Le chroniqueur Jean-Claude Dassier  : «Je pense que les pressions ont dû être fortes et qu'il a préféré ne pas donner le sentiment qu'il préférait un camp à un autre. D'autant que les mêmes qui approuvent ou désapprouvent sa non-présence au sein de ce défilé, auraient été les mêmes qui l'auraient critiqué s'il y avait été».