Philippe Astruc : «L’élève lui aurait dit : ‘’Je suis fille aujourd’hui, j’ai envie de tuer quelqu’un aujourd’hui, j’ai envie de tuer les élèves qui ne m’aiment pas et la personne qui est en face de moi. Cela s’est passé à Arras et je vais faire pareil’’»

Matthieu Valet : «Aujourd’hui, là où dans les quartiers on dit habituellement que ce qu’il fait foi ce sont les violences policières, aujourd’hui on voit bien qu’en fait, les violences ce sont celles des trafiquants, des dealers et des guetteurs»

Karim Zeribi : «Tous ceux qui veulent défendre la cause palestinienne ne sont pas à associer ni aux terroristes du Hamas ni à ceux qui portent des slogans antisémites»

Gabrielle Cluzel : «Tous ces slogans «on vous croit» sont extrêmement dangereux»

Jean Messiha : «C’était une atmosphère extrêmement positive, il n’y a pas eu de heurts, de casse, de slogans haineux ou violents. Il y avait des français de toutes origines pour soutenir les forces de l’ordre»

Des avions tracent des slogans anti-Trump dans le ciel californien

Emmanuel Macron interpellé aux Pays-Bas : «Ce sont des slogans assez durs»

Slogans anti-police lors de la pride radicale de Paris : «c’est abject», déclare Abdoulaye Kanté, policier dans les Hauts-de-Seine

Olivier Marleix : «Honte aux députés de LFI qui vont participer à des manifestations où on scande des slogans hostiles à la police»

François Pupponi : «Le slogan 'impossible n'est pas français' est intelligent, on voit bien à qui Éric Zemmour s'adresse. Mais est-ce que cela suffira ? Je ne suis pas sûr. Maintenant, on attend des propositions»

Céline Pina : «On ne voit pas quel type de haine amène à tuer des enfants dans une poussette»

Gilles-William Goldnadel : «Ce qui fonctionne plus pour tuer aujourd'hui, c'est la détestation du blanc occidental»

Arthur de Watrigant : «Ce que l’on voit aujourd’hui, ce sont deux civilisations qui s’affrontent sur le même sol»

Sonia Backès : «Aujourd'hui, on ne voit plus de prêches radicaux dans les mosquées sans conséquence immédiate»

Stanislas Rigault : «Aujourd'hui, les images que l'on voit, ce sont celles d'un président de la République seul au pouvoir, isolé»

Philippe Etchebest : «Aujourd’hui on en est au stade du "confinotage". Il va falloir prendre les bonnes décisions car on voit bien que tout cela ne marche pas»

Ludovic Toro : «On voit bien les attaques de LREM, (...) Emmanuel Macron a peur aujourd'hui d'une candidate, c'est Valérie Pécresse»

Pierre Gentillet : «Aujourd'hui on voit que cet homme est au-dessus des lois»

Dimitri Pavlenko : «En un espace de temps extrêmement resserré, les campagnes sont en train de rattraper ce qu'on voit aujourd'hui dans les grandes villes»

Stanislas Guerini : « On voit aujourd'hui qu'une partie de la gauche fait converger ses idées avec l'islam politique »

Alice Cordier : «Nous sommes venues de façon pacifique, on ne s'attendait pas à une telle violence»

Allo le 17 ! : Les femmes françaises fassent à l’insécurité

Zoom - Alice Cordier : "Némésis ? On veut nous détruire !"

Alice Cordier : «Il y a le mythe du "tout gratuit" qui s'est installé dans nos villes, au niveau de la cantine ou les transports en commun»

Propos sur les "Lacoste TN" : Alice Cordier est-elle allée trop loin ?

Alice Cordier : «Après la colère des gilets jaunes, on pourrait avoir la colère des gilets verts»

Un professeur à Sciences Po revient sur le blocus par des étudiants pro-palestiniens devant l'école

Nathan Devers : «Si on est dans l’utopie, on peut être dans l’utopie de la paix !»

180 Minutes Info (Émission du 26/04/2024)

Gabrielle Cluzel : «Que Sciences Po soit investi par l’ultra-gauche, c’est un mystère pour personne»

Robin Reda : «Ce que souhaitent ces militants, c’est la poursuite de la guerre»

Sabrina Medjebeur : «Comment intégrer les migrants dans les sociétés par les voies du travail ou de l’assimilation pour qu’ils soient considérés comme des citoyens à part entière ?»