais.
10:12 Et on reste toujours dans les JO, justement, puisque normalement, c'est la semaine de Damien.
10:18 Vous savez, il est en direct. Et là, on ne pouvait pas parce que c'était dimanche, dimanche dernier.
10:22 - C'était compliqué. - C'était un peu compliqué de faire un direct, en différé.
10:26 - Donc, ce n'est plus un direct, c'est un sujet. - On a accord.
10:28 - Exactement. Il y avait une championne olympique judo, médaillée, 3e médaille du monde.
10:34 - Championne du monde, championne d'Europe, championne olympique.
10:36 - En moins de 57. En judo. - En judo.
10:39 - Contre la championne olympique.
10:40 - Damien va se battre contre la championne olympique, qui était présente au fier moment,
10:44 qui s'est transformée l'instant d'un moment en dojo.
10:50 - On le regarde.
10:51 - Salut à tous, on se retrouve aujourd'hui à Firmini, au fier moment,
10:55 qui s'est transformée en dojo, regardez, pour la venue d'une médaille olympique,
10:59 Presidia Netto, qui est juste en bas, kimono bleu.
11:02 On va essayer d'aller l'affronter. On m'a prévu, regardez, un petit kimono.
11:08 Je vais vite l'enfiler et puis je vais essayer d'aller la retrouver sur le tatami.
11:12 - Dis-nous un peu, qu'est-ce qui se passe ici ?
11:19 Stage de judo sur un format un petit peu particulier ?
11:22 - Les judokas de mini poussin jusqu'à Benjamin le matin et l'après-midi de minime jusqu'à senior,
11:29 même vétéran, et donc ils auront la chance et l'exclusivité d'être avec Presidia Netto,
11:35 membre de l'équipe de France et du coup multimédailler.
11:38 - C'est surtout bien de voir l'émulation qu'arrivent à garder les profs,
11:42 surtout parce que nous on est quand même assez loin de ce côté club, association,
11:45 on est vraiment à fond dans nos projets.
11:47 Donc dès qu'on sort de là et qu'on voit le nombre surtout de filles,
11:50 parce que moi quand j'ai commencé, il n'y avait pas autant de filles sur les tatamis,
11:53 donc là il y a énormément de filles, il y a énormément de jeunes qui font du sport,
11:56 premièrement, donc c'est génial.
11:58 - Qu'est-ce que ça apporte pour le club d'avoir une championne olympique qui vient faire un stage chez vous ?
12:02 - De mettre en avant le club, donc le dojo olympique et sportif,
12:05 puis également de participer à la formation des judokas,
12:09 donc évidemment c'est une expérience énorme.
12:11 - Bon, ça y est Julien, j'ai mis mon kimono.
12:14 - Vu l'équipement que tu as, on peut s'organiser très rapidement un combat,
12:17 soit entre nous, soit directement auprès de Presidia,
12:20 qui sera ravie de faire combat avec toi.
12:22 - Je relève le challenge, je vais vite y aller alors du coup.
12:24 - Ouais, je vais essayer de te faire tomber, on va commencer.
12:26 - Moi aussi je peux te faire tomber.
12:28 - Mais t'auras pas de main.
12:32 - Regarde, saisie de Kumikata, on appelle ça, prise de Kumikata,
12:36 le déplacement des deux combattants,
12:39 et l'objectif c'est de projeter le partenaire sur le dos.
12:43 Très bien, tu vises sous le sol, ou finir par une pied-de-bras.
12:49 - Il faut taper hein. - Il faut taper avec ses deux mains.
12:52 - J'y ai cru un moment, je vous cache pas que j'y ai cru, j'ai pensé à faire tomber.
12:55 - Oui, elle est trop forte.
12:56 - C'est pas mal, déjà les bonnes sensations, bon déplacement,
12:59 après en plus elle essaie une attaque, sans même connaître, donc c'est pas mal.
13:02 Après nous on anticipe beaucoup, c'est pour ça,
13:05 et la clé de bras derrière, désolé.
13:07 - Même quand elle est à terre, t'y arrives pas.
13:15 - Du coup, elle te coupe tous tes espoirs assez rapidement en fait.
13:19 - C'est fusionnel, c'est mignon à cet âge-là,
13:21 et puis ils ont vraiment envie, et puis de les voir sourire,
13:24 en fait y a rien de mieux, donc c'est vraiment cool.
13:26 - Prêt ?
13:27 - Ah tu l'as eu !
13:30 - Il a lutté hein.
13:31 - Moi j'allais dire, je trouve toujours qu'il a du courage.
13:33 - Elle était sympa hein.
13:34 - Bah...
13:35 - Elle était sympa hein.
13:36 - Oui, puis il a du courage quand même.
13:37 - Mais il voulait pas, il voulait pas être ridicule,
13:39 mais je dis "mais c'est normal c'est une championne olympique,
13:41 c'est normal que tu sois ridicule".
13:42 - Par contre pour avoir été là à ce moment,
13:44 et ben je peux vous assurer que le lien qu'il y a entre une championne olympique
13:48 et les petits, c'est quand même fou.
13:50 On peut se dire "ça a pris le melon, on est championne olympique".
13:54 - Mais pas au judo monsieur.
13:55 - Peut-être en hockey, mais pas au judo.
13:57 - C'est incroyable le lien en tout cas qu'il y avait,
13:59 et cette envie d'apprendre.
14:01 - Et la magie aussi.
14:02 - Et c'était au firmament, c'était beau ce moment du judo,
14:06 c'est un sport que j'adore.
14:07 - Surtout le week-end.
14:08 - D'ailleurs vous partagez quoi, le même régime alimentaire
14:10 avec cette championne ?
14:11 - Je pense.
14:12 - Dans quelques instants c'est votre invitée.
14:14 - C'est ma chère invitée.
14:15 - Elle revient du "push to goal".
14:17 - Oui.
14:18 - Vous adorez le "push to goal".
14:19 - Moi j'adore surtout quand je vois qu'on ramène l'or et la coupe à la maison.
14:22 Est-ce que déjà on pourrait lui faire un petit tonnerre d'applaudissements ?
14:24 - Non, déjà il y a la virgule.
14:25 - La petite virgule et après petit tonnerre d'applaudissements.
14:26 - Ah bah oui je pense bien quand même.
14:28 - Ah bah ouais !
14:34 Ramenez la coupe à la maison !
14:37 - Donc c'est un honneur de recevoir l'initié Thomas ce soir sur notre plateau
14:41 qui revient, comme on le disait tout juste, des championnats du monde
14:44 et qui nous a remporté l'or.
14:45 Donc une nouvelle fois s'il vous plaît.
14:47 - Ah bah oui.
14:50 - Alors on va en parler forcément de cette coupe.
14:53 Mais dans la crédit de Fiona et comme elle l'a dit en préambule,
14:56 on vous a vu grandir.
14:57 Et les gens vous découvrent seulement aujourd'hui dans la presse.
15:00 On l'a vu cette photo.
15:02 C'est notre papa qui a dû la prendre la photo en 15 mois.
15:04 - C'est ça.
15:05 - Qui l'a envoyée à toute la presse.
15:06 Mais c'est vrai que l'INSEE on l'a vu grandir.
15:08 - Bah l'INSEE nous on vous a vu grandir.
15:10 Et c'est vrai que vous avez fait, je pense, dès vos premiers pas,
15:14 les pas avec la boxe et menés par votre papa.
15:18 Comment en tant que petite fille, en tant que fille,
15:21 on entre dans ce milieu ?
15:23 - Alors moi du coup j'ai eu un parcours un peu particulier
15:28 parce que du coup mon père il était déjà dans le monde de la boxe.
15:32 - T'étais un peu dessinée du coup.
15:34 - C'était un peu tout tracé on va dire.
15:37 Il m'a quand même fait essayer des sports de fifi.
15:41 - C'est-à-dire ?
15:42 - La danse.
15:43 - Attends on a eu la danse classique la semaine dernière.
15:46 - Et qu'est-ce qui vous a accrochée ?
15:48 Et qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui vous êtes aussi performante
15:51 et vous vous donnez autant dans ce sport ?
15:53 - On va voir quand même parce qu'on a pris dans tout le désordre.
15:56 On a des photos de vous enfant.
15:58 On va le voir, pas le podium, enfant.
16:00 Seb, c'est vrai que vous êtes toute petitote.
16:03 Déjà petite on a ça dans le sang quoi non ?
16:06 - Bah je pense que ouais j'ai vraiment...
16:09 - On dirait Lilian dans un...
16:12 - J'ai vraiment grandi là-dedans en fait.
16:14 Ma salle de jeu c'était la salle de boxe.
16:17 J'avais déjà le style à l'époque.
16:20 Et ouais et puis du coup j'ai commencé les compétitions à 8 ans
16:25 et puis tout doucement je suis restée là-dedans
16:27 et maintenant ça fait...
16:29 - Finalement en voyant que vous avez performé
16:32 et que vous continuez à performer
16:33 c'est ça qui vous a donné aussi cette envie de poursuivre
16:35 et de continuer dans cette discipline ?
16:37 - Ouais bien sûr quand j'ai vu que tout doucement
16:39 je commençais à avoir des titres tout ça.
16:41 - On voit le podium quand même.
16:43 Quand on voit ça je sais pas si vous avez revu ces images de podium.
16:47 L'équipe de France est venue vous chercher suite peut-être
16:51 quand vous êtes devenu professionnel il y a un an ?
16:53 - Oui c'est ça.
16:54 - Et on vous dit tout de suite ça y est l'équipe de France c'est pour vous ?
16:58 - En fait l'équipe de France c'est un peu...
17:00 - Et où dit-il des chants là-dedans ?
17:01 - L'équipe de France c'est un peu particulier
17:03 parce que notre place elle est jamais acquise.
17:05 C'est-à-dire que sur chaque stage, chaque détection
17:09 il faut toujours être au top
17:10 parce qu'à tout moment on peut...
17:13 enfin on est sur un siège éjectable.
17:15 - Et je trouve que votre discipline elle regroupe ça
17:17 c'est-à-dire qu'il faut toujours être au top pour performer
17:19 parce que finalement on peut pas trop passer à côté
17:21 ou comme on en parlait un peu en off
17:23 rien que l'aspect alimentaire de devoir toujours se donner
17:26 ça vous demande quand même une préparation hyper intense.
17:29 - Et surtout, faut le dire, on parlait de Didier Deschamps
17:32 vous êtes professionnel mais faut travailler à côté.
17:34 - Oui bien sûr.
17:35 - Et puis surtout il y a les études aussi.
17:37 - Ouais c'est ça.
17:38 - Cinquième année d'ostéopathie.
17:40 - C'est la dernière.
17:41 - C'est la dernière.
17:42 - C'est la meilleure. La plus chère mais la meilleure.
17:44 Papa il va être soulagé après.
17:46 - Mais c'est sûr ça vous demande d'être sur tous les fronts
17:48 et pour revenir sur cette compétition
17:50 justement tout ne s'est pas passé
17:52 j'allais dire d'une manière très fluide et très simple
17:55 comme on peut s'imaginer en disant
17:56 j'étais la favorite de toutes et je suis arrivée et...
17:59 - Vous étiez favorite ? C'est vrai ?
18:01 - Alors l'année dernière j'ai fait un podium aux championnats d'Europe.
18:05 - Un podium, oui.
18:06 - Donc j'avais mes chances de faire un podium
18:09 après j'étais pas non plus favori parce qu'il faut savoir qu'on a un ranking
18:12 donc un classement et donc je faisais pas partie des...
18:15 - On est d'accord, oui j'avais vu.
18:17 - Oui c'est ça. C'est pour ça que c'était pas si fluide et si simple.
18:20 - Elle est passée en loose day comme ça.
18:21 - Il a fallu se donner et dans cette compétition
18:23 vous êtes quand même passée par des montagnes russes un peu émotionnelles.
18:26 - Oui bien sûr.
18:27 - Expliquez-nous le parcours, comment c'est passé ?
18:29 - Donc en fait quand on est arrivée le week-end
18:31 donc on a eu un week-end d'adaptation au Portugal
18:34 et ma compétition elle a débuté le lundi jusqu'au samedi
18:38 et donc j'avais un combat par jour.
18:42 Donc j'ai commencé en huitième, quart, demi et finale.
18:46 - Ça se passe comment le repos de jour en jour ?
18:49 Comment on fait pour se prendre un jour le mieux ?
18:50 - On monte en puissance.
18:51 - J'arrive pas à comprendre mais sur ce genre de discipline
18:53 on se prend des marrons, enfin faut quand même pouvoir encaisser
18:55 sur 24 heures après pouvoir remonter sur le ring quoi.
18:58 - Et ben on a juste un jour de récupération, même pas
19:02 parce que du coup il suffit qu'on ait boxé à 16 heures
19:05 et puis le lendemain on peut re-boxer à 11 heures.
19:07 - Ça fait pas 24 heures.
19:09 - Ouais je sais ça.
19:10 - Et ce qui est hyper, je trouve hyper fou aussi dans cette discipline
19:14 c'est que tous les matins l'insa a été pesée.
19:16 Ça veut dire qu'au-delà de ça il faut que tous les matins
19:18 elle puisse prouver qu'elle reste dans la catégorie pour pouvoir combattre.
19:22 Je trouve que tout ça, ça demande un tel entraînement
19:24 que ce soit physique, que ce soit alimentaire,
19:26 que ce soit psychique, que ce soit émotionnel.
19:29 Comment justement vous avez mené tout ça ?
19:31 - Et ben en fait au final on se rend pas vraiment compte
19:34 pendant qu'on y est parce qu'il y a l'enjeu.
19:37 Et moi en fait je m'étais vraiment dit
19:40 je pars sur cette compétition et je reviens sans regret.
19:43 Donc en fait chaque combat je le prenais comme une finale
19:46 et au final j'étais tout le temps dedans, hyper concentrée
19:51 et j'ai pas vu la fatigue s'installer.
19:53 On va dire la fatigue elle arrive là maintenant.
19:55 - Ouais c'est un endroit un peu fatigué.
19:57 - Là c'est l'aspect émotionnel quoi.
19:58 Et ce que vous disiez aussi c'est que le soutien
20:01 et le fait d'avoir été porté par vos proches,
20:03 que ce soit je pense ceux qui étaient restés ici en France.
20:05 - Parce que papa fait le déplacement.
20:06 - Oui, bien sûr.
20:07 - Il était là tout le long juste pour la finale ?
20:09 - Non, non il était là tout le long.
20:10 - Super.
20:11 - Mais quand c'est la partie équipe de France,
20:13 il peut pas intervenir ?
20:14 - Non, non, non.
20:15 Il était spectateur de tout ce qui s'est passé.
20:17 - Alors on va voir des images de ce papounet quand même.
20:20 On va voir des séquences émotions.
20:22 Il vous amène, c'est lui c'est quoi ?
20:24 C'est la figure paternelle forcément
20:26 et c'est lui qui vous porte ?
20:28 - Oui, bien sûr, ouais.
20:29 Il a tous les rôles.
20:31 C'est grâce à lui que j'en suis là aujourd'hui.
20:35 - C'est lui qui vous a, je pense que c'est lui aussi
20:39 qui vous a transmis cette passion
20:40 et qui vous donne peut-être aussi cette force de continuer.
20:42 - Bah regardez, on a l'incelle sur les épaules de papa
20:44 dans quelques instants, c'était énorme.
20:46 T'étais toute petite.
20:47 - Quand on est comme ça dans un sport
20:49 et qu'on est professionnels
20:51 et qu'on a finalement les personnes les plus proches de soi
20:53 qui nous soutiennent et qui nous poussent là-dedans,
20:55 ça nous donne une confiance supplémentaire, je pense,
20:57 pour performer, pour faire toujours plus
21:00 et finalement ne jamais baisser les bras.
21:02 - Tu pouvais parler avec ton papa ?
21:04 Il te conseillait ou c'était vraiment juste là pour encourager,
21:07 taper dans les clapes ?
21:09 Tu faisais les clapes, t'avais les clapes ?
21:11 - En fait, après je le voyais en dehors de la compétition.
21:16 - T'étais pas dans une bulle ?
21:18 - Pendant la compétition, les jours de combat,
21:21 j'étais vraiment dans une bulle.
21:23 Et là, c'est vrai qu'il n'avait pas le droit d'intervenir.
21:26 Donc je pense que c'était un peu frustrant pour lui.
21:28 - Et pour toi, non ?
21:30 - Aussi pour moi.
21:31 - Parce que vous n'avez pas l'habitude, normalement,
21:33 c'est lui qui te coache.
21:34 - Et puis quand on se déplace sur les compétitions en France,
21:37 on est tout le temps ensemble.
21:39 Il m'échauffe, c'est lui qui me coache.
21:41 - Donc là, il a fallu faire à part.
21:43 - Il y avait un autre rituel.
21:44 Et des fois, ça, quand on est sportif et qu'on a des rituels...
21:47 - Il envoyait des pigeons voyageurs.
21:49 - C'est vrai, il faut s'adapter, c'est pas si simple.
21:51 On a parfois des rituels un peu, comme on disait,
21:53 des trucs un peu magiques.
21:54 Si tu fais comme ça, comme ça, c'est bon, ça se passera bien.
21:56 Et finalement, oui, de là, c'est des gros changements.
21:58 - Il y a du monde donné pour combattre
22:00 qui se sont un peu déplacés aussi pour venir te voir ?
22:02 - Alors, j'avais mon papa et j'avais du coup le vice-président de mon club
22:07 que je considère comme mon tonton
22:09 qui est venu me voir aussi sur la compétition.
22:12 - Et de vivre ça, c'est quoi, émotionnellement parlant ?
22:15 - Ah, c'est incroyable.
22:17 - C'est incroyable, hein ?
22:18 - Oui, c'est juste incroyable.
22:19 - Et c'est quoi, la suite ?
22:20 On reste quand même dans un milieu compliqué chez les femmes,
22:23 il faut le dire, amateurs.
22:25 C'est quoi, la suite pour vous ?
22:27 - Alors là, la suite, maintenant...
22:28 - Tu as vu comme je te vouvoie ?
22:30 - Oui, ça fait bizarre.
22:32 L'objectif, ça va être de viser des organisations
22:36 un peu plus médiatisées
22:38 pour pouvoir boxer, du coup, des filles expérimentées.
22:43 Et puis après, toujours de continuer avec l'équipe de France,
22:47 les sorties à l'international,
22:49 pour essayer de...
22:50 - C'est ce que j'allais vous dire.
22:52 Après être championne du monde, on ambitionne quoi ?
22:55 - C'est de rester championne du monde.
22:57 - Oui, aussi, déjà de rester...
22:58 - Parce que la précédente, elle l'est restée longtemps.
23:00 - Oui, depuis 2012, elle était au sommet.
23:03 - Elle veut revenir, elle m'a dit.
23:04 Elle m'a envoyé...
23:05 - On change de catégorie ou on essaie de se maintenir ?
23:11 - Non, pour l'instant, je vais rester dans cette catégorie-là.
23:13 Parce que ça me va bien.
23:15 - Ça vous va bien, cette catégorie. Vous avez raison.
23:18 - Malgré tous les...
23:19 Comme on disait, c'est des efforts constants
23:21 et c'est une discipline à toute épreuve.
23:24 - Blandine, vous en pensez quoi ?
23:26 C'est beau !
23:27 - Ah oui !
23:28 Un grand respect.
23:30 - Oui, un grand respect pour, j'allais dire, une femme en plus.
23:34 - Une femme en plus, championne du monde, ses études.
23:36 - Dans ses domaines, avec des études quand même très intenses.
23:41 - On fait quoi, d'ailleurs, l'année prochaine ?
23:42 On fait quoi ? On cherche un cabinet ?
23:44 Ou s'est trouvé, on monte son propre cabinet ?
23:46 On est cabinet de l'équipe de France.
23:48 - Au long terme, j'aimerais ouvrir mon cabinet plus tard.
23:52 Je pense que sur la première année,
23:54 ça sera plus des remplacements, de la collaboration,
23:56 pour voir comment ça prend aussi au niveau de la boxe.
23:58 Puis pour pouvoir faire les deux aussi.
24:00 - Ah, faut, ouais.
24:01 - Voilà.
24:02 - Merci à vous. On peut l'applaudir bien fort.
24:04 Blandine, au sein du club, il y a bien des contrats civiques chez vous ?
24:10 - Oui.
24:11 - Ah, vous aimez ça.
24:12 - C'est des jeunes qui ont souvent une passion.
24:15 On les invite à partager et à nous aider sur des projets très spécifiques.
24:20 Par exemple, le défi.
24:22 C'est eux qui dirigent ça.
24:23 - Elle le place bien.
24:24 - Elle est très bien.
24:25 - C'est pas commercial.
24:27 - On ouvre une grande page, contrats civiques.
24:30 - Rien pour ça. Dans quelques instants,
24:37 on va prendre la direction de Michel Beaufouche-Rouleau.
24:40 - Michel Beaufouche-Rouleau.
24:41 - Vous aimez bien le champ de bouffe.
24:42 - J'aime bien le champ de bouffe.
24:43 - L'air est frais. Il fait frais, d'ailleurs.
24:45 - Il fait très frais, d'ailleurs, ce week-end.
24:46 - Il y a de la neige.
24:47 - Il fait très très frais, il y a de la neige, oui.
24:48 - Alors, c'est vrai que les contrats civiques,
24:49 on ne sait pas trop ce que c'est.
24:50 On entend parler, c'est un peu opaque.
24:52 Mais vous avez décidé de faire un sujet dessus.
24:54 - Déclaircir.
24:55 - Déclaircir tout ça, oui.
24:56 C'est vrai qu'on a la chance dans notre club
24:58 d'avoir des contrats civiques,
24:59 parce que c'est vrai que c'est mon club de cœur.
25:01 Et ça aide énormément tous les éducateurs qu'on a au club.
25:04 Parce que les éducateurs,
25:05 des fois ils sont un éducateur pour 12-13 enfants.
25:09 C'est hyper compliqué.
25:10 Et par catégorie, il y a une vingtaine, trentaine d'enfants.
25:15 - C'est comme un stagiaire.
25:16 - C'est un petit peu un stagiaire.
25:19 - Mais qui a peut-être un peu plus de responsabilité.
25:21 - Oui, il va chercher le café.
25:22 - Non, il ne va pas chercher le café.
25:24 On va leur demander, d'ailleurs.
25:25 Il faudrait qu'on y pense.
25:26 Les éducateurs demandent d'aller chercher le café.
25:28 Ils sont là, en fait,
25:29 déjà tous les week-ends, ils sont là pour mettre en place,
25:32 aider à mettre en place toutes les compétitions.
25:34 C'est-à-dire de mettre les terrains en place.
25:35 Il faut préparer les terrains,
25:36 vu que ce ne sont pas des terrains à sec.
25:38 - Ah, c'est eux qui la tondent ?
25:39 - Non, ils ne tondent pas la pelouse.
25:40 Ils posent toutes les pelouses, les cages.
25:42 Ils sont vraiment indispensables à un club.
25:44 - Ce week-end, il y avait quoi, justement ?
25:47 - Il y avait un petit plateau au Chambon-Feujeulle.
25:49 - C'était l'occasion d'aller les voir.
25:51 - C'était l'occasion d'aller les voir.
25:52 Et c'était vraiment intéressant,
25:53 malgré que beaucoup d'équipes ne soient pas venues à cause du temps.
25:55 - Ah oui, il faut avoir des plumes de neige, les amis.
25:58 - Mon contrat civique se passe très, très bien.
26:09 Depuis le début de la saison, c'est parfait.
26:12 Moi, je suis du lundi au jeudi,
26:16 de 6h à 7h30.
26:19 - Tous les soirs ?
26:20 - Tous les soirs, sauf le mercredi,
26:21 de 15h jusqu'à 18h.
26:23 Et je change plusieurs catégories.
26:27 Je fais des UC jusqu'aux U11.
26:30 Cet après-midi, j'ai préparé le plateau UC-Sucette,
26:34 au stade de Gaffard.
26:35 - En ce qui concerne mon contrat civique,
26:38 on essaie de fidéliser déjà nos jeunes qui sont en poste chez nous.
26:41 On leur donne une première formation d'éducateurs.
26:44 Et en même temps, on souscrit un contrat d'emploi civique.
26:48 Tout cela avec plusieurs organisations,
26:51 et notamment l'UFOLEP,
26:53 qui nous permet de joindre l'utile à l'agréable.
26:56 C'est-à-dire qu'on fidélise nos jeunes
26:58 en leur donnant une première expérience professionnelle,
27:00 mais aussi en leur transmettant des valeurs,
27:03 en leur donnant des consignes.
27:06 Ils ne sont jamais seuls.
27:07 Et ils sont là pour progresser et apprendre.
27:10 Au niveau de la rémunération,
27:11 ils touchent un petit salaire
27:13 qui correspond au travail qu'ils fournissent,
27:16 qui est pris en partie par le club
27:18 et en grande partie par les associations.
27:20 - Je suis aux alentours de 10 heures dans la semaine.
27:23 Je suis là pour aider les coachs
27:26 sur les entraînements, les mises en place d'exercices.
27:28 Pour écadrer les petits aussi quand ils font un peu n'importe quoi.
27:31 Les plateaux, je suis toujours à l'extérieur avec les entraîneurs,
27:35 pour aider les équipes.
27:36 Quand c'est à domicile, je viens un peu plus tôt
27:38 pour placer les terrains et préparer les équipes aussi.
27:45 - Quelle terreur ce petit blond, sinon rien.
27:48 - C'est vrai qu'on en parlait un peu en off,
27:51 mais pour un club, est-ce que déjà c'est rentable ?
27:54 - Ah ça y est, on parle d'argent.
27:56 - On était dans la poésie du but et toi tu parles d'argent.
27:59 - Tout de suite on parle d'argent.
28:00 Et est-ce que même pour la personne qui fait le service civique,
28:03 ça lui apporte quelque chose au-delà ?
28:05 - Deux questions, mais ça coûte super cher un contrat civique ou pas ?
28:08 - Non, alors c'est pas un salaire qu'ils ont.
28:11 C'est un défraiement, on va dire.
28:13 C'est plus un défraiement.
28:14 Alors le club, ça va coûter 100 euros au club.
28:18 Et il y aura une partie qui sera prise en charge par,
28:20 je ne me souviens plus le nom de...
28:22 - C'est l'Agence nationale du sport.
28:24 - Vous l'aurez en duo, c'est étonnant.
28:26 - Mais alors pourquoi s'en priver finalement ?
28:28 - J'ai la chance de travailler pour le ministère des Sports,
28:32 je connais très bien l'expositif.
28:33 Donc c'est du volontariat.
28:35 - Ah on appelle ça du volontariat.
28:37 - C'est le volontaire service civique, le vrai nom.
28:39 Du coup c'est une indemnité.
28:41 - C'est une bonne indemnité.
28:42 - Oui parce que si finalement on est étudiant,
28:44 ça nous permet vraiment d'avoir à la fois,
28:46 d'allier notre passion probablement.
28:48 - Oui mais c'est sur une mission bien particulière.
28:50 Donc le club du Chambon.
28:52 - Mais que ça soit le foot, le hockey, le volet ou etc.
28:55 Au club ça coûtera le même prix plus ou moins ?
28:58 - Oui mais c'est vraiment très peu pour le club.
29:00 Et c'est une mise à disposition du jeune
29:02 qui va définir avec le club.
29:05 - Et surtout par rapport au prix, elle a raison.
29:07 10 heures par semaine, par mois même c'est easy.
29:10 - Non, c'est plus.
29:11 - Ah ouais, c'est moins bien alors.
29:13 - Tout le monde ferait ça sinon.
29:15 - Moi je veux bien faire le service civique dans tous les clubs.
29:18 - C'est clair.
29:19 - C'est quoi leur mission ?
29:21 - Alors ils doivent être sur le terrain,
29:25 mais ils ont aussi des tâches administratives au club.
29:27 Donc il n'y a pas que le terrain, il y a d'autres choses à côté.
29:30 - Vous avez fait le calcul, ça représente par mois combien vous avez dit ?
29:33 - En semaine c'est 24 heures.
29:35 - Ah oui.
29:36 - En semaine ?
29:37 - En semaine, oui.
29:38 Donc ils sont présents toute la semaine.
29:39 - Ah oui, quand même.
29:40 - Ils sont là un jour.
29:41 Donc là on a deux petits jeunes qui sont là aujourd'hui.
29:43 - Ils sont là, ils étaient dans la vidéo.
29:45 Ils sont beaux, vous êtes beaux, plus beaux que ceux qui étaient en vidéo.
29:48 - C'est vrai.
29:49 - Et voilà, ils sont là du lundi, mardi, jeudi, vendredi.
29:53 Ils ont toujours un jour dans la semaine où ils ont quand même un repos.
29:56 - Ils ont vraiment un rôle, on leur donne un rôle, c'est ça ?
29:59 - Alors ils sont toujours encadrés par contre.
30:01 Il y a toujours l'éducateur avec eux qui est diplômé.
30:03 Mais ils ont un rôle bien défini.
30:05 - Et ça c'est sur une période de combien de temps ?
30:07 - C'est sur un an.
30:08 - Et après, Renouvelables ou c'est Terminares ?
30:09 - Normalement, c'est pas...
30:10 - Un an, voilà.
30:11 - Qu'une fois, c'est pas Renouvelables.
30:13 - C'est bien parce qu'à la fin de l'année, ils sont super bons.
30:15 Et après, pouf, on recommence.
30:17 - L'avantage qu'il y a, c'est qu'à la fin de l'année, ils sont super bons.
30:19 Et automatiquement, l'année d'après, ils prennent des jeunes dans le club.
30:22 Ils s'occupent des jeunes.
30:23 Là, on a le petit Gécime qui est là.
30:25 On en a parlé.
30:26 Il est Raph aussi, on en a parlé.
30:28 Ils sont intéressés pour prendre des jeunes, une équipe l'année prochaine.
30:30 - Oui.
30:31 - Donc automatiquement, ils passeront leur diplôme.
30:33 - Ça fait un tremplin.
30:35 - Ça fait un tremplin, pour faire une continuité.
30:37 Après, pour un club...
30:38 - C'est vrai que pour les éducateurs, c'est...
30:39 - Il y a des jeunes qui sont au club, peut-être.
30:40 - Aussi.
30:41 - Alors la plupart du temps, c'est des jeunes qui sont au club depuis des années aussi.
30:44 - Est-ce qu'on utilise assez ces contrats civiques ?
30:46 Ou les clubs, pas assez ?
30:47 C'est rentré dans les mœurs ou pas du tout ?
30:49 - Beaucoup de clubs ne connaissent pas le dispositif.
30:51 C'est possible.
30:52 Après, la démarche...
30:54 - C'est l'importance de la chronique de Catherine.
30:56 - La démarche, elle est intéressante.
30:58 Mais c'est vrai que c'est les services de l'État...
31:00 - C'est quoi qui freine ?
31:02 - La démarche administrative.
31:03 - Le candidat.
31:04 Le candidat n'a pas de chambre à assister.
31:05 - Ah, c'est ça aussi.
31:06 - Et parfois, il faut avoir le temps...
31:08 - Il faut vraiment qu'il y ait une personne qui est fiable.
31:09 - Ça fait faire de la paperasse.
31:10 - Il faut trouver des personnes qui sont un peu moins fiables aussi.
31:11 - Paperasse ou pas paperasse ?
31:12 Nous, on n'est pas très paperasse.
31:13 - Non, c'est tout dématérialisé.
31:14 C'est un site...
31:15 La plateforme est tout dématérialisée.
31:16 Vous n'avez pas besoin de...
31:17 - C'est assez facile, quoi.
31:18 C'est ça, le rôle de l'audit.
31:19 - Donc, tous les deux, vous encouragez au contrat civique ?
31:22 - Oui, oui, totalement.
31:23 Parce que le jeune, il est pris en main, il est tutoré par un éducateur.
31:26 Et voilà, sur son projet de vie, comme vous avez dit,
31:28 c'est un relais tremplin pour partir sur des bâtiments.
31:32 - Très bien.
31:33 Merci à vous, Adrien.
31:34 Blandine, Adrien, comme vous êtes un vrai duo,
31:36 est-ce que ça caracole entre vous ?
31:39 - Je ne sais pas.
31:40 - On va voir.
31:41 - Ça carambole.
31:42 - Ça carambole.
31:43 Allez, je me fais reculer.
31:45 On va voir.
31:46 - C'est vrai que tous mes lancements, cette semaine...
31:49 - Tous les lancements, ce soir...
31:51 - Eh bien, écoutez, la salle de bain, elle a été dure.
31:53 Voilà, pas important.
31:54 Il y en a qui courent, il y en a qui font autre chose.
31:56 - Il y en a qui ne dorment pas pour d'autres raisons, mais...
31:58 - On peut aller à Montbrison tranquillement.
32:00 - Oui, on y va.
32:01 On prend la voiture, on y va.
32:02 - Pour l'entraide de la semaine, c'est Benoît Bayer.
32:04 On va parler donc de billard français,
32:06 qu'on appelle aussi le billard carambole.
32:08 - Ah oui, pas caracole.
32:09 - Le caracole, ça ne marche pas, j'ai vu.
32:11 - N'importe quoi.
32:12 - Non, c'est le billard carambole.
32:14 C'est un billard où on n'a pas les poches,
32:17 on n'a pas les trous autour pour pouvoir mettre les billes à l'intérieur.
32:20 On a seulement trois billes sur la table.
32:22 - Ce n'est pas ce qu'on appelait le billard français avant ?
32:24 - C'est ça, c'est exactement ça.
32:26 Et le but, avec la bille qu'on percute, avec la queue de billard,
32:30 c'est d'aller chercher, de toucher sur la percussion,
32:34 les deux autres billes.
32:36 C'est pour ça qu'il faut aller les caramboler.
32:38 Il faut caramboler les deux autres billes en un seul coup.
32:40 - C'est ce que je voulais dire.
32:41 - Il nous l'expliquera de toute façon, Benoît Bayer, dans son portrait.
32:44 - Quel niveau il a ? On aime bien les niveaux.
32:47 - Benoît qui est double champion de France en national en N1,
32:51 donc il n'est pas master.
32:52 - N1, c'est l'équivalent en foot ?
32:54 - C'est un titre 2 encore.
32:55 - On est dans la liste 2.
32:56 - Exactement.
32:57 Non, on est bien ce soir.
32:58 - On est bien, on est bien.
32:59 - On est sur ce qu'on comprend.
33:00 - Il n'y a que l'INSEE qui est trop haut.
33:02 L'INSEE, il faut descendre un peu.
33:03 - Il faut descendre.
33:04 Non, voilà, donc il est en N1 et on parle de billard carambole.
33:07 Avec Benoît Bayer, on est au club de Montbrison, de billard de Montbrison
33:11 et on est allé faire sa rencontre.
33:32 - Je joue au billard français qu'on appelle maintenant le billard carambole
33:37 et ça fait 18 ans que je pratique le billard français au club de billard Montbrisonnet.
33:41 On a hérité d'un billard chez mon papa.
33:44 Ça a commencé comme ça et puis on a joué un petit peu sur le billard à la maison
33:49 et puis après j'ai vite progressé.
33:51 Je suis vite arrivé à battre certains joueurs du club
33:55 et après j'ai pu lâcher les billes.
33:58 Maintenant, ça fait 18 ans.
34:01 - Mes plus gros résultats, c'est bien sûr mes titres de champion de France en National 1.
34:09 Au billard français, on peut être champion de France en National 1
34:12 mais je ne me considère pas comme un réel champion de France
34:15 parce que le vrai champion de France, c'est le champion de France Master.
34:18 Le billard carambole, il y a trois billes.
34:20 Avec sa bille, il faut toucher les deux autres billes.
34:22 Une fois qu'on a carambolé les deux autres billes, ça nous fait un point tout simplement.
34:26 À chaque fois qu'on touche les deux autres billes, on continue la série
34:29 et le but, c'est de faire la plus longue série possible.
34:31 La partie parfaite, c'est d'attaquer la partie et de faire une série de 200 points d'affilée
34:36 et on aura fait la partie parfaite.
34:38 Une belle semaine de compétition.
34:43 Je suis arrivé en championnat de France au cadre National 1.
34:47 Ma fille venait de naître.
34:49 Donc ça m'a fait bien jouer.
34:51 J'ai perdu la première partie en arrivant au championnat et après j'ai tout gagné
34:57 et j'ai fait cette fameuse partie parfaite, les 200 points en une reprise.
35:02 J'ai été champion de France en même temps que j'ai été papa.
35:04 Le K-Top, c'est où j'ai ma fille avec ma médaille de champion de France
35:12 et j'ai mon bébé dans les bras. C'est un super moment.
35:14 Ce sont des petits mots que je me répète dans ma tête
35:21 pour essayer de faire tomber la pression et d'être au max de ma concentration.
35:26 Les objectifs, si possible, c'est d'être Master dans toutes les catégories
35:33 et avoir peut-être ce titre suprême d'être champion de France Master.
35:38 Ce serait le Graal.
35:40 C'est un peu un sport, je ne veux pas dire comme le hockey, mais un peu aussi méconnu.
35:44 C'est très méconnu et c'est millimétré.
35:47 Je ne sais pas si vous arrivez à le voir, on va remettre certaines illustrations.
35:52 Vous voyez que le tapis du billard est quadrillé.
35:58 Il y a des zones.
36:00 C'est pour ça que ça s'appelle du billard carambol au cadre.
36:02 Parce que tous les deux coups, vous avez dit...
36:06 Je ne voudrais plus dire de bêtises, je crois que c'est en 47-2.
36:10 47-3 en ce moment, on en parle beaucoup.
36:12 Non, je crois que c'est en 47-2, ça veut dire que c'est divisé en deux et en 47-47-47-47.
36:21 Elle est divisée en trois parties, la table de billard.
36:24 Ça demande vraiment.
36:26 Tous les deux coups, il faut sortir une bille du cadre pour qu'elle puisse après revenir.
36:31 C'est hyper stratégique.
36:33 On lui souhaite de devenir Master à Benoît.
36:37 Elle aime beaucoup.
36:39 Mais c'est minutieux.
36:40 Je jouais étant jeune et j'aime bien.
36:42 Au billard français ou au billard à poche ?
36:44 Les deux, j'ai fait le français aussi à peu près.
36:47 L'autre me donne billard français, billard poche.
36:49 Moi, je m'y connais vachement.
36:50 Très peu, c'est pour le plaisir.
36:52 Donc, on n'a plus eu la photo de Max Affie ?
36:54 Non, Benoît, je sais que tu nous regardes.
36:57 Ce n'est pas bien.
36:59 Photo préférée, tu ne me l'as même pas envoyée.
37:01 Ce n'est pas grave.
37:02 En tout cas, on espère vraiment que tu seras Master très prochainement.
37:05 Tu l'es en tout cas dans certaines disciplines.
37:07 Et puis, on l'espère dans toutes les disciplines.
37:10 Exactement.
37:11 Dans quelques instants, l'actu running du département.
37:18 Comment ça, c'est sobre.
37:20 J'ai quand même le sphinx en face de nous.
37:22 Le sphinx, je ne sais pas.
37:24 Un peu chez Néroning en tout cas.
37:26 Tu es tellement sphinx que le public ne t'applaudit pas.
37:29 Tu fais peur.
37:30 On l'applaudit.
37:31 Alors, forcément, c'était un peu votre actu.
37:34 17 000 runners sur le territoire.
37:37 On a la chance d'avoir le top 5 des événements français à côté de chez nous.
37:42 Donc, on ne peut pas ne pas en parler.
37:44 En tout cas, une 69e édition qui a été pour moi magnifique.
37:47 On a parlé des drones tout à l'heure.
37:49 Mais en tout cas, au niveau de la course, c'est une très belle course.
37:52 C'est magnifique.
37:53 En plus des drones.
37:54 Mais est-ce que c'est mieux que l'année dernière ?
37:56 C'est vrai qu'on l'avait fait nous l'année dernière.
37:58 Là, il y a de la neige.
37:59 C'est ça qu'on attend.
38:00 Galérer.
38:01 C'est une vraie Saint-Hélion.
38:02 Ils aient froid.
38:03 Il y avait du verglas.
38:04 Il y avait de la neige.
38:05 Et c'est vrai que...
38:06 Des conditions paradisiaques.
38:07 Tout ce que Fiona adore.
38:08 Et puis, c'est une très belle organisation.
38:10 On fait la Saint-Hélion.
38:12 Et les gens viennent de toute la France, de toute l'Europe pour faire la Saint-Hélion.
38:15 On voit votre portrait il y a 15 jours.
38:17 De Chassagne.
38:18 Ah oui.
38:19 Qu'est-ce qu'il avait dit Chassagne, d'ailleurs ?
38:21 Je ne la gagnerai pas.
38:22 Verdict ?
38:23 Il ne l'a pas gagnée.
38:24 Il a pris sa promesse.
38:25 Non, en tout cas, il a pris sa promesse.
38:27 Mais il fait une très belle 3e place.
38:29 Devant, il y avait Thomas Cardin qui était le grand favori.
38:33 Qui avait fini 2nd.
38:34 C'est pour ça qu'il a le dossard numéro 2.
38:35 Exactement.
38:36 Et voilà.
38:37 Qui était le grand favori et qui gagne.
38:38 Mais en tout cas, Baptiste fait une très très belle course.
38:40 Parce que 3e.
38:42 5h39, je crois.
38:44 Dans des conditions comme ça, avec 3 km de plus.
38:47 C'est plutôt très incroyable.
38:49 En tout cas, c'était une très belle course.
38:51 Côté Stéphanois, il y a Corentin Plec qui a sur la petite course.
38:54 Ce qui veut dire Saint-Hélion, ce n'est pas que le grand.
38:56 Il y a 13 km.
38:57 Il y a 40.
38:58 Il y a des relais.
38:59 J'ai vu des photos, je crois qu'il est déçu Corentin.
39:00 Je le lui demanderai, mais je crois qu'il n'est pas très très content.
39:02 Il finit 2.
39:03 On est un peu déçus quand on finit 2.
39:05 Je pense.
39:06 Il finit 2.
39:07 Il y a également l'équipe à Tony.
39:09 Tony Viericelle.
39:10 Il devait normalement courir avec Cédric.
39:13 Qui est d'ailleurs un fidèle téléspectateur.
39:15 Avec des petits problèmes de santé.
39:17 En tout cas, il finit 3e.
39:18 Voilà, c'était la Saint-Hélion.
39:19 En tout cas, une très très belle édition.
39:21 Très belle édition encore.
39:22 Il y aura des drones du côté de la City ou pas ?
39:23 Non, il n'y aura pas de drones.
39:25 On n'a pas tout à fait les mêmes moyens.
39:26 Mais ça sera drôle.
39:27 Mais en tout cas, ça sera très drôle.
39:29 On est là pour s'amuser.
39:31 On est vraiment là pour...
39:33 Tu regardes les sites, 3000 inscrits déjà.
39:35 C'est ce week-end.
39:36 3000, vous attendez...
39:38 Ça peut aller jusqu'à combien ?
39:39 8.
39:40 Non, pas forcément 8.
39:41 Mais quand on avait tenté le record du monde des Pères Noël,
39:44 on est dépassé les 5000.
39:45 Ah oui, c'est vrai.
39:46 Parce que c'était...
39:47 Il faut mettre des thèmes.
39:48 Mais là, en tout cas, on va être plus de 3000.
39:51 Et Plage Chavannel, ça va être un super événement
39:54 qui va démarrer à partir de 16h
39:56 avec plein d'émotions pour les jeunes,
39:58 pour les enfants, pour les adultes.
39:59 Avec la box style, avec la Zumba,
40:00 avec du Ben Test.
40:01 Pourquoi tu ne mets pas du kickboxing ?
40:03 On a quelqu'un en plus.
40:04 Exactement.
40:05 Non, non, non.
40:06 Là, ce sera plutôt box style.
40:07 Mais bon, c'est vraiment une grosse fête.
40:11 Dans la Ville des Saint-Etienne, c'est deux boucles.
40:14 6-12.
40:15 Ou 12.
40:16 Un 6 km open où on peut s'inscrire
40:19 même si on ne court jamais.
40:20 C'est vraiment pour le fun.
40:22 Il y aura des orchestres
40:24 pratiquement tous les kilomètres, un point de musique.
40:26 Il y aura énormément de spectateurs.
40:27 C'est vraiment la fête dans la ville.
40:29 Et le parcours est déjà fait.
40:30 Ça y est, c'est tout calé.
40:31 Ah oui, heureusement.
40:32 Ah bah oui, quand même.
40:33 Non, non, j'improvise un peu.
40:34 Samedi matin.
40:35 Avant, j'étais là toutes les semaines.
40:37 Donc là, je me renseigne.
40:39 Le parcours change légèrement.
40:41 Oui, parce que vous mis des reconnaissances parfois, Ludovic.
40:44 Exactement.
40:45 On a eu déjà 3 séances prépa.
40:46 On ne vous a pas vues.
40:47 Bah oui.
40:48 On est sur le point.
40:49 Je suis off.
40:52 Non, non, le parcours a changé un tout petit peu cette année.
40:55 Il y avait des endroits qui étaient un peu compliqués
40:57 parce qu'entre les marchés de Noël, etc.
40:59 Ah oui, c'est vrai qu'il faut composer avec ça.
41:01 Il faut composer avec.
41:02 Il y avait certaines années, ça marchait mieux que d'autres,
41:04 certains parcours que vous aviez faits.
41:07 Oui, je dirais qu'on essaie toujours de rester dans le plus ludique possible.
41:11 Donc le plus ludique, les saint-etienne malheureusement,
41:14 n'est pas très...
41:15 Ah bah.
41:16 Bon, surtout que ça va être une belle fête.
41:17 Voilà, ça va être une belle fête.
41:18 Autre belle fête.
41:19 Après le Nouvel An, il y a les bonnes résolutions.
41:22 Oui, exactement.
41:23 Pourquoi ne pas se remettre à courir avec une super courte.
41:26 Et c'est vrai que moi, Julien, vous savez, ce qui fait vrai, c'est la fête.
41:29 Ah bah oui, moi j'adore ça.
41:30 C'est vrai, parce que tout ce qui était drone,
41:32 le City Run également, il y a plein de lumière, plein d'écran.
41:34 Et là, il y a une petite nouvelle.
41:36 On va voir des images, ouais.
41:37 C'est la troisième édition, c'est la Corrida du Puy, c'est à 100 mètres du Puy.
41:40 Et c'est vrai qu'ils font énormément d'efforts, et c'était important de le parler.
41:43 Écoutez bien Blandine, pourquoi c'est super ?
41:45 Parce que vous allez dire, pour le moment, ok, il y a du drone, ça court,
41:47 je ne comprends pas trop.
41:48 Mais vous allez comprendre dans quelques instants.
41:50 On écoute...
41:51 Non, on n'écoute pas.
41:52 Tu parles.
41:53 Tu parles.
41:55 Je me suis dit, qu'est-ce qu'il me fait ?
41:57 En fait, c'est une course qui ressemble énormément au City Run.
42:01 C'est deux boucles, c'est deux fois, c'est 3,5 km dans la ville.
42:05 Donc, dans Saint-Romain-le-Puy.
42:06 Dans Saint-Romain-le-Puy.
42:08 Mais c'est ce que dit Blandine.
42:09 Où est la...
42:10 Je vous fais parler Blandine à ma place, pour aller plus vite.
42:13 Où est la nouveauté dans cette course ?
42:15 Il n'y a pas de nouveauté en fait.
42:16 Mais si ! La nuit !
42:18 C'est la nuit, bah oui !
42:19 Mais les images vont parler d'ailleurs.
42:21 On a une démo, tu te bouges !
42:23 Donc voilà, c'est deux fois 3,5 km dans la ville.
42:25 Et les 30 meilleures filles, les 30 meilleurs garçons ont droit de monter au pic.
42:31 En flambeau !
42:32 Au flambeau.
42:33 Et là, il y a une très grosse ambiance.
42:34 Tu vois, là, Blandine, tu l'intéresses.
42:36 Parce qu'elle veut monter au flambeau.
42:37 D'habitude, elle descend au flambeau, mais là, elle veut monter.
42:39 Donc j'invite tous les cours d'ici City Run, Kéven Lafayette, ou Milla Saint-Élion, à aller courir au pic à Saint-Romain-le-Puy.
42:44 On a vu les images, elle a monté au flambeau ou pas ?
42:46 Ça, j'adore ça.
42:47 Il y a une belle orga, ils sont plutôt très sympas.
42:49 C'est le 6.
42:50 Ah, ils montent pas.
42:51 C'est le samedi 6 décembre.
42:52 Exactement.
42:53 On est un petit peu en retard, mais je voudrais vraiment que Fiona et Lince, voilà, on s'essaye.
43:00 Elle est beaucoup, hein, Lince, mais on s'essaye au hockey sur moquette.
43:05 Sur moquette.
43:06 On y va.
43:07 Tenez, Fiona, un petit micro.
43:08 Explique-nous.
43:09 Expliquez-nous, on se met où ? Parce que là, moi, je me déplace.
43:12 Ça va être compliqué avec le micro de tenir la...
43:14 Ah, ben, on va demander.
43:16 Tiens, Fiona.
43:17 Allez.
43:18 Allez, une crosse.
43:19 Tiens, expliquez-nous.
43:20 Laura va s'occuper de vous.
43:21 Bonjour, Laura.
43:22 On dit bonjour à Laura.
43:23 Bonjour, Laura.
43:24 On peut en prendre une ?
43:25 Oui.
43:26 Un 7,5.
43:27 Ça s'appelle une crosse de hockey.
43:30 Bonjour, enchanté, moi, c'est Julien.
43:31 Enchanté.
43:32 T'as déjà joué ?
43:33 On met la main gauche en haut.
43:35 Exactement.
43:36 Et Lince, elle sera meilleure que moi, mais il faut faire des...
43:39 Des quoi ?
43:40 Des...
43:41 Oui, voilà, on se met là.
43:42 Plier les jambes.
43:43 Plier les jambes.
43:44 Ah, mais toi, t'es trop grande aussi.
43:45 T'en avais pas dit de m'habiller en croquette.
43:46 Je peux toucher pour voir si elle est molle ?
43:47 Non.
43:48 Ah non, mais elle n'est pas molle du tout.
43:49 Fais gaffe, les enfants, ça fait du genre.
43:50 Ah ouais.
43:51 Ça peut faire un peu mal, mais normalement, c'est pas dangereux.
43:52 Je me mets pas au cage, je vous le dis.
43:53 J'ai encore deux émissions à finir.
43:54 Ah oui, prenez le micro, vous pouvez ?
43:55 Oui.
43:56 Donc, il faut vous baisser.
43:57 OK.
43:58 C'est important pour protéger le dos.
43:59 Après, eh ben voilà.
44:00 Tout ça, c'est la petite subtilité de hockey sur gazon.
44:01 C'est que vous n'avez le droit de toucher la balle que d'un côté.
44:02 Sinon, ce serait bien trop facile.
44:13 Nous, on aime la difficulté.
44:19 Exactement.
44:20 Le plein.
44:21 D'accord.
44:22 Bon, on y va alors.
44:23 On y va.
44:24 Fiona, on va regarder Fiona.
44:25 Tu veux me faire des passes ?
44:26 Non, non, non.
44:27 Tout de suite, on y va doucement, ma petite.
44:28 Bravo.
44:29 Ça va, Fiona ?
44:30 Attention, les enfants.
44:31 C'est pas possible.
44:32 Lincet, tu veux essayer ?
44:33 Allez, Lincet.
44:34 C'est vrai que le kickboxing, c'est ton domaine.
44:39 Vas-y, vas-y.
44:40 Attention à la fin du geste.
44:41 Oh, faussier.
44:42 Et après, on peut faire des TikTok ?
44:43 Je vous dirais, ouais.
44:44 Ouais, ouais.
44:45 Attends, attends, attends.
44:46 Comment tu as fait ? Attends, donne-moi la rose.
44:47 J'aime bien.
44:48 La rose, c'est aux couleurs TLC, en plus, c'est bien.
44:49 Comment tu as fait ?
44:50 Ouais, ben voilà.
44:51 Comme ça ?
44:52 Eh ben, on applaudit pas là-haut ?
44:53 Attends.
44:54 Est-ce que je peux caramboler les balles ?
44:55 Vas-y, carambole, carambole.
44:56 Je vais essayer, hein.
44:57 On y va ?
44:58 Ah, pas mal.
44:59 Bravo, Julien.
45:00 Et du coup, le but, c'est de se faire des passes tout le temps, comme au foot, mais
45:01 à part ces...
45:02 Toujours le côté bas.
45:03 Tu veux essayer ?
45:04 Ouais, ouais.
45:05 Tourne la crosse, je vais te laisser enchaîner.
45:06 Attention, elle est dangereuse, elle lève sa canne, moi.
45:07 J'ai peur.
45:08 Voilà.
45:09 T'as fait quoi ?
45:10 C'est un peu compliqué, hein.
45:11 Parce que comme on peut pas toucher avec ce côté...
45:12 T'as un micro.
45:13 Ah ben oui.
45:14 Comme on peut pas toucher avec ce côté, c'est là où il y a un petit mouvement technique.
45:15 De faire "mahoc" et sur glace.
45:26 C'est la main gauche qui fait le poignet.
45:28 De tourner la crosse et de bloquer de ce côté-là.
45:31 Bon, ben Dervo, on arrête.
45:32 Il fait trop froid et on se "mahoc" ?
45:33 Ouais, ben...
45:34 Merci à vous, on vous applaudit bien fort.
45:35 Viens là, bien audite.
45:36 Regarde la caméra, on va finir l'émission comme ça, on prend le micro.
45:37 On rappelle l'événement, on va faire un petit "mahoc" et sur glace.
45:38 On va faire un petit "mahoc" et on va faire un petit "mahoc" et on va faire un petit "mahoc"
45:39 et on va faire un petit "mahoc" et on va faire un petit "mahoc" et on va faire un petit
45:40 "mahoc" et on va faire un petit "mahoc" et on va faire un petit "mahoc".
45:41 Alors, 16 et 17 décembre, à la salle du sport.
45:42 Les enfants, vous pouvez venir voir, Duke et Ansel.
45:43 Vous verrez jouer Thaïs, Marie et Laura, qui font plein de clubs qui vont venir.
45:44 Merci d'avoir suivi cette émission.
45:45 On est présent sur toutes les boxes, alors c'est impossible de ne pas nous voir.
45:46 Et en plus, les chiffres, les audiences exposent.
45:47 On vous remercie et on vous dit à la semaine prochaine.
45:48 Ciao, bye-bye !
45:48 Merci à tous d'avoir été là.
45:49 Merci à vous d'avoir été là.
45:50 Merci à vous d'avoir été là.
45:51 Merci à vous d'avoir été là.
45:52 Merci à vous d'avoir été là.
45:53 Merci à vous d'avoir été là.
45:54 Merci à vous d'avoir été là.
45:55 Merci à vous d'avoir été là.
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46:00 Merci à vous d'avoir été là.
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