Philippe de Villiers : «Il faut attaquer ceux qui nous attaquent, donc il faut donner aux policiers le sentiment que l'on est derrière eux»

Laurent Obertone : «Encore une fois, je constate que le renseignement a très bien fait son travail. On sait qui il est, ce qu’il a fait, qu’il est fou, dangereux, dans la rue et voilà. Il y en a des dizaines comme ça»

Laurent Obertone, écrivain : «La population classique n’est pas devenue violente du jour au lendemain»

Naima M'faddel : «Ce que l'on a pu voir apparaître, c'est que c'est un courrier type donc un courrier type qu'elle a validé [..] donc il est extrêmement déjà à la base violent»

Laurent Obertone : «La majorité des problèmes de délinquance de ce pays est le fait d’individus issus de l’immigration»

Karim Zéribi : «Emmanuel Macron est là pour faire perdre Xavier Bertrand qui est un candidat sérieux pour la Présidentielle»

Eugénie Bastié : «Ce qu'a pu faire Gabriel Attal à l'Éducation nationale était vraiment spécifique à ce ministère parce qu'il est arrivé après Pap Ndiaye donc il a bénéficié d'un effet de contraste. Le rôle de Premier ministre est beaucoup plus complexe»

Éric Diard : «Il est étranger, il est multirécidiviste. Je pense qu’il doit être condamné et expulsé»

Matthieu Valet : «Le vrai scandale est que le refus d’obtempérer aujourd’hui c’est un an d’emprisonnement, et un délinquant qui est condamné à une peine inférieure à un an ne va pas en prison, c’est ça la réalité»

Marc Menant : «Aujourd’hui on est dans une situation catastrophique, il faut relancer la langue […] Ce qui est bien c’est que le ministre de l’Education Nationale a condamné l’écriture inclusive»

Dimitri Pavlenko : «Emmanuel Macron est donné en tête, mais les autres en cumulés font trois fois son score. Est-ce qu’on peut gouverner la France avec un quart des électeurs français derrière soi ?»

Bruno Bonnell : «Le devoir du chef de l'État ce soir est de dire attention car la pandémie n'est pas derrière nous»

Philippe Guibert : «Derrière, il y a tout un discours populiste qui est celui de La France insoumise qui est de dire, les pouvoirs médiatiques sont contre nous»

Georges Fenech : «Ce chiffre de 83% de Russes derrière Poutine, soit il est truqué, soit il reflète une opinion russe qui n’est pas informée de ce qui se passe réellement, soit les Russes sont informés et approuvent, et c’est consternant»

Stéphane Guggino : «Demandez l'arrêt immédiat du chantier, ce n'est pas très sérieux»

Laurent Tapie : «Depuis 1994, donc 27 ans, la liste est extrêmement longue des manquements graves qui ont été commis par la justice dans le but de nuire»

Béatrice Brugère : «On est vraiment sur une pandémie de drogue qu’il faut prendre au sérieux»

Charlotte d'Ornellas : «Il a fallu à la suite de cet appel à la prière que le diocèse dise une messe de réparation. On resacralise les lieux, donc ce n'est pas du tout pris à la légère »

Denys Kolesnyk : «Du point de vue russe on est faible, donc on cède»

Frédéric Souillot : «En 2006, Jacques Chirac disait 'la loi s'appliquera', il ne l'a jamais fait donc tout est toujours ouvert»

Le féminisme est-il devenu l'ennemi des femmes - EN TOUTE VERITE

Laurent Obertone : «L’immigration, comme le disait Marcel Gauchet, a été pour les Français une blessure au sentiment populaire de souveraineté»

Laurent Obertone : Le Grand Rendez-Vous (Émission du 03/12/2023)

Laurent Obertone : «Plutôt que d’accepter d’être le paillasson du monde, la France pourrait exercer une pression, renégocier des traités sur les expulsions massives»

Laurent Obertone : «Le problème c'est qu'on a, en tant que téléspectateurs et consommateurs de l'information, cette mémoire de poisson rouge»

Véronique Jacquier : «La stratégie de la France insoumise, c’est de dire « A Sciences Po, je suis chez moi »»

Un professeur à Sciences Po revient sur le blocus par des étudiants pro-palestiniens devant l'école

Nathan Devers : «Si on est dans l’utopie, on peut être dans l’utopie de la paix !»

180 Minutes Info (Émission du 26/04/2024)

Gabrielle Cluzel : «Que Sciences Po soit investi par l’ultra-gauche, c’est un mystère pour personne»

Robin Reda : «Ce que souhaitent ces militants, c’est la poursuite de la guerre»