SMART BOURSE - Plan de trading du lundi 13 novembre 2023

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Lundi 13 novembre 2023, SMART BOURSE reçoit Alexandre Baradez (Chef analyste, IG)

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00:00 Votre programme avec IG. IG, bien plus que du trading. Une équipe d'experts à vos côtés.
00:06 Mais d'abord, comme chaque lundi à 13h30, en direct et à retrouver bien sûr en replay sur bsmart.fr,
00:23 le plan de trading de Smart Bourse. Alexandre Baradez à nos côtés en plateau, chef analyste chez IG.
00:28 Bonjour et bienvenue Alexandre. Rebond ou boule trap ? C'est un peu la question. Parce que le rebond, on l'observe depuis les points bas
00:35 de fin octobre en Europe et aux États-Unis. La question étant l'ampleur devant nous peut-être de la poursuite ou non de ce rebond.
00:43 Est-ce qu'il y a un piège derrière ce rebond pour les investisseurs ?
00:47 En tout cas, le sentiment premier déjà, c'est que la consolidation que nous vivons depuis un bout de temps est toujours en place,
00:54 avec toujours cette idée que le marché n'a pas vraiment de quoi décrocher complètement. Donc il n'y a pas de sentiment que ça va vraiment lâcher d'un coup.
01:00 Et de la même manière que les catalyseurs à la hausse, et on va en reparler, ceux qu'on a pu peut-être entrevoir la semaine précédente,
01:07 pas la dernière mais celle d'avant, à savoir des chiffres à prouver un bon, des US qui ont lifté les actions et fait baisser les taux.
01:13 La semaine dernière, il y a eu un petit retour quand même du higher for longer qui a été rappelé gentiment par Jérôme Paul et Christine Lagarde également.
01:20 Et donc on sent bien qu'à cette volonté de la part des banquiers centraux de piloter le sentiment obligataire dans une zone haute,
01:26 éviter que ça détende trop fortement, et à la fois on sent que si les stats américaines qu'on a eues il y a une quinzaine de jours sur l'emploi, sur l'ISM,
01:34 si ça devenait quelque chose de récurrent, effectivement Jérôme Paul aurait moins de mal à laisser le marché obligataire ajuster un peu les niveaux par rapport à ça.
01:41 Ce serait ça le pilotage justement. Mais on voit bien qu'ils n'en ont pas encore eu assez de ça.
01:45 Donc quand le marché obligataire se détend un peu trop et que les actions, je ne dis pas que les actions, mais que l'obligataire se détend trop vite,
01:50 ils nous remettent un petit coup de rappel de higher for longer.
01:53 Mais l'idée c'est ça, c'est que d'un point de vue technique on va donner des petits niveaux, mais on ne voit pas d'éléments ni très fragiles ni très forts non plus.
02:05 Donc c'est ce sentiment que la volatilité à 14, elle peut remonter à 20 sans trop de problèmes.
02:09 Au-delà de 20 pourquoi ? Et aller tout de suite à 12, pourquoi aussi ? Il n'y a pas non plus le contexte entre le Proche-Orient, l'Etau, etc.
02:17 Et la macro aussi qui ralentit. Il n'y a pas de compte non plus de détendre aussi vite au niveau de la volatilité.
02:22 Donc c'est ça l'idée, c'est de voir les messages monétaires en tout cas, c'est comme ça qu'on attendait.
02:28 La semaine précédente avec la détente des stats américaines, le marché obligataire avait vraiment réagi sur la partie longue également de la courbe.
02:35 C'était les ISM, c'était la semaine aussi donc il y a 15 jours de la réunion de la réserve fédérale américaine, une approche plus équilibrée
02:42 et derrière une série de chiffres ou des enquêtes ou les chiffres d'emploi également qui montraient quand même l'idée d'un refroidissement de l'économie américaine
02:50 partant sur des niveaux de chauffe ou de surchauffe importants. On a tous en tête encore le chiffre de croissance au troisième trimestre pour l'économie américaine.
02:57 Pourquoi le marché avait aimé ça ? Parce que Jérôme Poel souffrait de ne pas avoir arrivé ce ralentissement.
03:03 Surpris par la résilience économique, enfin son métier commence à l'avoir arrivé. Donc ça c'est un élément...
03:10 - Dès qu'on voit les taux longs rebaisser de 30-40 points de base, du point de vue de la réserve fédérale américaine, tout de suite ça provoque un petit sentiment d'inconfort en disant
03:17 "Attention parce que si je suis plus équilibré, moi, réserve fédérale américaine, c'est parce que les taux longs sont à 4,80, 4,90 ou 5%".
03:26 Si les taux longs reviennent à 4%...
03:29 - Et le combat sera plus dur à mener pour ramener l'inflation à 2%. Ce que je voulais vous dire, j'ai hésité parce que je cherchais ça, c'était les signaux qu'on a aussi sur les anticipations d'inflation.
03:36 On a vu que vendredi par exemple au niveau du Michigan, le fameux indicateur de la confiance baisse.
03:40 Ça c'est pas vraiment un problème pour Poel parce que si la confiance des consommateurs baisse, c'est que leur consommation va aussi un peu ralentir.
03:45 Et je ne pense pas qu'il soit contre ça non plus dans la partie des services.
03:47 Par contre, de voir que les anticipations des consommateurs en termes d'inflation à 12 mois se redressent assez vigoureusement, même pour ne pas dire très vigoureusement depuis deux mois,
03:57 ça c'est la fameuse question des anticipations d'inflation. Et ça effectivement, ça peut justifier aussi une question, une rhétorique qui resterait.
04:04 Et c'est là que selon moi, que le marché à action, s'il devait consolider un peu plus, c'est-à-dire même retracer un peu une partie de ses gains, c'est là que la vulnérabilité se trouverait.
04:10 C'est-à-dire, on voit que la Macron ralentit, enfin ralentit, Chine pas dynamique, Europe il y a vraiment un momentum de ralentissement et Europe et États-Unis qui commenceraient maintenant.
04:19 Et face à ça, on attend tous le moment où ça pivote un peu, où ça commence.
04:22 Et si ça n'arrive pas, c'est là qu'il y a un peu d'effet de tenaille pour le marché à action qui pourrait l'empêcher d'aller chercher rapidement les points en haut.
04:29 Si on regarde quelques enjeux techniques pour un indice action européen comme le DAX, Alexandre, on le voit très bien avec votre graphique comment les résistances de 2022 notamment sont devenues pour l'instant des supports pour les indices action.
04:43 Ce qui est intéressant de voir, c'est les niveaux qu'on voyait déjà avant d'avoir testé, c'est-à-dire que le CAQ on était à 6800, le DAX c'était 14700, ce sont des niveaux techniques.
04:50 On les trace parce que le marché les touche à plusieurs reprises et on voit une fois de plus que le marché réagit.
04:55 Donc ça c'est quand même un très bon signe malgré tout pour les investisseurs moyen-long terme, c'est-à-dire que c'est quand même des belles zones de réaction,
05:00 donc les gestions qui veulent allouer du cash ou autre, dans ce genre de niveau-là, je pense que certaines gestions rentrent dans ce genre de trou-là.
05:06 Donc le fameux "buy the deep" je pense il est toujours d'actualité.
05:09 La question c'est, est-ce que c'est le deep avant V, c'est-à-dire est-ce qu'on repart de manière cadencée, séquentielle et sans se retourner ?
05:15 Ou est-ce qu'on est parti dans cette zone un peu haute comme ça, entre 14700 et puis les sommets historiques, pour le DAX qui est des dividendes inclus, est-ce qu'on est parti pour des vagues ?
05:24 Et si vous regardez en fait la grosse oblique support qui passe par le creux de 2020 et 2022 et le niveau horizontal, c'est un espèce comme ça de triangle, biseau.
05:32 Moi je verrais bien le marché être comprimé là-dedans, en plusieurs mois encore, ça va faire des oscillations, mais avec une zone basse qui quand même se redresserait progressivement pour in fine sortir par le haut.
05:41 La question c'est, c'est quand même une zone qui est assez haute en fait, si on regarde ce triangle, la zone basse elle est quand même dans des zones à 14000, un peu en dessous de 14000, donc il y a quand même de l'amplitude possible.
05:49 Je dirais que d'un point de vue haussier court terme, si on parle vraiment court terme, tant qu'on est, vous voyez il y a des moyennes de prix, on les voit, elles sont en noir là, 50, 100 et là 200 jours on ne les voit pas, elles passent au-dessus.
06:00 Il faut vraiment revenir au-dessus de ce paquet là, c'est-à-dire de moyennes de prix, ça aura quelques clôtures d'élit, donc journalier, au-dessus des moyennes, notamment la 200 qui est une moyenne assez importante.
06:08 Donc là, tant qu'on est dans ces niveaux là, moi je ne suis pas fondamentalement agressivement acheteur, je suis vraiment très neutre.
06:14 Je pense qu'il y a autant de probas de retomber à 14500, 14700 que d'aller chasser 3, 4% de plus.
06:19 Donc le test des moyennes de prix, on a le même sur le CAC 40, c'est important à noter aussi.
06:23 Donc pour l'instant c'est un test, tant qu'on est sur ces 3 moyennes de prix en journalier, pour l'instant je me garde de dire il ne faut aller plus haut tout de suite.
06:30 Et de la même manière si vous voyez le DAX revient vers 15000, s'il lâche 2% parce que les stats sont moyennes ou autres, je pense qu'on peut assez vite revoir le support, le retester, passer un peu en dessous.
06:40 Donc un retour à 15000 à partir de maintenant, ce sera à nouveau un peu baissé pendant quelques temps, on peut compter peut-être 4, 5% de baisse dans la foulée.
06:47 - On le rappelle, semaine d'échéance également, une échéance mensuelle avec une saisonnalité du mois de novembre historiquement positive.
06:55 On verra effectivement les prochaines séances et la clôture de la semaine seront des moments importants pour ces enjeux techniques de marché.
07:02 Quand on regarde la tête du Nasdaq, Alexandre, on parlait d'un rebond pour le DAX, je ne sais pas comment il faut qualifier la série du Nasdaq depuis fin octobre qui a explosé tous les plafonds.
07:15 - Oui, les plafonds, on était très discipliné pour rentrer que moins.
07:20 - Il y a quoi, 8, 9% de hausse sur la séquence pour le Nasdaq ? Facile, oui.
07:24 - Mais on est à 5%, c'est tout. Ce qui est intéressant, c'est de voir qu'on était très sagement établi dans un biseau baissier qui était tout à fait confortable et compréhensible.
07:32 La grosse séquence d'avant, après le creux, on était intelligence artificielle, on comprenait bien pourquoi.
07:40 Ensuite, des résultats trimestriels, deux épisodes, on ne va pas dire mauvais, mais mitigés.
07:44 Le marché avec des taux qui remontent à ce moment-là, on comprend parfaitement pourquoi on atterrit comme ça tranquillement.
07:50 On sort par le bas, compréhensible aussi quand les taux sont hauts, et la semaine il n'y a qu'un jour, plein de stade en dessous des attentes.
07:56 C'est le Pérou pour le marché parce qu'enfin, on se dit que la fête va commencer. Donc les taux se détendent et le Nasdaq bondit.
08:02 Sauf que là, le mouvement, et je mets un point d'interrogation sur la dernière séquence, c'est celle de vendredi.
08:07 Vendredi, les taux sont vraiment redressés, en gros si on prend comme référence la semaine d'avant.
08:11 En gros, le marché avait lâché à peu près 25 points de base.
08:13 Pas depuis le point haut, depuis le début de la semaine, 25 points de base, on les a quasiment tous repris, depuis le point bas.
08:18 Donc les taux courts et longs, surtout courts, sont bien redressés, et le Nasdaq a très bien encaissé ça vendredi.
08:23 Et pour moi, encore une fois, on ne fait pas une tente sur une journée, mais il y a quand même un truc un peu paradoxal.
08:28 Pour croiser un contexte où les taux courts se retournent assez sensiblement, où les enquêtes, en plus du Michigan,
08:34 montrent que le consommateur pense que l'inflation va accélérer un petit peu, la Fed aussi, il y avait pendant la BCE,
08:39 des membres de la BCE, ce matin encore deux Windows, et la semaine dernière un autre qui expliquait qu'on attend un rebond de l'inflation,
08:44 en Europe, un petit rebond.
08:45 Je trouve que la séquence de poursuite de la hausse des valeurs de croissance est d'être un peu surfaite.
08:50 Une petite dissonance, là, vous dites ?
08:51 Une petite dissonance, voilà. C'est sur quelques heures pour l'instant, on ne tient pas de conclusion.
08:54 Mais je trouve par contre que le message du "hire for longer" me semble quand même parti au moins novembre, décembre, janvier.
09:00 Il y a quand même une notion un peu de crétisme.
09:02 Christine Lagarde, elle disait au FT la semaine dernière, du point de vue de la BCE en tout cas,
09:07 pas de baisse de taux au moins dans les deux prochains trimestres.
09:11 Comme ça qu'elle a formulé, ce qui n'est plus une forward guidance, je le précise,
09:14 mais elle l'a formulé de cette manière-là dans un entretien avec Martin Wolf du FT.
09:19 Et donc, pourquoi en ce cas-là, on peut se dire "ah ben ça le marché n'y croit pas du tout, c'est pour ça qu'il est en train de partir comme ça",
09:24 mais le marché obligataire a quand même réagi ?
09:25 C'est-à-dire que c'est ça que, le statut qu'on met le doigt, c'est pas tellement...
09:28 Si les deux, l'obligataire ou les taux se détendaient encore avec le Nasdaq, on comprend.
09:32 Il y a des moments un peu contradictoires.
09:34 Donc voilà, moi je verrais bien une séquence, si le R fois longueur est vraiment là pour rester,
09:39 je vois pas le Nasdaq aller chercher le point haut du dernier rallye en fait.
09:42 Je le verrais bien rester dans cette séquence-là, qui me paraît correcte.
09:45 Il y a une amplitude d'une dizaine, quinzaine de pourcents de variations possibles.
09:48 Donc moi je le verrais bien d'abord avant d'aller chercher plus haut, de réintégrer un peu cette espèce de bisou,
09:52 ou alors revenir un peu au centre, donc des niveaux 14 000, 15 000, voilà.
09:56 Ces zones-là me paraîtraient atteignables dans une phase d'emploi de respiration du Nasdaq.
10:00 Bon, on verra, il y a encore quelques publications dont on prise majeure aux Etats-Unis et en Europe,
10:04 mais c'est vrai qu'on arrive à la fin également de la phase micro pour les marchés et pour les analystes.
10:11 Pourquoi parle-t-on du pétrole également, Alexandre ?
10:14 Pour ajouter là aussi de la... comment dire... de la facilité à l'analyse,
10:20 on a des cours de matières premières qui ne sont pas déprimés au point d'indiquer une récession économique mondiale généralisée,
10:27 mais on a des cours de matières premières qui n'indiquent pas grand-chose en fait.
10:31 Non, non, d'un coup d'œil c'est plutôt rassurant, c'est-à-dire que finalement, malgré tous les épisodes qu'on a eu, Proche-Orient, etc.,
10:36 il n'y a pas d'emballement de l'énergie à la hausse.
10:38 On avait vu le gaz en Europe repartir à la hausse pendant plusieurs semaines et à nouveau ça se détend un petit peu.
10:42 Donc c'est plutôt favorable pour le sentiment inflationniste ou autre,
10:46 mais là aussi ce qui est un peu paradoxal c'est que le pétrole et les matières premières énergie baissent quand même de manière vraiment claire depuis plusieurs jours
10:52 et les taux n'ont pas suivi par exemple.
10:55 Et on parle du Proche-Orient en l'instant, quand ça a éclaté on était aux alentours de 80-82 dollars, on était montés à 89 à peu près,
11:01 là on est passé sous le niveau d'avant-crise Proche-Orient.
11:04 Et on a l'impression, c'est comme une espèce de balance où la vision macro actuellement l'emporte au point d'occulter le risque géopolitique.
11:13 C'est une hypothèse qu'on avait d'ailleurs dessinée ensemble en disant est-ce que finalement à un moment donné le pétrole risque pas d'aller vers 75
11:18 si effectivement la partie Proche-Orient reste, alors évidemment toute précaution due, reste contenue géographiquement.
11:26 Il n'y a pas eu non plus de contraintes supplémentaires sur l'offre.
11:30 Je veux dire je sais que la demande focalise beaucoup d'attention sur la partie offre,
11:34 on sait que le pétrole iranien est revenu sur le marché,
11:37 on sait que les Etats-Unis dans la mesure de ce qu'accepte de faire l'industrie du pétrole de schiste aujourd'hui,
11:43 produit à son maximum entre guillemets et que les Saoudiens sont attentifs aussi à ne pas créer trop de dommages de ce point de vue là.
11:51 Oui donc c'est un coup finalement, on se souvient qu'il y a quelques mois l'administration américaine disait nous n'enferons pas les stocks vers 70.
11:57 Et c'est un argument qu'on a toujours dit, on a dit même quand il était à 90, on disait ils vont tenir ça,
12:01 s'ils le disent c'est qu'ils veulent le faire à un moment dans ces zones là.
12:03 Donc il y a plutôt des hypothèses pour regarder un retour vers 80,
12:07 en dessous j'y croyais pas forcément mais au moins 80 et se stabiliser par là.
12:10 Et là on a effectivement le scénario, je dis presque souhaité par l'administration américaine d'avoir un baril qui retombe vers 70.
12:16 Donc est-ce qu'ils vont un peu bouger sur les stocks ? On verra, il n'y a pas urgence à le faire je pense pas du tout.
12:20 Mais voilà ce que je souviens aujourd'hui c'est quand même ça,
12:21 c'est qu'il y a quand même des grosses divergences entre les taux qui se sont redressés sur les messages plutôt d'ordre monétaire,
12:26 un baril qui devrait influencer les taux qui ne le fait pas.
12:29 Et donc qu'est-ce qu'on doit ressentir de tout ça ?
12:31 Peut-être que c'est l'aspect macro qui prédomine sur les matières premières et que les actions ne sont peut-être pas encore assez sensibles.
12:38 Moi c'est plutôt vers là que je dirais un peu dans les jours à venir.
12:40 Mais pas en me disant "ça va être la cata sur les actions".
12:42 C'est en disant il y a une sensibilité qui apparaît peut-être sur les commodities,
12:45 qui est pas un crash de matières premières mais on voit quelques datas chinoises,
12:49 des PMI que je pense que Vazina en reparlera beaucoup mieux dans quelques temps,
12:52 et qui peuvent accompagner un peu ce scénario.
12:53 Donc de revoir des indices européens, Kardex ou autres,
12:56 revenir un petit peu peut-être sous les 7000 ou autres,
12:58 ça me paraît pas dingue dans l'ambiance macro actuelle.
13:01 Merci beaucoup Alexandre pour cet éclairage des enjeux de marché,
13:04 des enjeux techniques en ce début de semaine d'échéance,
13:07 une échéance mensuelle avec l'expiration des contrats futurs attendus ce vendredi sur les indices majeurs.
13:12 Alexandre Baradès, chef analyste chez IG, avec nous chaque lundi à 13h30 pour le plan de trading de SmartBourse.
13:18 C'était votre programme avec IG.
13:20 IG, bien plus que du trading.
13:22 Une équipe d'experts à vos côtés.
13:24 (cris de joie)

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