Il suffit de déambuler dans les rues de Bastia (Haute-Corse) pour mesurer le contraste : ici, pas d'étoiles de David pour noircir les murs. Seuls quelques tags « FLNC » ou des bombes dessinées au pochoir viennent ternir les façades. Pas un seul incident, ni même les signes d'une haine latente et prête à exploser.