L'émotion de Philippe De Villiers en écoutant des enfants chanter «Douce France» dans le métro

L'émotion de Philippe De Villiers en écoutant des enfants chanter «Douce France» dans le métro.

Transcript

00:00 Mon village, recroché aux maisons sages,

00:06 Où les enfants de mon âge,

00:10 Ont partagé mon bonheur.

00:14 Tous les mêmes,

00:17 Et je fais de ce poème,

00:21 Tous les mêmes,

00:24 Dans la joie ou la douleur,

00:28 Douce France,

00:32 Cher pays de mon enfance,

00:35 D'assez de ton insouciance,

00:39 Je t'ai gardé dans mon cœur.

00:42 On a vécu des séquences un peu moins agréables ces derniers temps dans le métro, ça fait du bien d'entendre ça, non ?

00:47 Ouais, Douce France, j'ai connu Charles Trenhem.

00:51 À raconter ?

00:53 Ben non, j'ai connu à la fin, je me souviens, une grande émission avec Michel Drucker,

00:59 et on avait passé la soirée ensemble,

01:03 et on avait tous chanté Douce France, et je me souviens, le clocher, le village,

01:09 les paroles ont un sens aujourd'hui.

01:11 Et en fait, je rapproche la Douce France de ce que Michelet a dit de la Douce France.

01:18 Michelet a dit "La France est un être", parce que Douce France, ça vient de la chanson de geste,

01:23 de la chanson de Roland, "La France, la Douce".

01:27 Et Michelet disait "La France est un être moral doué de tendresse, la France est une femme,

01:32 la France est une mère, une mère de consolation et de désolation,

01:38 notre dame de France, patronne de la France."

01:43 (Générique)

01:46 [SILENCE]