Le conflit d'Albert Dupontel avec son père : les raisons du refus de "son père biologique" de lui pardonner sa carrière cinématographique
  • 6 months ago
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Un retour prometteur pour Albert Dupontel avec Second Tour

À l'approche de son 60e anniversaire, Albert Dupontel revient sur les écrans avec son huitième film, intitulé Second Tour. Le célèbre réalisateur, plusieurs fois récompensé aux Césars pour des films tels que Adieu les cons, Au revoir là-haut et Neuf mois ferme, nous propose cette fois-ci un tout nouveau film sur la politique française. Dans Second Tour, nous retrouvons Cécile de France dans le rôle de Mlle Pove, une ancienne journaliste politique reléguée à la rubrique football. Après un attentat visant un candidat à la présidentielle, l'héroïne se retrouve seule journaliste capable de le suivre dans sa course à l'Élysée. Albert Dupontel incarne quant à lui Pierre-Henry Mercier, cet économiste brillant qu'elle connaît bien.

Les liens rompus entre Albert Dupontel et son père

La carrière de cinéaste d'Albert Dupontel aurait pu ne jamais voir le jour. Comme le rapportent nos confrères du Parisien dans un portrait qui lui est consacré, le futur sexagénaire revient avec émotion sur sa relation brisée avec son père au moment où il décide de quitter ses études de médecine pour entamer une carrière dans le cinéma, une décision que "son géniteur" n'a jamais approuvée. Pour éviter de froisser son père, Albert Dupontel choisit de renier son véritable nom et d'adopter un pseudonyme. En effet, le 11 janvier 1964, Albert Dupontel naît sous le nom de Philippe Guillaume.

Un destin contrarié par les attentes familiales

Fils de médecins, Albert Dupontel semblait destiné à suivre la voie de la médecine : son père est radiologue et sa mère est dentiste, tous deux exerçant à Conflans-Sainte-Honorine. Lassé par ses études, il abandonne ses études de médecine pour se consacrer au cinéma, sa passion secrète qu'il cache afin de ne pas décevoir ses parents. Mais après sa cinquième année de médecine, Albert Dupontel se livre à ses parents. À l'âge de 22 ans, le jeune cinéaste décide de prendre des cours de théâtre et se met à écrire des sketches. Il admire Jacques Tati et Woody Allen, et finit par attirer l'attention de Patrick Sébastien, qui lui ouvre les portes du monde du spectacle grâce à sa participation à l'émission Sébastien, c'est fou.

Une vocation malgré une trahison ressentie

La carrière naissante d'Albert Dupontel ne sera jamais acceptée par son père, qui la vivra comme une "trahison" de la part de son fils. Albert Dupontel évoque son père en utilis
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