Une « bonne nouvelle, mais pas un miracle ». Une étude internationale menée par la Western Sydney University, parue le 17 novembre, brosse un tableau – un peu plus – optimiste pour l'avenir de notre planète et ses capacités d'adaptation au changement climatique. Selon une modélisation écologique réalisée par des chercheurs en sciences environnementales, à laquelle a participé l'Inrae, les plantes seraient en effet capables de capter davantage de CO2 rejeté par les activités humaines dans l'atmosphère que prévu.