- 24/11/2023
TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00 et cet invité du soir, c'est Julie, plaignante dans l'affaire de Sébastien Coé.
00:05 Alors on va rappeler déjà la version de Sébastien Coé avant d'avoir Julie, victime présumée,
00:12 qui va témoigner dans TPMP.
00:14 Ça va être un témoignage, voilà, c'est la première fois qu'elle est sur un plateau.
00:18 Et c'est vrai que nous, on veut bien sûr toutes les versions, bien entendu Gilles,
00:26 puisque pour l'instant, et je le redis aussi,
00:29 et vous savez j'ai eu Julie au téléphone tout à l'heure,
00:32 et elle m'a dit un truc, elle m'a dit "vous avez bien fait de parler de la défense de Sébastien Coé,
00:38 parce qu'il y a la présomption d'innocence, et Sébastien Coé a le droit de se défendre,
00:43 et pour l'instant il n'est pas accusé", c'est elle-même qui m'a dit ça,
00:47 "et pour l'instant il est présumé innocent".
00:50 Donc voilà, et c'est Julie elle-même qui me l'a dit tout à l'heure au téléphone.
00:53 Donc Gilles, avant que Julie vienne nous rejoindre,
00:55 j'aimerais que vous nous redisiez la version de Sébastien Coé,
00:58 et on aimerait bien avoir peut-être la semaine prochaine aussi un représentant de Sébastien,
01:03 peut-être son avocat, ou même lui, parce que c'est vrai que c'est important aussi,
01:07 et je vois plein de gens dans la rue qui m'en parlent,
01:10 et je vous le dis, pour l'instant, comme l'a dit Julie, la victime présumée,
01:16 pour l'instant c'est juste un traitement médiatique.
01:21 J'ai vu une jeune fille sur BFM avant-hier soir, qui est excellente d'ailleurs,
01:27 qui disait "pour l'instant c'est juste un procès médiatique".
01:31 Le vrai procès, il va se faire après, et on saura toute la vérité.
01:36 Sachez que, je vous dis avant qu'on reçoive Julie aussi,
01:39 Coé et son entourage, que j'ai eu aussi aujourd'hui,
01:42 m'ont dit qu'ils avaient des éléments très importants qui allaient sortir prochainement,
01:47 et qui pourraient le disculper.
01:49 On va écouter Julie dans un instant.
01:51 Je vais vous demander bien entendu, et Julie elle vient,
01:54 elle a un courage immense de venir ce soir en direct en plateau.
01:57 Donc vraiment, vous l'écoutez, et bien sûr, on ne va pas faire comme avec la KwaBae hier,
02:03 attaquer Julie, ou commencer à mettre en doute ce qu'elle dit.
02:09 On aura la version, bien entendu, de Coé aussi, on espère, très vite,
02:16 et d'ailleurs je voudrais que Gilles la redonne, parce que je vais vous dire,
02:19 et moi dans cette affaire, je le dis franchement,
02:23 c'est une affaire qui me met en porte à faux, qui me met mal,
02:28 parce que Julie, elle était venue sur un de nos clips, elle aime beaucoup l'émission,
02:33 elle avait laissé un tweet incroyable en disant "Cyril, t'es comme dans la vie,
02:36 j'étais très content de te voir sur le clip", etc.
02:39 et c'est quelqu'un qui nous aime beaucoup,
02:41 et forcément, toutes les femmes qui sont victimes de violences,
02:46 que ce soit sexuelles ou de violences,
02:49 on est à fond avec elles et on les croit.
02:53 Et Julie va témoigner ce soir.
02:56 D'un autre côté, j'ai mon pote, qui est Coé,
02:59 qui est vraiment un pote que j'apprécie énormément, je le dis,
03:03 et ton pote aussi, t'as envie de le croire.
03:06 Donc forcément, tu crois Julie, tu crois ton pote,
03:09 et ton pote, quand tu le vois très mal, t'es pas bien.
03:15 Et quand tu as Julie au téléphone cet après-midi,
03:18 et qu'elle te dit qu'elle est au fond du trou aussi,
03:21 eh ben t'es pas bien.
03:23 Donc à un moment, c'est vrai que dans cette histoire,
03:26 je le dis, et comme beaucoup de gens qui connaissent Coé et qui l'aiment bien,
03:30 on est dans une situation très compliquée.
03:33 J'ai même, je vous le dis, je me suis dit "Est-ce que Julie, on la reçoit ce soir ?"
03:39 Et au bureau, j'ai dit "On est obligés de la recevoir",
03:43 puisque Julie veut témoigner, on a eu la version de Coé,
03:46 on aimerait avoir Coé d'ailleurs la semaine prochaine,
03:49 quand il veut, ou même son avocat.
03:51 Mais à un moment, qu'est-ce qu'on fait ?
03:54 Même si c'est vrai que Julie, c'est un très bon pote Coé,
03:58 mais quand j'ai Coé, je me dis "Le pauvre Coé, franchement,
04:02 j'ai envie de l'aider, j'espère qu'il va s'en sortir."
04:06 Et quand j'ai Julie, je me dis "La pauvre Julie,
04:10 voilà, elle a l'air vraiment très impactée,
04:18 elle a l'air vraiment d'être dans un état très compliqué."
04:22 J'ai dit "Avant de recevoir Julie, j'aimerais qu'on ait une bonne version."
04:25 Alors Sébastien Coé, il a agi sur le front judiciaire avant la plainte de Julie,
04:29 puisqu'il a déposé la semaine dernière une plainte pour harcèlement et cyberharcèlement.
04:33 Ça, c'est la première chose.
04:35 Ensuite, Julie a déposé plainte, une enquête préliminaire,
04:38 on va le rappeler, tout vert pour viol sur mineurs de plus de 15 ans et viol.
04:41 Et Sébastien Coé contre-attaque, dépose plainte en dénonciation calomnieuse.
04:45 Son entourage et lui sont clairs, il n'a pas commis les faits
04:49 pour lesquels la plainte a été déposée, il n'a rien fait.
04:54 Pour lui, il n'y a pas eu de viol, il crie à la machination, au complot
05:00 et il estime que c'est une déstabilisation.
05:02 Voilà, donc il nie purement et simplement les faits.
05:06 Voilà la défense de Sébastien Coé.
05:08 Julie va être avec nous dans quelques secondes, puisqu'on va faire un petit récap.
05:12 Elle est avec nous juste après, à 20h55. C'est parti.
05:16 Depuis un mois, l'animateur Coé fait couler beaucoup d'encre
05:19 et fait l'objet de lourdes accusations.
05:21 Des SMS extrêmement salaces se sont dévoilés, qu'il aurait fait à une jeune femme
05:27 qui à l'époque était mineure.
05:28 Pour rappel, l'homme qui nie les faits reprochés est aujourd'hui visé
05:31 par une enquête pour viol sur mineurs de plus de 15 ans et viol
05:34 et a été écarté de l'antenne de Energie.
05:36 Energie a jugé que c'était très compliqué que Sébastien Coé reste à l'antenne.
05:41 Une enquête ouverte après la plainte de Julie, une jeune femme de 25 ans.
05:45 Tu es malsain, mais tu n'es pas au-dessus des lois.
05:47 Tu savais que nous étions mineurs.
05:49 Julie, victime présumée de Coé, témoigne ce soir dans TPMP.
05:53 Julie, merci d'être avec nous ce soir en direct.
05:57 C'est le premier platan en direct que vous faites en télévision.
06:00 Julie, déjà, pour te détendre un peu, c'est vrai que je ne savais même pas
06:05 que tu avais participé à un clip avec nous, avec toute l'équipe.
06:07 - Si.
06:08 - Je me rappelle, à l'époque, c'était pour la Coupe du monde, je crois.
06:11 - C'est ça, en 2018, si je ne dis pas de bêtises.
06:14 - On avait bien rigolé.
06:16 - C'était pas mal, c'était bien.
06:18 - Merci, en tout cas.
06:19 Je sais que tu avais mis un mot sur les réseaux pour nous remercier,
06:23 en tout cas, l'équipe.
06:24 Tu aimes bien la télé, tu aimes bien la radio.
06:26 C'est un univers que tu as...
06:27 - Ça, c'est ma passion.
06:29 Enfin, c'était ma passion.
06:30 - Quoi, c'est plus ta passion, maintenant ?
06:32 - Par rapport à tout ce qui s'est passé, ce n'est plus ma passion, non.
06:35 - Mais tu es fan de plein d'animateurs ou tu es vraiment plus Sébastien Coé ?
06:40 - Je suis fan de plusieurs animateurs parce que, tu vois,
06:44 j'étais venue te voir à Europe 1.
06:47 Il y avait Valérie Benhaim.
06:49 - Alors, tu peux l'appeler comme tu veux.
06:51 - Il y avait Valérie et j'aimais bien, sur Europe 1, ce qu'elle faisait.
06:56 - Et moi, non.
06:58 - Non, mais je ne dis pas que...
06:59 - Je rigole avec toi, je rigole.
07:00 C'est pour te détendre un peu.
07:01 - Si, si.
07:02 - Je sais que c'est compliqué pour toi.
07:03 - Mais j'étais venue sur Europe 1.
07:05 - Donc tu aimais bien moi, tu aimais bien Valérie, tu aimais bien Coé.
07:07 - J'avais été à... Enfin, je ne sais pas si j'ai le droit de citer, attention.
07:10 - Vas-y, t'inquiète.
07:11 - Mais j'avais été à PUN Radio, j'avais été à NRJ, j'avais été à Europe 1, vous voir.
07:15 - Oui.
07:16 - Et j'avais été voir C'est quand nous, enfin, j'avais fait plein d'émissions.
07:19 - C'est ta passion, quoi. C'est vraiment...
07:21 - C'était vraiment ce que je voulais faire.
07:22 - Oui, tu kiffais être dans le public et tout.
07:24 - J'adorais...
07:25 Ben, ce n'est pas que je kiffais être dans le public,
07:27 c'est ce que je kiffais, en fait, regarder...
07:31 - Comment travailler.
07:32 - Comment vous travaillez et prendre les conseils, tu vois.
07:35 - Alors moi, comme je ne travaille pas, tu n'as dû rien voir, mais les autres, oui.
07:38 - Mais si, tu travailles. Tout le monde travaille.
07:40 Valérie, moi, j'admirais Valérie et ses interventions.
07:45 Et je me suis dit...
07:46 - En fait, tu avais envie d'être un peu comme Valérie ?
07:48 - Oui.
07:49 - C'est ça, c'était ton truc, c'était un peu ton modèle, Valérie ?
07:50 Tu t'es dit "oui, j'aimerais bien même..."
07:51 - Ce n'était pas... Je ne dirais pas que c'était mon modèle, mais un petit peu, oui.
07:56 Parce que ce n'était pas le genre d'émission qui faisait rire les gens.
08:00 C'était quand même une émission sérieuse et à la fois qui faisait rire votre émission,
08:05 à vous aussi, je me rappelle, bien sûr, Europe 1.
08:07 - C'est ça.
08:08 - Et moi, j'admirais ça, en fait.
08:10 C'est qu'on pouvait faire rire, on pouvait parler de choses sérieuses.
08:14 Et voilà, j'avais envie d'être comme toi, tu vois.
08:18 Donc ça, je le dis honnêtement.
08:20 - Julie, tu as commencé à quel âge à avoir une énorme passion comme ça pour les médias ?
08:25 - J'ai commencé à l'âge de 10 ans.
08:27 - 10 ans, ah ouais.
08:28 Et tu as été partout, sur tous les plateaux, etc.
08:30 - Attention, je n'ai pas été à 10 ans, voire tous.
08:33 - Non, bien sûr, c'est après. C'était quoi, l'âge de 15-16 ans ?
08:36 - J'ai été à partir de 15-16 ans, j'ai été voir sur les plateaux.
08:40 - Tu as quel âge aujourd'hui ?
08:41 - J'ai 25 ans aujourd'hui.
08:42 - D'accord.
08:43 Alors, aujourd'hui, c'est vrai que tout le monde ne parle que de toi en ce moment.
08:48 Et j'aimerais savoir, parce qu'on s'est parlé tout à l'heure au téléphone.
08:53 Et j'aimerais savoir déjà, c'est le premier animateur que tu as rencontré, Koe ?
08:59 - C'était le premier animateur, oui.
09:02 - D'accord. Donc, tu avais été à la radio, me voir ?
09:05 - Non, je n'avais pas été à la radio. J'avais gagné un concours sur énergie
09:09 pour aller à Disneyland Paris avec lui et une douzaine de participants.
09:14 C'est comme ça qu'on s'est rencontrés, oui.
09:16 - Donc, tu vas à Disneyland Paris. Bon, tu dois être comme une folle.
09:20 C'est un rêve pour toi.
09:21 - C'était génial.
09:23 Je voulais faire de la radio. Son émission, c'était dingue.
09:29 Après, attention, ce n'était pas de l'animation radio dans ce genre-là que je voulais faire.
09:34 Moi, c'était plus de l'information que je voulais faire.
09:36 - C'est ça. Information, un peu divertissement comme nous, comme on fait aujourd'hui.
09:39 - Ce n'était pas du divertissement que je voulais faire.
09:41 C'était vraiment de l'information.
09:43 - D'accord. Mais bon, quand même, tu te dis, c'est quand même l'occasion de t'ouvrir des portes.
09:48 - C'est le gars qui peut me conseiller en premier parce qu'il a fait des émissions de télé,
09:52 parce que j'aime son émission et ce qu'il fait.
09:55 Et c'est lui qui peut me conseiller au mieux.
09:59 Et en fait, moi, j'y vais.
10:01 - Tu as quel âge à l'époque ?
10:02 - Moi, à l'époque, j'avais 15 ans.
10:04 - 15 ans. D'accord.
10:05 - Donc, je twitte.
10:06 - Tu dis quoi à tes parents ? Tu dis, je pars, j'ai gagné un concours.
10:09 - En fait, ça ne s'est pas passé comme ça.
10:11 C'était le jour de Noël. Il fallait twitter à mort.
10:13 Celui qui avait le plus twitté, il gagnait un voyage avec Koé.
10:18 Donc, j'ai twitté à mort le jour de Noël.
10:20 Je me suis complètement détachée de toute ma famille et j'ai dit, moi, je twitte à mort.
10:25 Je twitte, je twitte, je twitte, je twitte.
10:27 Et là, bam, je gagne. On me contacte.
10:30 On dit, bah ouais, en fait, tu vas remporter ce concours.
10:34 Commence à prévenir tes parents, etc.
10:37 Donc, moi, je préviens mes parents. Je suis comme une dingue.
10:40 Je dis, il faut m'emmener. Il faut absolument m'emmener, en fait.
10:43 Et mes parents sont comme des fous. Ils me disent, bah ouais, en fait, on va t'emmener.
10:48 Et ils m'emmènent. Ils m'emmènent.
10:52 - Alors, donc là, t'arrives là-bas, tu rencontres toute l'équipe.
10:57 Et là, tu rencontres Koé.
10:59 - C'est ça.
11:00 - Quand tu le rencontres, t'es comment ? Tu vois ton idole.
11:04 - Je dirais pas que c'est un idole.
11:07 Je dirais que j'admire son travail. J'admire ce qu'il fait.
11:10 - Tu lui dis quoi quand tu le vois ?
11:12 - Je lui dis rien. Parce que la vidéo, elle est sur YouTube.
11:15 On dit rien quand on se présente, tu vois.
11:18 Il fait la bise à tout le monde. C'est filmé.
11:21 Et ça se passe naturellement, en fait.
11:24 Il n'y a pas de quiproquo.
11:27 - Alors, donc là, est-ce que tu lis des liens d'amitié avec Koé, ensuite, au cours du séjour ou pas du tout ?
11:34 - Oui, j'en lis entre guillemets. Je dis bien entre guillemets un.
11:39 Parce que c'est pas vérifiable et c'est pas encore, je dirais, entre guillemets, ça n'a pas été filmé.
11:49 Alors après, je pense qu'Energy l'a filmé. Mais moi, je ne l'ai pas en ma possession.
11:55 - C'est quoi ?
11:56 - C'est-à-dire qu'en fait, moi, j'ai énormément peur d'émaner de la sensation.
12:01 Mais vraiment très peur.
12:03 Et je ne voulais absolument pas faire de manège à sensation.
12:07 Et on est arrivé devant... Je ne sais pas quel manège c'était, mais c'était pas l'Indiana Jones.
12:14 - C'est un manège à sensation.
12:15 - Oui, c'est un manège à sensation.
12:16 Et il m'a dit, moi, je veux monter avec elle.
12:19 Donc il me pointe du doigt et je dis...
12:22 Moi, je dis, en fait, non, je peux pas, j'arrive pas.
12:25 Parce que c'était filmé, en fait. Il filmait, en fait, la scène, quand on montait à côté de lui.
12:30 Et je dis, non, moi, je peux pas, je balise, j'ai trop peur des manèges à sensation, je peux pas.
12:36 Et il me dit, si, tu vas venir avec moi et on va le faire ensemble.
12:40 Bon, bah, dans ces cas-là, pas de problème, je monte avec toi, on y va.
12:44 J'ai hurlé, j'ai vraiment hurlé.
12:47 Mais c'était, encore une fois, de son côté, il n'y avait rien de dramatique, tu vois.
12:52 - Non, mais là, c'était quoi ? Vous avez rigolé ensemble ?
12:55 - On a rigolé, on a parlé, on a échangé.
12:58 En sortant du manège, il m'a dit, mais t'as l'air d'être quelqu'un de bien.
13:02 Qu'est-ce que tu veux faire dans la vie ? Je lui ai expliqué.
13:05 Je lui ai dit, moi, mon rêve, c'est d'être animatrice radio.
13:08 Je lui ai dit, moi, ma grand-mère, qui est d'ailleurs maintenant décédée,
13:12 m'a payé tout un studio radio. Je veux dire, c'est...
13:15 - D'accord, donc, t'étais à fond dans la radio.
13:17 - J'étais à fond dans la radio et c'est ce que je lui ai dit.
13:20 Je lui ai dit, moi, je fais des maquettes radio.
13:22 Si un jour, tu veux les écouter, moi, je te les fais écouter avec grand plaisir.
13:25 C'est ce qui me passionne, quoi.
13:27 - Alors, justement, donc là, le séjour se termine.
13:31 Et là, tout s'est bien passé, en fait.
13:33 T'es hyper contente quand tu rentres.
13:35 - Tout s'est bien passé. Donc, on a échangé nos numéros,
13:38 puisqu'en fait, il me dit à ce moment-là,
13:41 "comme tu es là maintenant, je me vois comme moi quand j'avais 15 ans".
13:46 - Bien sûr, c'est vrai, parce que lui, il a une histoire incroyable.
13:48 Il a démarré très, très tôt. - Il a démarré...
13:50 - Il a eu un succès. - Et on peut encore m'en vouloir,
13:53 mais il y a la présomption d'innocence, etc., etc.
13:56 Et on peut même me dire ce qu'on veut.
13:58 - C'est ce que tu m'as dit tout à l'heure au téléphone, d'ailleurs.
14:00 - Exactement. Et moi, ça, je le prône.
14:02 Chacun se fait son avis et il n'y a aucun problème là-dessus.
14:05 Mais il m'a dit, "moi, je te vois comme moi quand j'avais 15 ans".
14:08 - Oui.
14:10 - Et moi, là, à ce moment-là, je prends confiance
14:12 et je prends son numéro, je prends son Snap.
14:14 - Bien sûr. - Et en fait, il n'y a aucun souci.
14:16 Je me dis, mais...
14:19 - Oui, c'est... - Comme une fille de 15 ans
14:21 qui se dit, "c'est royal".
14:23 Une fille de 15-16 ans qui se dit, "c'est royal, c'est magnifique en fait".
14:26 - Alors, justement, alors, ensuite, quand est-ce que tu le revois ?
14:30 - Alors, je vais le...
14:33 Comme je le dis à la police, je vais le revoir plusieurs fois.
14:37 - D'accord. La première fois, c'est quand ?
14:39 - La première fois, donc, ça a été à Disneyland.
14:41 - Non, mais la deuxième fois, donc après Disney.
14:43 - La deuxième fois, ça a été à Genève.
14:45 - Alors, à Genève. Donc, toi, tu vas à Genève pour le voir ?
14:49 - Il me demande d'aller le voir à Genève, oui.
14:51 - D'accord. Tu y vas avec qui ?
14:53 - Avec ma soeur et mon beau-frère.
14:55 - D'accord. Donc, là, tu y vas, t'es toute contente.
14:59 Et c'est vrai que t'avais fait une maquette ?
15:01 - J'avais fait une maquette, oui. J'étais trop contente
15:03 parce que je préparais ça depuis longtemps.
15:05 - Donc, tu lui as dit, "je vais venir te voir à Genève
15:07 pour te faire écouter ma maquette".
15:09 - Je lui ai pas dit, "je vais venir te voir à Genève",
15:11 c'est que j'avais fait ma maquette.
15:13 Je lui ai dit, "écoute, je t'envoie ma maquette, je l'ai faite".
15:16 Et puis, il me dit, "écoute, je suis à Genève, viens
15:20 et on verra ça là-bas".
15:22 - D'accord.
15:23 - Donc, ça, c'est mes messages, je les ai.
15:25 - Oui.
15:26 - Et je précise bien que je les ai.
15:30 Et donc, moi, mineure, pas le permis,
15:35 je peux pas y aller en voiture, en mode,
15:38 je vais rouler sans permis.
15:40 Donc, je décide d'appeler mes parents.
15:43 Mes parents, horrifiés à minuit que je les réveille pour ça,
15:47 ils me disent absolument non.
15:49 Mais je vais réveiller ma sœur, je lui dis,
15:51 "écoute, Ophélie, il faut que tu me sauves,
15:53 il faut qu'on y alle absolument.
15:55 Il veut écouter ma maquette, c'est quelqu'un qui fait
15:58 un travail en or et moi, il va écouter mon travail à moi".
16:02 Et je le connais pas personnellement, tu vois,
16:05 à cette période-là.
16:07 Je connais son travail et c'est là que je me dis,
16:10 en fait, il va reconnaître peut-être mon travail
16:12 et il va me donner des conseils.
16:14 Et c'était surtout ça que je voulais parce qu'à 15 ans,
16:16 tu peux pas te promettre grande animatrice radio, etc.
16:20 - D'accord.
16:22 - Et ma sœur me dit, "bon, écoute, allez, c'est bon,
16:24 vas-y, je t'emmène, je vais demander à son copain, etc."
16:31 Et il décide de m'emmener.
16:33 Donc, on y va le lendemain.
16:35 - D'accord.
16:36 Bon, et donc là, t'as arrivé à Genève
16:38 et qu'est-ce qui se passe alors là-bas ?
16:40 - Donc, au départ, et je tiens à le préciser,
16:43 je lui ai dit, "écoute, je suis pas sûre de venir."
16:46 Et il me dit, "ah, mais toi, en fait, tu ne peux jamais bouger."
16:50 Point d'exclamation, point d'exclamation, point d'exclamation.
16:52 Il y avait trois points d'exclamation.
16:54 Tu ne peux jamais bouger.
16:56 De ce fait, j'ai répondu que si, je pouvais bouger
17:00 et que je trouverais des solutions.
17:03 Donc, je l'ai trouvé et c'est là qu'il m'a donné rendez-vous
17:06 à son hôtel précis, telle heure, telle date,
17:10 enfin, bref, tout ça.
17:12 J'y suis allée, donc avec mon beau-frère et ma sœur.
17:16 On a bu un verre.
17:19 Et à ce moment-là, à un moment donné,
17:25 parce qu'il y avait mon frère, moi, ma sœur, lui.
17:29 Et à ce moment-là, en fait, on a bu, etc.
17:33 Et il s'est dit, "bon, ben, on va aller...
17:36 "Moi, il faut que j'aille me préparer.
17:37 "Julie, viens avec moi me faire écouter ta maquette.
17:40 "On monte dans la chambre.
17:42 "Ton beau-frère et ta sœur vont aller au casino,
17:46 "parce qu'il y avait un casino dans l'hôtel.
17:48 "Ils vont aller au casino et puis on verra après."
17:51 Donc, moi, je décide de monter avec lui.
17:56 Donc, encore une fois, la présomption d'innocence est là.
18:00 Je l'ai fait, je l'ai suivi.
18:03 Et ma sœur était un petit peu contre.
18:09 Elle sentait le...
18:10 Je sais pas pourquoi elle le sentait pas,
18:13 mais j'y suis allée quand même.
18:15 Et c'est à ce moment-là que se sont passés les faits.
18:19 - Les faits que...
18:21 Voilà, tu dis que...
18:23 Les faits que t'as déjà expliqués, voilà...
18:26 - Les faits que j'ai déjà expliqués
18:28 et qui, pour moi, ont été très difficiles à entendre,
18:33 parce que lui, je le comprends.
18:35 Et pour sa compagnie aussi,
18:37 je comprends que ce soit très difficile.
18:40 Et je le redis encore aujourd'hui,
18:43 il y a la présomption d'innocence
18:45 et chacun se fait son avis propre et personnel.
18:48 Mais moi, à l'heure d'aujourd'hui,
18:51 je suis complètement anéantie par tout ça.
18:55 J'ai perdu beaucoup.
18:57 - Mais c'était il y a 10 ans, cette affaire ?
18:59 - C'était il y a 10 ans, oui.
19:00 - Et tu l'as revue après ?
19:01 - Je l'ai revue, oui.
19:03 - Combien de jours, combien de semaines après ?
19:05 Tu l'as revue plusieurs fois ?
19:06 - Je l'ai revue plusieurs fois.
19:07 - Tu allais encore à ces émissions ?
19:08 Tu allais encore dans le public ?
19:09 - J'allais encore à ces émissions,
19:11 j'allais encore au public,
19:13 mais d'ailleurs, j'étais venue vous voir.
19:15 J'ai d'ailleurs des photos.
19:17 - Mais...
19:18 - En fait, j'allais faire plein d'émissions radio,
19:21 moi, j'étais passionnée de ça.
19:22 - Mais après ça, parce que je te dis,
19:24 les gens se posent la question,
19:25 ils se disent "Pourquoi tu as continué
19:26 à aller dans le public ?
19:27 Pourquoi tu as continué à le voir ?"
19:29 - Je me suis persuadée que ce qui était arrivé,
19:31 en fait, ce n'était pas réel.
19:34 Ce qui était arrivé, ce n'était pas dramatique
19:36 parce que ça a duré peut-être, je dirais,
19:38 une minute avant que les appels de ma soeur
19:40 retentissent des dizaines de fois.
19:44 Et je me suis dit "Ça, tout ça,
19:45 ce n'est pas réel.
19:46 Tout ça, ce n'est pas réel."
19:48 Il faut que tu te persuades que, en fait,
19:50 tout ça, c'est...
19:51 - Julie, pourquoi dix ans après,
19:53 tu t'es dit "Je vais témoigner
19:55 et je vais parler de l'affaire."
19:58 - Tout ça, parce que, comme tu le sais,
20:01 puisqu'on s'est eus au téléphone bien avant
20:03 et il y a eu un tweet de...
20:06 - Louis Sagan.
20:08 - C'est ça, exactement, qui a demandé
20:10 à ce qu'on parle de nos rencontres de célébrités,
20:13 mais pas en termes méchants.
20:15 - Bien sûr.
20:16 - Ce n'était pas en termes méchants
20:18 et moi, je me suis dit "Mais cet homme-là,
20:20 il fait du mal.
20:22 Et il fait vraiment du mal."
20:24 Et j'ai eu des témoignages de femmes
20:27 il y a 25 ans.
20:29 Il y a 25 ans de ça.
20:32 Et cela, je suis capable de regarder
20:35 Gilles Verdez dans les yeux,
20:37 parce qu'il a été capable de...
20:40 Et ça, je veux bien le dire,
20:45 tu as pu prendre la défense de Coé,
20:48 tu as pu prôner la défense de Coé
20:50 et tu as le droit de parler.
20:52 Ce n'est pas contre toi, honnêtement.
20:54 Parce qu'on a le droit de donner la parole de Coé
20:56 comme on a le droit de donner ma parole.
20:58 - Bien sûr.
20:59 - Et la présomption d'innocence, elle est là.
21:01 Pourquoi Julie est là ce soir ?
21:03 Parce que même par rapport à l'Arkom,
21:05 sachez-le, on a donné la version de Coé
21:07 et la chaîne m'a dit "Il faut absolument
21:09 avoir Julie sur le plateau."
21:11 - La version de Coé, elle a le droit d'être...
21:13 - J'ai relaté la version de l'enquête.
21:15 - Exactement.
21:16 - Ce n'est pas à mon avis.
21:17 - Mais moi, je vous donne la parole à tous.
21:19 Parce que moi, la présomption d'innocence est là.
21:23 Chacun a le droit d'avoir son avis
21:25 à partir du moment où on laisse la justice faire.
21:28 C'est la justice qui est du droit de qui que ce soit.
21:30 - Là, il y a déjà un procès médiatique, déjà, Julie,
21:32 parce qu'il a été même...
21:33 Il a quitté l'entête d'énergie.
21:34 - Mais ça a été un peu...
21:35 - Voilà, c'est ça.
21:36 Donc là, c'est vrai qu'aujourd'hui,
21:37 le procès médiatique va plus vite que la justice.
21:39 - Oui, mais le procès médiatique, voilà,
21:41 je le redis encore une fois, voilà,
21:43 je me suis peut-être un peu emballée, moi aussi,
21:44 à dire "Bon, bah, je vais parler en mon nom."
21:46 Mais c'était pour recueillir des témoignages, tu vois.
21:48 Parce que moi, toute seule, on m'aurait jamais...
21:51 On m'aurait jamais pris au sérieux.
21:53 - Est-ce que vous regrettez aujourd'hui ?
21:54 Est-ce que vous vous sentez mieux ?
21:55 - Je me sens mieux parce qu'il a détruit ma famille,
21:58 il m'a détruit moi aussi.
21:59 Et là, j'arrive à renouer des liens avec ma famille
22:01 en ayant dit la vérité.
22:03 - Mais justement, Julie, parce qu'on me dit
22:04 que même encore l'an dernier, vous l'avez vu,
22:06 vous avez été à ses démissions ?
22:08 - L'an dernier, je n'ai pas été à ses démissions.
22:10 - Non, c'est quand la dernière fois que vous y êtes allée ?
22:12 - La dernière fois, c'était bien avant le Covid,
22:14 donc ça devait être en 2018, tu vois.
22:16 - Et quand est-ce que vous avez eu une prise de conscience
22:18 en vous disant...
22:20 Voilà, il faut...
22:22 - La prise de conscience que j'ai eue,
22:24 c'est à partir du moment où j'ai rencontré quelqu'un,
22:28 où j'ai été en couple.
22:30 - D'accord.
22:31 - Et la fille...
22:33 Parce qu'il avait une fille, cet homme-là.
22:37 - Oui.
22:38 - Et elle avait 8 ans,
22:40 et elle avait vu mes photos sur Facebook,
22:42 elle avait regardé mon prof du Facebook, tout ça,
22:44 grâce à mon téléphone.
22:46 Et elle avait dit, "Tu connais Chloé,
22:48 "je veux trop aller le voir, viens, on va le voir,
22:50 "emmène-moi le voir, emmène-moi le voir."
22:52 Et là, je me suis dit, à 8 ans,
22:55 la fille, elle te demande ça,
22:58 et elle, elle te considère comme sa belle-mère,
23:00 et elle te considère comme tout ce qu'il y a de plus cher au monde.
23:04 Non.
23:05 - Mais...
23:06 - Donc j'ai continué à lui faire croire, et en fait...
23:08 - Moi, je vous crois à 200 %.
23:10 Je vous crois, et je l'ai dit hier, il faut aller au bout.
23:13 Tout ce que vous avez comme preuve, il faut aller au bout,
23:15 parce que si, comme vous dites, c'est quelqu'un
23:17 qui, pendant 25 ans, a fait des trucs...
23:19 Vous avez dit, il y a des histoires,
23:21 depuis 25 ans, il a massacré votre vie,
23:23 il a massacré votre famille.
23:24 Je vous crois, alors, s'il vous a massacrés,
23:26 il ne faut pas laisser faire ça.
23:28 Et d'un autre côté, on m'envoie des trucs,
23:30 et des images, et des photos, et on me dit que là,
23:32 par exemple, il n'y a pas longtemps,
23:34 Cyril dit, il y a 10 ans, et il y a un an,
23:36 vous êtes venu à son émission de télé.
23:38 Moi, j'en reviens juste à votre Facebook actuel,
23:40 votre Facebook de maintenant, il y a des photos
23:42 de partout avec Chloé, et vous êtes en fond d'écran
23:44 avec Chloé. Pourquoi rester en fond d'écran
23:46 avec un mec qui a massacré votre vie ?
23:48 - Parce que moi, je suis un peu con.
23:50 Si quelqu'un a massacré ma vie, je ne suis pas
23:52 en fond d'écran sur Facebook avec lui.
23:54 Je le sors de ma vie, et j'essaie de le traîner
23:56 devant les tribunaux, et j'essaie de faire prouver
23:58 qu'il a fait quelque chose de mal.
24:00 Mais il n'est pas en fond d'écran.
24:02 - Il n'est pas en fond d'écran sur Facebook.
24:04 Alors, attention, j'ai deux Facebook.
24:06 Je précise à le dire, j'ai perdu un mot de passe,
24:09 j'ai recréé un autre compte.
24:11 Donc, il y a un compte où, je ne sais pas,
24:13 il est peut-être encore avec lui en fond d'écran,
24:15 mais maintenant, à l'heure actuelle,
24:17 il est en fond d'écran, c'est ma grand-mère.
24:19 - Il faut l'enlever.
24:21 - Mais je n'ai plus le mot de passe pour l'enlever.
24:23 Mais c'est ma grand-mère actuellement,
24:25 sur mon vrai compte Facebook.
24:27 - Julie, il y a beaucoup de gens aussi,
24:29 je te dis toutes les questions que les gens se posent,
24:31 il y a beaucoup de gens aussi qui disent,
24:33 dans les conversations que tu as mises sur les réseaux,
24:35 on voit que Koé, vraiment, enchaîne
24:37 les questions, seul, et que tu ne lui réponds jamais.
24:39 Et il y a beaucoup de gens qui s'étonnent de ça.
24:41 Qu'est-ce que tu réponds de ça ?
24:43 - Qu'est-ce que je réponds ?
24:45 - Parce que je te dis les questions qui reviennent.
24:47 - Parce qu'il y a des messages qui ont été faits.
24:49 - Vous avez supprimé vos réponses,
24:51 pour lui laisser que c'est moi, lui, non ?
24:53 - Absolument pas, non.
24:55 - Non, mais c'est important que tu dis ça,
24:57 parce qu'il y a beaucoup de gens qui se posent la question.
24:59 - Il a parlé tout seul de 16h jusqu'à 23h.
25:01 - En fait, il a parlé de 16h jusqu'à 23h,
25:03 parce que...
25:05 - Sans réponse.
25:07 - Il n'y a pas de conversation, en fait.
25:09 - En fait, il n'y avait pas de conversation
25:11 à ce moment-là où on s'est dit,
25:13 parce qu'il est arrivé à plusieurs reprises
25:15 où on a échangé,
25:17 et depuis 2014 à aujourd'hui,
25:21 on se parle.
25:23 Et jusqu'au 8 août,
25:25 parce que notre dernière conversation
25:27 s'est arrêtée au 8 août,
25:29 comme Gilles Verdez pourrait peut-être le confirmer.
25:31 - Oui, oui.
25:33 J'ai les mêmes informations sur le 8 août.
25:35 - Le 8 août.
25:37 - Cet été, oui.
25:39 - Oui, c'est ça, cet été.
25:41 Donc non, en fait,
25:43 il n'y avait pas d'autre conversation.
25:45 Il a continué à faire cela.
25:47 - Tu aimerais qu'il se passe quoi, maintenant, Julie ?
25:49 - Alors, ce qui se passe,
25:51 je...
25:53 Je peux pas lui souhaiter de...
25:55 J'arriverais pas à souhaiter
25:57 de mal à qui que ce soit.
25:59 - D'accord.
26:01 - Parce que moi, le mal, je l'ai vécu,
26:03 et je n'arriverais pas à souhaiter
26:05 de mal à qui que ce soit.
26:07 Je travaille dans le domaine de la santé.
26:09 Il y a des gens qui vivent
26:11 pire que... - Bien sûr.
26:13 - Pire que la misère du monde,
26:15 et j'arriverais pas à...
26:17 - T'as été dégoûtée du métier ?
26:19 - J'ai été dégoûtée du métier.
26:21 - Tu fais quoi aujourd'hui, Julie ?
26:23 - Je suis secrétaire médicale. J'aide les gens.
26:25 - Ça se passe bien ? - Ça se passe très bien.
26:27 - Merci d'être venue nous voir
26:29 et d'avoir donné ta version ce soir.
26:31 C'était important pour nous, en direct.
26:33 Merci beaucoup.
26:35 Merci d'être intervenue.
26:37 [Musique]
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