Présidentielle 2022 : pouvoir d’achat, immigration, fiscalité... que proposent les...
  • il y a 7 mois
Présidentielle 2022 : pouvoir d’achat, immigration, fiscalité... que proposent les...
Qu’est-ce qui distingue réellement Xavier Bertrand de Valérie Pécresse ? Qui propose un moratoire sur l’immigration ? Qui mise plutôt sur une modification de la constitution ou sur l’introduction de quotas ? Savez-vous que la gestion des postes de fonctionnaires est l’un des principaux points d’achoppement entre Michel Barnier, Xavier Bertrand, Valérie Pécresse, Philippe Juvin et Éric Ciotti ? Sont-ils tous d’accord pour construire de nouvelles centrales nucléaires ? Pas si simple de répondre à ces questions pour qui ne s’intéresserait pas de très près à la vie politique française.Pour vous faciliter la tâche, Le Parisien a décidé de compiler les principales propositions des candidats au Congrès LR sur les thèmes forts de cette campagne.Sans doute que les adhérents eux-mêmes peinent à déterminer ce qu’untel ou untel propose concrètement au sujet de la fiscalité, des retraites ou encore de l’immigration. Avant même que ne soient annoncés les noms des cinq candidats au Congrès ayant réuni les 250 parrainages nécessaires, tous avaient lancé leur campagne en partant à la rencontre d’un maximum d’adhérents. Les enjeux sont lourds, puisque seules pourront voter les personnes ayant leur carte au sein du parti. Depuis le début du mois d’août, ce sont près de 40 000 personnes qui ont décidé de payer les 30 euros de cotisations nécessaires pour adhérer au parti.Pour eux, le besoin d’y voir plus clair sur le profil et les propositions des candidats est grand. Ils voteront dès le 4 décembre prochain pour leur candidat à l’élection présidentielle. Pour choisir sur leur champion ou leur championne, ils auront d’ici là pu les découvrir lors des quatre débats diffusés en direct. Le comparateur du Parisien devrait pouvoir leur donner un petit coup de main, à eux comme à tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin à la présidentielle. Car ces programmes seront peut-être destinés à être défendus jusqu’au 10 avril prochain, date du premier tour de l’élection suprême.
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