[#Reportage] Cnamgs : grogne sociale contre l'arrêt prématuré de la révision du fichier
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00:00 [Bruits de la foule]
00:14 -Saut Gabon, je ne suis plus le journal de 20 heures,
00:18 mais depuis qu'on a eu le nouveau président Président Nguema,
00:21 il doit nous libérer en tout et toutes choses.
00:24 Nous sommes ici depuis 5 heures.
00:26 Les mamans, les papas et les enfants à mieux connaissance
00:30 voudraient que ça change, on veut le changement,
00:32 les mêmes habitudes d'avant et ça revient encore.
00:35 Si c'était pour donner de l'argent, on devrait déjà être même terminé cette affaire-là.
00:39 Mais comme on ne donne plus l'argent, le merde de Ndiaye, il est à refaire.
00:43 [Bruits de la foule]
00:44 -Monsieur Olivier, nous avons un mot à dire.
00:48 Vous faites tout pour organiser, rendre à l'aise,
00:52 des pères, des mères, des enfants, rendre à l'aise.
00:57 On a des difficultés dans les bâtons, papa.
00:59 -Tiens notre sauveur.
01:00 -Tiens notre sauveur, tiens tout fort pour nous, papa.
01:03 Fais un effort, également pour le gendarmisme,
01:06 le gendarmisme de la France, il y a toujours le combat, papa.
01:11 Je ne vous le dis pas, il y a des gens là,
01:13 qui restent toujours à barrer, et nous, nous, nous détruisons.
01:17 Merci, merci pour votre soutien.
01:19 [Bruits de la foule]
01:22 -Nous ne nous sommes pas informés, ils n'ont pas réfléchi.
01:24 C'est ce matin que nous sommes étonnés de savoir que la dernière date c'est le 23.
01:28 -Vraiment ?
01:29 -Oh, nous nous sommes informés du 30.
01:31 Donc nous arrivons, et nous sommes là, nous ne sommes pas reçus,
01:34 des pères, des mères, des familles, comme vous l'étiez, c'est à dire.
01:37 Nous avons barré la route, nous n'avons fait aucune violence.
01:40 Nous n'avons rien cassé, nous n'avons fait de mal à personne.
01:43 Mais nous sommes là, on a juste barré la route pour revendiquer nos droits.
01:47 -Nous interpellons Papa Oligi, le président de la République gabonaise, actuel.
01:52 Le père des Gabonais, celui que Dieu a élu à la terre de cette nation.
01:56 Il dit que Papa, nous voulons un changement total.
02:00 On ne veut pas le semblable de changement, on veut un changement total.
02:04 Et nous demandons au président de la République d'envoyer des agents dans les maisons des Gabonais.
02:11 Les Gabonais souffrent.
02:13 Les Gabonais souffrent à une dimension que vous ne pouvez pas imaginer.
02:16 Ne suivez pas les vêtements de personne.
02:22 Allez dans les maisons et rendez-vous compte de la souffrance des Gabonais.
02:25 On n'a pas d'eau, pas d'eau, pas de courant.
02:28 Allez un peu dans la zone des Nzayons-Montagnes, les gens souffrent.
02:31 Je vous l'ai mentionné, nous avons encore un boulot de guerre.
02:35 Parce qu'on n'a pas d'eau, on se lave avec l'eau, le cou est crevé.
02:38 Nous interpellons le président de la République, qui est notre père, aujourd'hui,
02:42 en disant que les Gabonais veulent se faire abonner.
02:46 Dans l'ordre, sans ceci, sans ceci.
02:49 Voilà, je vous le dis, on n'a pas conçu de filon.
02:52 Notre pays doit avoir un changement, comme le président de la République l'a dit
02:56 au palais des justice, le pays change.
02:59 Les Gabonais aujourd'hui souffrent à la souillée de l'air froid.
03:03 Nous mangeons un fouille de pain.
03:05 Pour manger c'est dur, pour avoir l'argent c'est dur, pour le travail c'est dur.
03:10 On nous a appelé, qu'il faudrait qu'on refaite la crème au jus, qu'on refaite du bouillon.
03:17 Donc aujourd'hui, les autres ont commencé à faire.
03:20 Quand on a suivi ça à la télévision, que ça a fini le 30,
03:24 c'est pourquoi nous sommes venus, toute la population, pour faire un roulement.
03:29 Quand on arrive, on nous dit que le roulement s'a annulé.
03:33 On va dire que ça a annulé comment ? Le roulement c'est jusqu'au 30.
03:36 Vous dites que c'est samedi, c'est fini, samedi 13.
03:39 Le 30, on a avancé dans la télévision.
03:41 Nous on fait comment ? Il y a des mamans qui ont quitté avec leurs enfants,
03:45 qui sont malades. Nous même on est malades.
03:48 Les parents sont malades, il y a les hôpitaux, il y a des cassés, il y a des exécutants.
03:53 Aujourd'hui ils sont pas enrôlés.
03:55 Nous, les mamans qui sont faibles, on fait comment ?
04:00 Nous sommes confrontés ce matin sur ce qu'on cesse d'enrouler.
04:04 Il y a un message qui a été donné, que les abonnés devaient être enrôlés jusqu'au 30
04:08 concernant la crame du geste, les abonnés économiquement faibles.
04:11 Nous sommes surpris qu'en arrivant ce matin, on nous fait comprendre
04:14 que l'opération était arrêtée depuis le 23,
04:17 pendant que l'information est partout que c'est jusqu'au 30.
04:20 Donc on se dit, qu'est-ce qui se passe exactement ?
04:24 Soit tu n'as pas de communication entre toi ou c'est inflexible,
04:27 parce que les autorités ont dit que c'est jusqu'au 30.
04:29 Et si on vient, on dit que tout s'arrête.
04:31 Tout s'est arrivé depuis le 23.
04:32 C'est pas vrai.
04:34 C'est pas vrai.
04:35 C'est pas vrai.
04:36 C'est pas vrai.
04:37 On a considéré que le pays n'est pas en train de s'arrêter.
04:41 Je le sens.
04:42 C'est arrivé.
04:43 On l'a dit même des présidents.
04:45 On l'a dit pour 5 ans.
04:47 Mais ça ne s'est pas arrêté.
04:49 Mais la situation n'a pas de se faire arrêter.
04:51 Alors, il n'est pas fait.
04:53 Je le sens.
04:54 Mais ça ne s'est pas fait.