Regardez Le 2ème œil de Philippe Caverivière du 04 octobre 2023 avec Philippe Caverivière.
Category
🗞
NewsTranscription
00:00 Vous êtes sur RTL.
00:02 RTL, le deuxième oeil de Philippe Cavrivière.
00:07 La deuxième dose de Cavrivière, Philippe, notre invité ce matin, c'était le docteur Isabelle Sarfati, fondatrice de l'Institut du sein.
00:14 Alors j'ai hésité à la mettre devant Isabelle.
00:21 8 millions de vues, c'est pas de ma faute, les gens aiment. Alors je me suis dit, la mépa c'est un chouïa graveleux.
00:27 J'ai préféré qu'on la garde entre nous parce que cette deuxième chronique c'est un peu notre "safe place".
00:32 Ah yes !
00:33 Voilà, alors avec le développement de l'écologie, les femmes souhaitent utiliser d'autres méthodes que les prothèses mammaires.
00:39 Elles veulent des seins respectueuses de l'environnement,
00:41 du nichon écoresponsable. Alors attention de pas le dire à Nicolas Hulot parce que ça réunit ses deux passions, l'écologie et les boobs.
00:47 Il est capable de revenir.
00:49 Alors j'ai mis la note de 15 à Isabelle parce qu'elle est formidable et souriante et positive.
00:55 Et j'ai un ami humoriste belge, nouvel arrivant sur RTL,
00:58 qui souhaite conserver l'anonymat, qui m'a demandé si Isabelle faisait aussi des allongements peignins.
01:03 Alors j'ai posé la question. En rentaine, par souci de discrétion, eh bien j'ai une bonne nouvelle, c'est oui !
01:08 Ah, texto de Visorek, merci d'avoir posé la question, t'es un frérot.
01:15 Bon Philippe, pour rester dans le médical, vous vous posez une question, alors étrange, que deviennent les organes que retirent les médecins dans les hôpitaux ?
01:23 Ah, ça c'est une bonne chronique pour Jimmy Mohamed, mais je vais y répondre avant lui.
01:27 C'est une bonne question, que deviennent les boules de graisse, les cordons ombilicaux ou les appendices qu'on nous retire ?
01:32 Eh bien j'ai mené mon enquête et figurez-vous que tous ces éléments sont collectés par des entreprises spécialisées qui les récupèrent,
01:38 également les petits bouts de prépuce dans les poubelles derrière les synagogues.
01:41 Ils mélangent le tout pour fabriquer des garnissages pour nos boules antistress, achetées chez Nature & Découverts,
01:48 et pour les matelas à mémoire de Formes.
01:50 C'est du circuit court, directement du producteur au consommateur.
01:53 C'est la magie du recyclage.
01:55 Bon, sinon, en lisant Télérama que vous aviez négligeablement placé sur mon bureau, souligné, au stabilo, tout ça,
02:02 j'ai découvert que le magazine avait attribué la note de 3 T à vos chroniques.
02:05 Vous êtes terrible, ça me gêne vraiment ! Je ne sais plus où me mettre !
02:11 Moi je déteste me vanter, mais figurez-vous que mes chroniques ont reçu la brillante note de 3 T dans Télérama par Laurence Le Saux.
02:19 Alors je sais que nos auditeurs sont plus figaro que Télérama.
02:22 Ce magazine bobo islamo-gauchiste.
02:24 Mais c'est toujours agréable d'avoir son travail reconnu, même si c'est par des gens qui mangent du boulgour,
02:29 et qui prénomment leurs enfants Safran et Marie Sarwell.
02:32 Puisqu'on a salué nos amis de Télérama, j'aimerais dire un mot sur Jean-Pierre Elkabach, que Nicolas Canteloup imite à merveille.
02:39 Et il adorait être imité, il disait "tu peux y aller, vas-y Nico".
02:43 Alors c'est le seul qui incitait Nicolas à l'imiter.
02:46 Jean-Pierre écrivait sa première question, comme nous les auteurs, on tente d'écrire des vannes sans gras.
02:51 Elle était toujours brillante sa première question.
02:53 Après les autres s'en foutaient.
02:55 Jean-Pierre Elkabach avait une faculté de comprendre et de scanner les gens.
02:58 Moi, il ne m'a jamais parlé politique parce qu'il avait compris que j'étais un con.
03:02 Il me disait tout le temps "eh, j'ai fait 100 pompes, 200 abdos, tous les matins".
03:06 Il se vantait de ça moi.
03:08 Alors s'il m'engueulait sur un truc, parce que j'avais un running gag sur Jean-Pierre Elkabach,
03:12 je disais qu'il passait son temps à la Mamounia, le palace de Marrakech.
03:16 Il me disait "arrête, arrête, j'y suis allé deux fois en 50 ans".
03:20 Et une fois, je vais à Marrakech, j'arrive et qui y a sur la terrasse ?
03:24 Mon Jean-Pierre Elkabach qui me dit "eh, tu m'as pas vu, tu m'as pas vu".
03:28 [SILENCE]