Au coeur de la mêlée avec Jean-Pierre Garuet

  • l’année dernière
Votre émission de rugby quotidienne avec François Trillo, Lucien Gasparac et Andrew Mehrtens. Au programme : retour sur la composition du XV de France face à la Namibie et des invités de marque avec Jean-Pierre Garuet, David Darricarrère et Patrick Chapuis.
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##AU_COEUR_DE_LA_MELEE-2023-09-19##

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Sport
Transcription
00:00 Bonsoir à tous au cœur de la Mêlée, l'émission rugby de Sud Radio, la radio de la Coupe du Monde de Rugby.
00:05 Au sommaire ce soir, le retour des cadres dans le 15 de France face à la Namibie,
00:08 la compo des Sud-Africains un petit peu surprenante face à l'Irlande
00:11 et toutes les dernières infos dans le journal de la Coupe du Monde.
00:13 Au cœur de la Mêlée, avec un beau casting, Andrew Mertens notre consultant,
00:17 le plus bleu des All Blacks, David Daricarer l'entraîneur de Castres
00:20 et puis Jean-Pierre Garuet l'ancien pilier du 15 de France.
00:23 Nous irons également en Namibie et en Irlande.
00:26 Des cadeaux également à gagner dans cette émission qui je suis ce soir vers 20h52,
00:31 le jeu que vous attendez.
00:32 Voilà, c'est ça la Coupe du Monde sur Sud Radio.
00:35 Merci d'être avec nous au cœur de la Mêlée.
00:37 Bonsoir à tous, bonsoir Lucien Gasparac, Adrien Abadie, toute l'équipe en place.
00:47 Bien sûr, vous les auditeurs au 0826 300 300, vous êtes les bienvenus pour jouer avec nous,
00:52 pour interagir avec nous et bien sûr le hashtag #SudRadioRugby
00:57 sur les différents réseaux sociaux, la chaîne Twitch notamment de Sud Radio.
01:02 Bonsoir Andrew Mertens, comment ça va Andrew ?
01:05 Oui bonsoir bien sûr, très bien cette semaine suite à une victoire néo-irlandaise
01:11 enfin dans ce tournoi, donc bien, un autre bon week-end de rugby.
01:16 Voilà, avec demain le troisième week-end, le troisième bloc de compétition
01:20 de cette première phase qui débute avec Italie, Namibie,
01:24 on en parlera bien sûr au cœur de la Mêlée demain soir.
01:28 On va tout de suite enchaîner quand même Andrew pour avoir les dernières news
01:33 avec Lucien, les dernières nouvelles dans le journal de la Coupe du Monde.
01:37 Lucien Gasparac, Fabien Galtier a annoncé son équipe pour défier les Namibiens,
01:46 on va dire du classique par rapport à ce qu'on avait annoncé hier, mais une surprise.
01:49 Oui, il y avait peu de suspense, c'était le retour des joueurs dits premium
01:53 pour ce match contre la Namibie jeudi soir, mais une surprise,
01:56 celle de l'absence de Grégory Aldryth, forfait de dernière minute suite à une blessure au genou.
02:01 Alors c'est sûrement un petit forfait, c'est sûrement plus pour préserver le joueur
02:04 pour le reste de la compétition, mais voilà, c'est la surprise à noter.
02:07 Et c'est Anthony Gelong qui va remplir au poste de numéro 8.
02:10 On va aussi retrouver Louis Biel-Beret qui remplace Gabin Villière
02:13 et aussi le retour de blessure de Jonathan Danty et Cyril Baille.
02:17 Voilà, avec un banc en 5-3 côté français, mais en tout cas,
02:21 on en parlera avec Andrew tout à l'heure sur cette compo des français.
02:25 Vous êtes bien Andrew sur les français ?
02:27 Là, je peux préparer votre copie, parce que nous, on vous attend sur cette compo.
02:34 On va écouter peut-être le sélectionneur.
02:36 Oui, Fabien Galtier qui a parlé de la manière dont il fait sa composition.
02:40 Nous, en fait, on compose nos équipes à la semaine.
02:45 C'est-à-dire que dès le lendemain du match, dans le staff,
02:49 on a une mécanique de construction d'équipe où chacun pose la sienne
02:53 et puis je synthétise jour après jour en fonction du ressenti.
02:57 Nous, on travaille, notre méthode, elle est basée sur l'adaptabilité.
03:02 On s'adapte et on lie en fonction des échéances.
03:07 C'est un peu la théorie de Darwin.
03:10 Si ça vous intéresse, on peut aller plus loin.
03:13 Vous savez, Darwin, pour survivre, ce n'est pas les espèces les plus fortes,
03:17 ni les plus intelligentes qui survivent.
03:19 C'est celles qui s'adaptent.
03:20 Donc, on essaie de suivre un petit peu le conseil de Darwin.
03:23 Voilà, un peu de philosophie aussi, ça ne fait pas de mal dans un point de presse.
03:27 Et ça aussi, l'avantage avec Fabien Galtier,
03:30 les Namibiens ont annoncé leur compo, mais bizarrement, on sera peut-être moins bavard.
03:35 Oui, les Welwischias, je me suis entraîné toute la journée pour prononcer le surnom des joueurs namibiens,
03:41 ont annoncé leur composition et 9 changements suite à leur défaite face au All Blacks 71 à 3.
03:46 Et on retrouvera Peter-Jan van Leeuwen, 39 ans, qui sera remplaçant.
03:50 Il a longtemps joué à Bayonne en professionnel.
03:52 Et depuis 2022, il joue à Cap Breton-Osgore en Régional 2, soit au 9e niveau français.
03:57 Ça risque de lui faire un peu de rôle jeudi soir sur la pelouse du Vélodrome.
04:00 Mais on peut penser quand même que s'il est là, il est en forme.
04:02 Les deux équipes qui vont évoluer dans le mythique stade Vélodrome, stade de l'OM.
04:06 Oui, et Thomas Ramos, exactement.
04:08 Le stade Vélodrome qui va recevoir le Pape en fin de semaine, mais avant ça, il y aura le fameux France Namibi.
04:12 Donc c'est une sorte de messe avant l'heure.
04:14 Et Thomas Ramos qui a mis en avant ce matin en conférence de presse l'ambiance si particulière
04:17 qui règne dans ce stade et à quel point elle galvanise les joueurs. On l'écoute.
04:21 J'ai joué deux fois, une fois avec le stade et une fois avec l'équipe de France.
04:25 C'était des ambiances assez particulières.
04:28 C'est un stade qui est quand même assez fermé, maintenant qu'il y a le toit.
04:31 J'ai des souvenirs contre l'Afrique du Sud où on ne s'entendait pas à 2 mètres tellement il y avait du bruit.
04:36 Donc ça change aussi un petit peu du stade de France où il y a une grosse ambiance.
04:41 Mais la proximité avec les supporters, la piste d'athlétisme, on est un peu plus loin.
04:45 Là, on est vraiment proche des supporters au Vélodrome.
04:48 Je pense qu'on a hâte de rejouer dans ce stade parce que l'ambiance est quand même incroyable.
04:54 Et puis voilà, le stade est magnifique aussi, il faut dire ce qui est.
04:58 Donc voilà, je pense qu'on a à cœur de faire un beau match dans ce beau stade.
05:02 On l'espère, ça sera donc jeudi soir à 21h pour les Français face aux Namubiens.
05:09 Les Sud-Africains, eux, joueront à Marseille mais un peu plus tard.
05:12 Là, ils vont jouer ce week-end au stade de France face à Dyalan.
05:15 C'est un peu le match choc de cette première phase.
05:17 Oui, il faut le dire, cette semaine c'est le match au sommet qui attire toutes les attentions.
05:21 Et ils ont dévoilé leur composition d'équipe, les Sud-Africains.
05:23 Un 15-1 classique, mais surtout le banc des remplaçants qui nous intéresse
05:26 puisqu'ils ont procédé à un 7-1.
05:28 Alors c'est un peu rare le 7-1. Qu'est-ce qu'un 7-1 ?
05:30 C'est 7 avant remplaçants pour un seul 3 quarts remplaçants.
05:33 Donc voilà, la stratégie est claire. Concassés devant les Irlandais.
05:38 Et donc on va retrouver notamment Quagga Smith qui sera un peu au fils de Couto-Suisse.
05:42 Il s'est déblayé sur derrière, mais une stratégie peut-être risquée qui peut s'avérer aussi payante.
05:46 Et Rassi Erasmus, le directeur du rugby Sud-Africain,
05:49 qui a décidé de faire un peu monter la température avant ce match en conférence de presse.
05:53 Il a rappelé le pédigré des Irlandais en Coupe du Monde.
05:56 Il a dit "on dit que l'Irlande est la bête noire des Sud-Africains,
06:00 mais la Coupe du Monde est la bête noire des Irlandais
06:02 puisque les Irlandais n'ont jamais franchi le stade des quarts de finale en Coupe du Monde".
06:06 Il aime bien ça, Rassi Erasmus.
06:08 Ce qu'on peut dire quand même, c'est que c'est la première fois que ces deux équipes vont s'enfronter en Coupe du Monde.
06:12 Donc ça c'est un élément important.
06:14 Et que sur les 10 derniers matchs qui les ont opposés, il y a eu 6 victoires pour les Irlandais, 4 pour les Sud-Africains.
06:20 Andrew Mertens, quand même réaction sur le 7-1 des Sud-Africains.
06:25 Alors c'est pas la première fois, je crois que c'est la troisième fois qu'ils le font.
06:28 C'est quand même un peu surprenant, c'est même un peu risqué quand même, non ?
06:31 C'est pas un secret ce qu'ils cherchent à faire.
06:34 Ils ont dit même ça en dernière Coupe du Monde, en 2019, avant la finale.
06:38 Ils ont dit qu'on va faire ça, on va chercher tout bloquer et tout ça.
06:44 Et c'était pas un secret, rien de surprise.
06:47 Et les Anglais ont eu de la difficulté en franchissant la ligne défensive.
06:53 Donc ils vont tenter de faire pareil.
06:56 Je pense que les Irlandais, ça va leur faire peur quand même.
07:00 Donc c'est un challenge pour eux, mais ils ont les moyens de trouver de l'espace et tout ça.
07:05 Donc bon, ça va être vraiment intéressant.
07:09 Mais pour les Sud-Africains, voilà, on est là, on est costaud, on va jouer comme ça.
07:14 Et bon, il faut gérer ça.
07:18 Bonne chance aux Irlandais.
07:20 Il faudrait pas qu'il y ait trop de blessés, que Sneijman rentre à l'ouverture quand même dans ce 7-1.
07:25 Ce 7-1 qui nous paraît un petit peu...
07:29 Alors oui, c'est pas mal en match de préparation, c'est des tests.
07:32 Mais quand même là, on va dire, il joue gros.
07:34 Il joue la première place de la poule samedi, en tout cas à suivre.
07:38 Andrew, on vous remercie bien sûr de vous rester avec nous.
07:41 Tout comme vous les auditeurs, 0826-300-300.
07:44 Vous nous appelez parce qu'on aura des cadeaux à vous faire gagner.
07:46 Tiens, le livre de Daniel Hérault, dans quelques minutes, le dictionnaire amoureux du rugby des temps modernes.
07:50 0826-300-300.
07:52 Et puis on va revenir sur les principales informations qu'on va développer avec vous.
07:56 On va décrypter avec Andrew, notamment, la compo du 15 de France.
08:01 On est au cœur de la Mêlée sur Sud Radio.
08:03 A tout de suite.
08:04 Avec vous les auditeurs Sud Radio, au cœur de la Mêlée, le magazine de la Coupe du monde de rugby.
08:08 Sur Sud Radio, la radio de la Coupe du monde de rugby.
08:11 Andrew Mertens est avec nous, notre consultant Sud Radio.
08:14 Et on accueille un invité de marque ce soir, David Darricarrère, entraîneur de Castres.
08:19 Salut David !
08:20 Bonsoir, bonsoir à tous.
08:22 Merci d'être avec nous en direct sur Sud Radio.
08:25 Alors, on va quand même parler de cette compo des Bleus, Andrew.
08:29 12 changements côté français pour affronter la Namibie jeudi à Marseille.
08:35 Est-ce que ça vous semble logique de faire revenir les cadres côté français,
08:39 après le match, la deuxième victoire un petit peu plus poussive face à l'Uruguay ?
08:45 Oui, je pense que c'est logique.
08:49 Mais on va avoir peut-être l'opportunité des remplaçants de faire pas mal de temps sur le terrain.
08:55 Donc on va voir peut-être la meilleure équipe française commencer le match,
09:01 retrouver un peu de cohésion avant de laisser entrer aussi peut-être des remplaçants
09:06 pour faire pas mal de temps.
09:08 Mais c'est logique de commencer là pour aller jusqu'à la finale.
09:12 Ça commence là maintenant.
09:13 Il y a Namibie, il y a un match plus dur après ça avec l'Italie,
09:16 après quart de finale, demi-finale et finale.
09:19 Donc ça c'est le trajet.
09:22 Et c'est logique de commencer avec l'équipe effectivement normale.
09:26 Sauf que, évidemment, il y a Jolange qui a l'opportunité de se mettre en position
09:32 pour faire un rôle plus important dans l'équipe.
09:35 Il n'est pas seul, mais ils ont peut-être raté un peu l'occasion jeudi soir,
09:42 le jeudi dernier, de vraiment bien jouer.
09:46 C'est difficile pour l'équipe française de trouver la cohésion,
09:49 surtout contre Uruguay qui a bien défendu.
09:53 Mais ça n'a pas aidé peut-être les remplaçants français
09:56 de se mettre en position de trouver un maillot, un jusqu'à 15.
10:02 - Oui, David Darricarrère, vous l'entraîneur adjoint de Castres,
10:08 on va dire vous comprenez vos collègues du 15 de France
10:13 qui ont à nouveau changé, 12 changements, en refaisant revenir un peu les cadres ?
10:19 - Oui, vous savez, ils ont besoin de confiance.
10:25 Ils ont besoin de vécu, de repères.
10:28 Et je pense que ça va se faire pendant les matchs.
10:31 Donc oui, évidemment que les cadres qui sont sur le terrain vont amener ça.
10:37 Et je pense que ce qu'ils vont rechercher jusqu'à la fin de cette Coupe du Monde maintenant,
10:43 c'est de la confiance, des repères,
10:45 et il faut évidemment jouer avec ces cadres pour trouver cette confiance-là.
10:49 - De la confiance et du rythme aussi, David.
10:51 Il leur faut ça, en fait, parce que c'est vrai qu'il va y avoir deux semaines.
10:55 C'est le 6 octobre après le match suivant.
10:57 - Oui, bien sûr, il faut qu'ils jouent.
11:00 Et il faut qu'ils jouent ensemble.
11:02 Je pense que les entraînements, même si c'est des oppositions assez élevées,
11:07 avec un rythme assez élevé, un niveau physique assez élevé,
11:10 ça ne remplace pas les matchs, ça ne remplace pas la cohésion qu'il peut y avoir lors des matchs,
11:15 les repères, etc.
11:16 Mais ils ont surtout besoin de jouer,
11:19 d'avoir du temps de jeu sur des matchs vraiment à haute intensité.
11:24 - Lucien Gasparrac.
11:26 Est-ce que la blessure de Gregorio Heldritch, c'est aussi pour le préserver, vous pensez,
11:30 après les matchs à haute intensité qui vont arriver en suivant ?
11:34 - Oui, évidemment.
11:36 Evidemment, je pense qu'ils ont aussi pas mal de joueurs à ce poste-là.
11:41 Ça tombe bien quand on y puisse enchaîner aussi.
11:44 Je pense que ça tombe bien pour eux.
11:45 Ils ont cette opportunité-là de le faire enchaîner.
11:47 Je pense que lui aussi a besoin de matcher
11:51 et que Gregorio Heldritch soit un peu ménagé pour ce match-là.
11:55 En sachant que les autres matchs vont être déterminants par la suite.
11:59 Donc oui, c'est une bonne opportunité pour eux et pour ménager Gregorio Heldritch
12:04 et surtout pour faire enchaîner Anthony Challot.
12:07 - Effectivement, ce sera l'opportunité.
12:10 Andrew Mertens, Louis Biel-Biarré, ça vous inspire quoi,
12:15 ce jeune aîlé que l'on voit qui est en train de monter petit à petit dans le collectif français ?
12:22 - Oui, c'est l'énergie qu'il apporte.
12:24 C'est juste une volonté d'aller chercher le ballon,
12:28 de créer, d'être créatif.
12:31 C'est l'attitude.
12:33 Et en plus, évidemment, il a besoin de vitesse pour finir les mouvements.
12:38 Il est là, mais en plus d'aller chercher le travail, d'aller chercher le ballon.
12:42 Comme je dis, l'attitude, l'énergie, c'est bien pour les coéquipiers.
12:47 - C'est bien pour les coéquipiers.
12:49 David, qu'est-ce qu'on doit attendre en termes de score ?
12:52 Ils peuvent faire jouer au jeu des pronostics, mais quand même un petit peu.
12:56 On attend plus de 50 points, au moins, face aux Namibiens jeudi ?
13:01 - Franchement, si le contenu est à la hauteur des attentes,
13:06 et notamment du retour avec cette grosse équipe,
13:09 je pense qu'on peut s'attendre à un score assez levé, oui.
13:11 Mais je pense que les coachs vont surtout s'attacher au contenu
13:14 pour qu'il y ait après de la continuité dans la suite de la compétition.
13:18 - Alors, ce week-end, ce sera bien sûr ce match France-Namibie,
13:22 mais le temps fort, ce sera samedi, Afrique du Sud, Irlande, au Stade de France, 21h.
13:26 Cette composition sud-africaine qui vient de tomber, David,
13:29 votre regard de coach, 7 avant sur un banc, un seul 3/4 qui est un demi de mêlée.
13:36 Ça vous inspire quoi ?
13:38 - Ils avancent la couleur, c'est-à-dire qu'on sait que le rugby sud-africain
13:44 a fait de gros défis physiques sur la ligne d'avantage,
13:48 en usant énormément leurs avants.
13:50 Le fait qu'ils mettent beaucoup d'avant sur le banc reflète aussi leur projet,
13:54 tout simplement, ils sont cohérents avec leur projet.
13:57 Après, ils ont des joueurs derrière qui sont quand même assez polyvalents,
14:02 mais bon, il ne faut pas qu'il y ait trop de casses non plus,
14:04 parce que, comme tu disais, c'est Naïman ou Dutoit qui se retrouvent en 10.
14:08 Je ne pense pas qu'il y ait le grand d'envolée non plus.
14:11 - C'est sûr. Quand même, Andrew Mertens, les All Blacks,
14:15 ils ne peuvent pas décider exactement qui sera leur adversaire,
14:18 ils vont devoir subir ça, mais qu'est-ce qu'on préfère en Nouvelle-Zélande ?
14:22 Tomber sur les Sud-Af ou tomber sur les Irlandais ?
14:25 - Il ne peut pas du tout, honnêtement.
14:27 Je pense que les All Blacks vont se concentrer sur leur jeu,
14:32 et après, ils vont trouver l'équipe qui gagne le samedi soir.
14:38 Donc, je pense que pour moi, en quart de finale,
14:43 je préférais peut-être rencontrer les Sud-Africains,
14:46 et je pense en finale, peut-être les Irlandais.
14:50 Je ne sais pas pourquoi, mais c'est juste vu l'histoire des deux équipes
14:56 contre la Nouvelle-Zélande, je préférais la voir comme ça,
14:59 si jamais on arrive en finale en tant que Néerlandais.
15:02 - Vous ne voulez pas retrouver la France en finale, Andrew ?
15:04 - En finale, évidemment, oui.
15:09 Mais pour la France, oui.
15:11 Mais des deux équipes, je préférais rencontrer les Sud-Africains en quart de finale.
15:16 - Voilà, on verra ça.
15:20 En tout cas, ce qui est certain, messieurs, c'est que pour l'instant,
15:24 le meilleur public, on ne sait pas qui va gagner sur le terrain
15:26 à Saint-Denis samedi entre l'Afrique du Sud et l'Irlande,
15:28 mais le meilleur public, c'est le public irlandais.
15:30 On l'a vu à Bordeaux, on l'a vu à Nantes,
15:33 et là on va le voir sans doute dans Paris, et avec nous, pour en parler,
15:36 une supportrice irlandaise, elle s'appelle Catherine,
15:39 elle est avec nous et elle vit cette Coupe du Monde en France.
15:44 Bonsoir Catherine.
15:46 - Bonsoir.
15:47 - Merci d'être avec nous en direct.
15:49 Alors expliquez-nous, pourquoi les Irlandais sont si sympas
15:52 et pourquoi c'est un peu les chouchous des organisateurs français ?
15:57 On adore les Irlandais.
16:00 - Oui, c'est la joie de vivre des Irlandais,
16:04 et c'est dans le sang, c'est une partie de notre culture.
16:12 Nous adorons le rugby et particulièrement cette équipe.
16:19 Johnny Sexton, le meilleur marqueur de point de l'histoire de l'équipe irlandais,
16:26 les Jimmy DeMellet, Connor Murray, les Allier, Ring Rose, Hansen,
16:35 toute l'équipe quoi.
16:37 L'atmosphère dans les stades, c'est formidable.
16:42 - Est-ce que les Français sont sympas avec vous, vous Catherine, supportrice de l'Irlande ?
16:47 - Est-ce que vous pouvez répéter s'il vous plaît ?
16:52 - Est-ce que les Français que vous croisez autour des stades, dans les villes,
16:57 comme à Nantes samedi, comme peut-être à Paris ce week-end,
17:00 est-ce que les Français sont sympathiques avec vous, sont cools ?
17:05 - Ils sont très sympathiques.
17:07 Très très sympathiques, on chante ensemble, ensemble on boit ensemble,
17:13 on embrasse et quand on a une casquette comme moi, une casquette verte,
17:22 quand on porte une casquette verte, on peut parler avec tout le monde,
17:27 tout le monde s'intéresse au rugby et les supporters sont en bonne humeur.
17:35 Pas comme dans le football, on n'est pas agressif, on chante ensemble et on pleure ensemble.
17:50 Ça c'est la raison que j'adore le rugby.
17:53 - Catherine, est-ce que vous allez pleurer ou rigoler samedi soir face aux Sud-Africains ?
17:59 - Oh, je prie, je prie que je vais pleurer et célébrer du même temps.
18:06 - On vous le souhaite en tout cas.
18:08 Merci d'avoir été avec nous en direct Catherine sur Sud Radio, c'est toujours un plaisir.
18:14 Et c'est vrai quand même, je ne sais pas David et Andrew, je sais que vous allez sur beaucoup de matchs,
18:18 je ne sais pas si David tu as eu l'occasion encore d'aller sur les stades,
18:22 mais c'est vrai que ce public irlandais est quand même extraordinaire.
18:25 - C'est une vraie culture, c'est une vraie culture du rugby, c'est une vraie culture de supporters.
18:31 Ils sont supporters jusqu'au bout des ongles, de 7 à 77 ans, même plus vieux je suppose.
18:40 Après c'est le respect qu'ils ont, c'est le respect qu'ils ont du joueur,
18:44 de tout l'environnement autour des stades.
18:47 Et après c'est un public festif aussi et qui aime faire la fête dans le bon sens du terme.
18:53 - Merci David d'avoir été avec nous, David Darrichard, entraînant de 4.
18:56 C'est quoi le programme pour le CEO, vous avez repris l'entraînement, vous allez le reprendre ?
19:00 - On reprend demain, on fait un entraînement délocalisé à Carbon.
19:04 - Bonne reprise en tout cas et bon travail et bonne Coupe du Monde.
19:08 Andrew, petit mot sur ces supporters irlandais, est-ce que vous aussi ils vous séduisent ?
19:16 - Oui absolument, en tant que néerlandais on a toujours trouvé des Irlandais des gens fantastiques.
19:24 Ils font insulte à personne, il n'y a personne qui a un souci avec des Irlandais.
19:30 Ils sont là pour fêter, ils sont là pour s'engager et tout ça.
19:34 Et surtout cette équipe qui depuis longtemps a pris beaucoup mieux de l'équipe,
19:40 des joueurs qu'il faudrait en fait. C'est une équipe qui a des ressources,
19:46 c'est un sport en Irlande qui a des ressources limitées par rapport à l'Angleterre ou la France et tout ça,
19:51 mais ils prennent le plus possible des joueurs et de l'équipe et ça c'est impressionnant.
19:56 Ce qu'ils ont créé ces derniers quelques ans, ça a été impressionnant, c'est une super équipe.
20:05 C'est juste une joie de regarder jouer, même si on n'est pas de l'équipe contre,
20:10 on n'est pas Irlandais ou quoi, c'est juste de voir cette équipe à jouer, c'est un plaisir.
20:15 - Olivier est avec nous, Olivier notre auditeur qui a joué avec nous 0826-300-300,
20:21 Olivier de Frontignan bonsoir. - Bonsoir.
20:24 - Merci d'être avec nous, cette Coupe du Monde comment vous la trouvez vous depuis le début ?
20:28 - Très bien, franchement on se régale. Du sport, de la bonne ambiance,
20:32 ça change un peu du foot, c'est bon en ce sens, c'est un plaisir à voir quand même.
20:36 - Cette équipe de France face à Nanabibi, douze changements,
20:40 les boss qui reviennent aux commandes, confiants avant le match de jeudi ?
20:45 - Normalement, ça devrait être facile, après peut-être qu'ils vont profiter pour consolider leur jeu
20:51 pour les matchs à venir, car je pense que ça va être un peu plus compliqué que Nanabibi.
20:57 - Vous voyez un écart de combien, vous jeudi, Olivier ?
21:02 - Si on suit les stats des Blacks et d'Italie, on leur met 50 points.
21:07 - Bon, minimum. - Si les gens leur mettent 50 points, c'est bon.
21:12 - Les deux autres chocs du week-end, c'est notamment Irlande, Afrique du Sud, on en parlait,
21:19 et Pays de Galles, Australie, comment vous voyez les choses ?
21:21 - Moi je verrais l'Irlande, le rapport Pays de Galles, je parle de ça.
21:25 Et après peut-être Pays de Galles contre l'Australie.
21:28 - Andrew, vous partagez, vous ?
21:31 - Pays de Galles - Australie ?
21:33 - J'ai travaillé pour les Australiens, j'ai fait pas mal de temps avec eux,
21:39 donc évidemment je suis un peu engagé là, c'est un match hyper important pour les Australiens.
21:45 Donc s'ils perdent contre Pays de Galles, ils seront rendus tournois, effectivement.
21:50 Donc je pense qu'avec leur histoire, ils méritent d'être en quart du final,
21:56 mais bon, ça risque de ne pas se passer.
21:59 Et après c'est une victoire logique pour les Fidjiens qui ont très bien joué,
22:03 mais les Australiens contre Pays de Galles, c'est un super match, moi j'attends bien ça.
22:08 Évidemment samedi soir, le premier match, mais pour une équipe qui déjà a l'opportunité de sortir du tournoi,
22:15 bon, dimanche soir c'est important.
22:18 - Olivier, on va pas se quitter comme ça quand même, on va vous offrir un livre,
22:21 et quel livre ? Le Dictionnaire amoureux du rugby des temps modernes de Daniel Herrero chez Plon,
22:27 pour tout savoir aussi de la verve de Daniel sur le rugby d'aujourd'hui,
22:32 et partager cette passion que nous partageons sur Sud Radio.
22:36 Merci d'avoir été avec nous en direct, et merci pour votre fidélité.
22:39 A très vite sur notre antenne, au cœur de la mêlée,
22:42 c'est le magazine de la Coupe du monde de rugby,
22:45 on le vit sur Sud Radio, et on se retrouve dans quelques instants,
22:48 Jean-Pierre Garouet sera avec nous, gueule du rugby bien sûr,
22:51 on en parlera, on parlera d'autres légendes, on ira en Namibie également,
22:55 et puis il y aura le Qui je suis, restez avec nous.
22:57 Bonsoir, si vous nous rejoignez sur l'antenne de Sud Radio,
23:01 au cœur de la mêlée, le magazine de la Coupe du monde de rugby,
23:04 chaque soir à 20h, c'est votre rendez-vous bien sûr, du lundi au dimanche,
23:08 et puis bien sûr à partir du week-end, de tous les gros matchs que l'on suit en direct,
23:13 en intégralité, sur Sud Radio.
23:16 Les invités défilent, Andrew Mertens est là, c'est notre consultant Sud Radio,
23:21 un peu le plus bleu de nos anciens blacks, voilà, on aime les All Blacks,
23:25 et notamment Andrew Mertens, lui aussi, il a affronté l'All Blacks plusieurs fois,
23:30 et notamment lors de la Coupe du monde 87, c'est Jean-Pierre Garouet,
23:34 ancien première ligne du 15 de France, ancien pilier droit, salut Jean-Pierre !
23:39 - Oui, bonsoir, bonsoir !
23:41 - Merci d'être avec nous en direct, toujours un plaisir, beaucoup d'honneur,
23:45 mythique pilier du 15 de France, et puis avec nous également, Patrick Chapuis,
23:50 patron de Canon France, qui, comme Jean-Pierre, comme d'autres joueurs,
23:56 vous intéressez, Patrick, aux légendes du rugby, on va en reparler dans un instant.
24:03 Bonsoir Patrick ! - Bonsoir, bonsoir !
24:06 - Jean-Pierre, petit mot quand même sur cette équipe de France,
24:09 j'imagine quand même que ta passion pour le rugby, tu dois adorer cette équipe, Jean-Pierre.
24:17 - Bien sûr, à partir du moment où on a une bonne représentation, je dirais,
24:25 un peu locale, un peu dans notre pays, je dirais, de l'armada de Bigorre,
24:32 comme ça, de voir que cette mêlée est bien représentée et va de l'avant,
24:41 parce que, comme on dit souvent, "no scrum, no win", pas de mêlée, pas de victoire,
24:47 et ça... - Ça tient toujours, ça !
24:50 - Je suis convaincu, et ça, je n'ai jamais vu un champion du monde qui ne se fasse bouger en mêlée.
24:56 - Oui, c'est vrai, mais c'est vrai que, Jean-Pierre, je ne sais pas ce que tu en penses,
24:59 et Androu peut-être nous le confirmer, on voit beaucoup plus de mêlées en cette Coupe du Monde
25:03 que dans les deux éditions précédentes.
25:06 Alors, je pense que l'humidité y joue beaucoup, il y a quelques maladresses et tout,
25:09 mais c'est vrai qu'on voit pas mal de mêlées, tu dois te régaler, là, Jean-Pierre.
25:12 - C'est sûr, c'est sûr, et je crois que... Bon, ça fait partie, des fois, c'était surprenant de voir,
25:19 par exemple, passer demi-heure sans avoir eu de mêlée, donc on pouvait un peu se poser des questions,
25:25 mais bon, même s'il y a un temps qui est magnifique, et chaud, même très chaud,
25:32 mais je crois que l'humidité et puis des difficultés pour se passer le ballon,
25:38 ça fait que ça entraîne une mêlée, et moi, je ne suis que content, quoi.
25:43 - Androu, t'en penses quoi, toi ? C'est vrai qu'on voit beaucoup de mêlées, t'es d'accord, depuis ces premiers matchs.
25:50 - Ouais, c'est une bonne chose pour moi aussi, je dis pas ça seulement pour Jean-Pierre,
25:56 mais effectivement, c'est notre différence dans le sport, d'avoir des jeux différents dans le jeu,
26:03 pour vraiment gagner, pour vraiment faire du bien, donc si c'était juste un jeu de mouvement,
26:08 tous les joueurs seraient de la même taille, tout ça, donc là, on est là, pour notre sport,
26:14 pour offrir des opportunités à tout le monde, et de garder cette partie du jeu, c'est très important,
26:22 parce qu'après, en plus, d'avoir des joueurs, des piliers par exemple, qui portent bien le ballon partout sur le terrain,
26:30 mais s'ils sont pas capables de se tenir en mêlée, bon, ils sont perdus,
26:35 donc ça, pour moi, c'est une bonne chose, d'avoir cet équilibre entre le rôle principal pour les avants,
26:42 et en plus, le jeu général aussi, donc moi, je suis content,
26:47 je sais pas pourquoi, il y a beaucoup de mêlées, je pense que peut-être les piliers se mettent dans la ligne offensive,
26:52 pour pourrir un peu, pour pouvoir respirer de temps en temps, mais avec leur mêlée, c'est super.
26:59 - Bon, est-ce que Jean-Pierre Garouet, est-ce qu'il y a un pilier ou une mêlée qui t'a impressionné depuis le début de la Coupe du Monde ?
27:05 Pas forcément française d'ailleurs.
27:07 - Oui, à partir du moment où ça respecte ce jeu naval-sain, mais on revient par, on connaît par exemple les Irlandais,
27:19 je vois qu'ils sont dignes dans leur savoir-faire, et je crois qu'ils se compliquent pas,
27:27 on retrouve toujours ce pan naval-sain, vraiment, où ils dominent, ils amènent un poids sur la rencontre.
27:44 Je crois qu'après, on a vu, on a fait un bon match contre les blacks, les blacks ne sont jamais morts,
27:56 les sud-africains ont mis beaucoup, ont beaucoup récité la leçon,
28:04 et je crois que vraiment quand on voit le travail de la mêlée fermée, qui use et qui use beaucoup l'adversaire,
28:14 donc c'est vraiment, même à se, je dirais pas, à se poser des questions,
28:22 mais quand on parle des moments où on voulait supprimer un peu la mêlée,
28:27 vraiment les blocs ont fait revenir un peu ça.
28:32 - Sept avants sur le banc pour affronter l'Irlande, samedi, Jean-Pierre.
28:38 Patrick Chapuis est avec nous, c'est le patron de Canon France, les appareils photos,
28:44 et surtout parce que vous vous associez à cet événement,
28:48 et ça c'est aussi la richesse de la Coupe du Monde et de l'événement qui est long sur la durée,
28:52 parce que vous mettez en lumière aussi Patrick les légendes, un peu comme Jean-Pierre,
28:57 comme Philippe Sella qui je crois sera le capitaine de votre 15e légende demain.
29:01 - Oui absolument, l'idée pour Canon qui est également fournisseur de la Coupe du Monde de rugby cette année,
29:09 c'était de réunir, un peu une idée folle, je dois vous le dire,
29:14 parce qu'on se demandait au départ quand on a eu cette idée avec Philippe Sella et Jean-Pierre Pagès de Golfe du rugby,
29:19 si on allait pouvoir la mener à terme, mais l'idée était de créer un 15 de légende et les réunir physiquement,
29:27 puisque si vous allez sur internet il y a beaucoup de journalistes, de médias, de coachs,
29:31 de personnes diverses et variées, amateurs de rugby,
29:34 qui ont créé des 15 de légende mais à ma connaissance ils n'ont jamais été réunis physiquement.
29:40 Donc l'idée a suivi son cours, on a contacté les joueurs, on a reçu un enthousiasme vraiment émouvant
29:48 et grâce à eux le projet a vu le jour et demain nous réunirons 15 de légende,
29:55 alors ça a fait l'objet d'un comité de sélection, vous savez François les 15 de légende,
30:00 il y en a 10, 20, 30, 40, des centaines, c'est le nôtre.
30:03 C'est celui qui nous a semblé le plus représentatif de toutes ces légendes qui nous ont fait rêver
30:10 et on va reconstituer, en fait, leur rappeler ce qu'ils vivaient dans un match de l'équipe de France.
30:19 On va les loger dans un grand hôtel à Paris où ils étaient logés, je ne sais pas s'ils le font aujourd'hui,
30:25 mais un grand hôtel à Beauclaira absolument, ils vont partir de là, on va faire une cérémonie de remise des maillots chez Canone.
30:33 Alors il n'y aura pas le match, ils ne seront pas stressés, on va sauter le match
30:38 et on va passer de la cérémonie de remise de maillots à la troisième mi-temps.
30:41 Et donc on va tout simplement les célébrer, les honorer.
30:45 Quelques noms ou c'est encore confidentiel ?
30:48 Pardon ?
30:49 Quelques noms à nous révéler ou c'est encore...
30:51 Oui, écoutez, il y en a un qui est près de vous, Jean-Pierre Garouet, qui va mener cette ligne d'avant.
31:01 Devant, on aura Jean-Pierre Garouet, Philippe Baintrance, Daniel Dubroca,
31:06 on a en deuxième ligne Benazie, Jean-François Imbernon,
31:10 troisième ligne André Herrero, le plus vieux 85 ans, le plus jeune à 43 ans parce que le double.
31:17 Donc André Herrero, Thierry Dussautoir, Imanol, le grand Imanol tant par la taille que par le talent.
31:23 Charnière, Dimitri Achvili, titou la maison.
31:27 Au centre, Yannick, Yannick Josion, Philippe Sella, capitaine, cette belle sélection.
31:33 Et derrière, le mythique Jean-Michel Aguirre, grand chelème de l'équipe de France en 1977,
31:41 Philippe Bernadessal et Philippe Saint-André.
31:44 Il y aura effectivement du beau monde.
31:47 - Et puis il y aura, je tiens à souligner qu'il y aura également des...
31:50 parce que tout le monde n'a pas pu venir, certains, l'état de santé ne le permettait pas,
31:56 donc on a créé également un panel, ce qu'on a appelé l'Olympe des légendes, des légendes absolues.
32:03 Et nous aurons Pierre-Philippe Preux avec nous et nous aurons un certain Jean Trion.
32:08 - Oui, on le saluera d'ailleurs demain.
32:11 - Et ça fera plaisir de le voir de visu.
32:16 Voilà, très bien Patrick.
32:19 En tout cas, c'est une belle initiative aussi pour mettre en avant la culture demain,
32:25 la culture de ce jeu et de la perpétuer, ce qui est quand même très important dans le contexte
32:31 et vu l'évolution aussi du rugby.
32:33 Je veux vous remercier Patrick Chapuis, juste faire réagir quand même Andrew Mertens
32:36 sur cette culture des anciens qui est forte aussi en Nouvelle-Zélande.
32:40 Est-ce que c'est un peu du même style ?
32:45 Est-ce que c'est aussi fort ou aussi présent qu'en France ?
32:48 Comment vous pourriez le comparer ?
32:51 - Oui, il y a la même fierté, il y a les mêmes blagues.
32:56 Après tous les ans, juste les mecs qui se retrouvent, les mêmes blagues.
33:01 Mais la bonne chose, c'est qu'on ne s'est peut-être pas vu depuis un moment,
33:04 donc les blagues semblent vraiment bonnes, mais ce n'est pas le cas.
33:09 Mais une fois par an, il y a un dîner de réunion autour d'un match des blagues.
33:16 C'est rigolo juste de se retrouver, d'avoir des générations qui se mélangent aussi.
33:23 - C'est des réunions par générations ou alors c'est tous les anciens réunis,
33:28 quelles que soient les générations ?
33:30 - Tous les anciens.
33:32 C'est tous les anciens pour le dîner.
33:34 Moi, j'étais ravi la première fois que je suis allé.
33:36 Je pensais que ça allait être un peu ennuyant, peut-être avec trop de rugby,
33:42 mais c'était super.
33:44 Moi, j'étais à côté de Brian Williams, l'élier des années 70.
33:47 - Ah oui, magnifique.
33:49 Le père de Gavin Williams, c'est tout à fait...
33:54 - J'étais parmi tous les anciens.
33:59 Je cherchais des autographes à l'époque.
34:02 C'était super.
34:04 De se retrouver autour de la Coupe du monde, c'est une des plus belles choses pour moi,
34:09 de voir les anciens joueurs d'autres pays.
34:12 Tous les quatre ans, il y a un mondial, on peut se retrouver.
34:16 J'ai vu Seb Chabal, Yannick Nyanga.
34:19 Récemment, il cherche à organiser un match entre Stade français et Racing, les anciens.
34:25 J'étais pas disponible, heureusement pour tout le monde.
34:28 Mais bon, juste de voir les anciens adversaires aussi.
34:32 - Peut-être qu'on peut croiser François Piner dans cette Coupe du monde.
34:36 Vous l'avez vu ou pas, Andrew ?
34:39 - Je l'ai vu, en fait, je l'ai vu.
34:42 J'ai joué la paix contre nous en 95.
34:46 C'est un super moment, évidemment, pour les Sud-Africains qui vont jouer ce week-end à Paris.
34:53 Je pense qu'il y en aura pas mal.
34:55 Les Joe Swans, que je vois de temps en temps,
34:58 c'est une surprise peut-être pour quelques-uns,
35:00 mais on s'entend très très bien.
35:03 C'est un plaisir de les revoir.
35:05 Scott Berger, Brian Hibana, il est partout, ce mec-là.
35:10 Johnny Smith, ils sont des très beaux mecs.
35:13 Après, voir cette histoire ensemble, qu'ils soient avec les Anglais,
35:17 même les Anglais, les Français, les Sud-Africains, les Australiens,
35:21 c'est une fête, c'est une vraie fête pendant deux mois.
35:24 François Pinard, qu'on verra peut-être au Stade de France.
35:26 Paul Perrier, vous qui avez écrit un livre sur les 300 meilleurs joueurs de l'histoire.
35:29 François Pinard, en quelques mots, parce qu'on est déjà un petit peu en retard,
35:33 qu'est-ce que vous pourriez dire ?
35:35 - Pour vous répondre rapidement, il est en France, en tout cas,
35:38 il y a été début septembre, puisqu'il a lancé la première édition de la Rugby Heritage Cup,
35:42 le tout premier tournoi international de rugby scolaire.
35:45 - D'accord. Légende parmi les légendes,
35:48 parce que c'est vrai qu'il y a cette image aussi qui a marqué l'histoire du sport,
35:52 et au-delà du sport, c'est cette Coupe du Monde 95,
35:55 même si elle a fait mal à Androu et si elle nous a fait mal à nous, les Français.
35:59 - Oui, c'est un mauvais souvenir pour les bleus et pour les blacks.
36:02 On va faire un bond de 30 ans en arrière, effectivement, 95,
36:06 cette année-là, c'est le retour dans le giron du rugby mondial pour l'Afrique du Sud,
36:10 après 10 ans de mise à l'écart en raison de l'apartheid, forcément.
36:13 Et à l'époque, les boxe ne sont pas les ogres qu'ils sont aujourd'hui.
36:17 Personne ne s'attend à un gros parcours de leur part,
36:19 mais le pays a rendez-vous avec son histoire,
36:22 et c'est François Pinard qui va faire cette histoire avec son numéro 6 sur le dos.
36:26 Vous l'avez dit, une légende, un symbole,
36:28 après la victoire des Springboks sur les All Blacks en finale,
36:31 et quelques jours après nous avoir battus sous le déluge en demi-finale.
36:35 - Oui, ça, on s'en souvient. François Pinard, combien de sélections au final il a eu, François Pinard, avec les boxe ?
36:40 - Il y avait 29 sélections avec les boxe, toutes comme capitaine,
36:44 parce qu'on ne peut pas régimer François Pinard à ce rôle d'icône.
36:48 C'est aussi plus de 100 matchs avec le Transval,
36:51 une Curicape remportée en Super 10, l'ancêtre du Super Rugby en 1993.
36:56 - Et puis après il a entraîné les Saracens ?
37:00 - Il est passé, parce que personne n'est prophète dans son pays,
37:03 et malgré ses bons résultats et le titre de champion du monde,
37:06 il a été écarté en 1996 de la sélection,
37:09 et du coup il a rejoint les Saracens en Angleterre avec un certain Philip Sella dont vous avez parlé,
37:13 et Michael Laina aussi à l'époque.
37:15 - Et il avait entraîné un certain Thomas Castagnac, Abdel Benazie et Christian Califano également.
37:20 Merci Paul Perrier, les 300 meilleurs joueurs de l'histoire, c'est votre livre.
37:24 - Je suis talent édition.
37:27 - Bon super, du talent vous en avez, et on vous retrouve bien sûr très vite sur l'antenne de Sud Radio.
37:32 Dans un instant, on va voyager, on va aller du côté de la Namibie,
37:36 et ouais Androu, c'est ça la radio, on peut aller comme ça,
37:39 de la Nouvelle-Zélande à l'Irlande, en passant par la Namibie,
37:42 on va aller retrouver dans Terre de Rugby un de nos compatriotes,
37:46 qui va vivre ce match d'une manière un petit peu différente.
37:49 A tout de suite.
37:50 Dans un instant, votre jeu est des cadeaux, le Qui Je Suis,
37:53 ce jeu que vous attendez bien sûr comme chaque soir à la fin de l'émission,
37:56 on va aller aussi en Namibie bien sûr, mais n'oubliez pas quand même d'être avec nous
38:00 sur les réseaux sociaux, sur l'appli Sud Radio, et puis également sur notre chaîne Twitch.
38:04 Voilà, vos questions sont là, parfois on y répond, parfois on n'y répond pas,
38:08 mais surtout vous, n'hésitez pas quand même à en poser,
38:12 parce que Adrien Abadie veille sur la chaîne Twitch,
38:16 et nous sommes là, nous vous surveillons.
38:19 Nous allons partir du côté de la Namibie, retrouver un de nos compatriotes.
38:23 Sud Radio, au cœur de la mêlée.
38:26 Bonsoir Grégory.
38:41 Bonsoir, merci d'être en invitation.
38:44 Merci d'être avec nous en direct de Namibie.
38:47 Alors vous êtes où exactement en Namibie ?
38:50 Alors en ce moment je suis à Vindouk, la capitale.
38:53 D'accord. Combien d'habitants à Vindouk et en Namibie ?
38:57 Il faut qu'on travaille un peu notre géographie avant jeudi.
39:00 On va mettre un peu de contexte.
39:03 La Namibie, ce pays au nord de l'Afrique du Sud, c'est un tout petit pays.
39:08 En termes de surface, c'est presque deux fois la France,
39:10 mais en termes de population, on est seulement à 2,5 millions d'habitants.
39:14 En termes de licenciés de rugby, on est seulement à 20 000 hommes, femmes, enfants confondus
39:20 quand il y en a 300 000 en France.
39:22 C'est pour vous dire le plus petit potentiel qu'il y a ici,
39:27 mais c'est une nation qui a été présente cette fois dans son histoire en Coupe du Monde,
39:32 depuis la création de la compétition.
39:34 Donc deuxième meilleur de l'Asie.
39:36 Et comment se vit la Coupe du Monde ?
39:38 Parce que d'abord il n'y a pas de décalage horaire, ou quasiment pas, peut-être une heure.
39:41 C'est la première fois.
39:43 Et comment elle se vit en Namibie ?
39:46 C'est un sport qui est un peu moins suivi que le foot ou l'athlétisme,
39:51 mais les Namibiens sont en tout cas très fiers de leur équipe nationale et ceux, tous sports confondus.
39:56 Donc je peux vous dire qu'ici, chaque point marqué,
39:59 peut-être même, on espère, un essai sera célébré,
40:02 autant que l'équipe qui soulèvera la Coupe à la fin.
40:05 Ce qui est dingue, c'est que les Namibiens n'ont jamais remporté un match.
40:09 Je crois que c'est leur septième édition en Coupe du Monde.
40:12 Et pourtant, il y a malgré tout ce soutien,
40:15 parce qu'à la force, ils devraient un peu se lasser, non ?
40:18 Les supporters namibiens.
40:21 Oui, mais j'ai eu la chance d'échanger avec quelques joueurs,
40:25 comme le capitaine Johan Dezel.
40:28 Et je pense que comme toutes les équipes outsiders,
40:31 c'est des joueurs qui sont très fiers de porter leur maillot,
40:34 de représenter leur pays pour cette compétition en France.
40:38 Et puis, il faut savoir que la plupart d'entre eux sont amateurs,
40:41 ils partagent leur passion du rugby avec une activité à côté, ou des études.
40:45 Et donc, même les professionnels,
40:48 ils sont tous dispersés aux quatre coins du monde dans des tournois différents.
40:51 Donc, ils n'ont pas l'habitude de jouer ensemble,
40:53 comme chez nous, avec La Rochelle et Toulouse.
40:55 Donc, je trouve qu'ils ont vraiment du mérite
40:58 de se retrouver en face d'équipes du top 10 mondial.
41:00 Et puis, ils ne perdent pas la face.
41:02 Donc, c'est deux rugbys qui s'affrontent un peu
41:05 entre le rugby ultra-professionnalisé et le rugby amateur.
41:08 Lucien Gasparrac pour peut-être Grégory.
41:11 Oui, Grégory, est-ce que vous pratiquez le rugby en Namibie ?
41:14 Alors, pas en Namibie, c'est plus, on va dire,
41:18 une histoire de passion dans la famille,
41:22 des moments de partage.
41:23 C'est le sport convivial par excellence.
41:26 Et donc, voilà, c'est de très bons souvenirs avec mes frères et mon père.
41:29 André Merten, est-ce que vous avez joué, vous,
41:32 contre la Namibie et peut-être en Namibie ?
41:36 Non, jamais, en fait, mais je sais qu'il y a beaucoup de liens,
41:40 évidemment, avec l'Afrique du Sud, historiquement et tout ça.
41:43 Et c'est une... ils sont des joueurs,
41:47 ce que je vois, c'est vraiment similaire aux joueurs en Afrique du Sud.
41:52 Donc, ça veut dire costaud, bien défensivement et tout ça.
41:56 Et c'est une vraie fierté de savoir qu'ils aient participé
42:00 à cette Coupe du Monde.
42:02 C'est super. J'attends.
42:03 Moi, j'ai hâte de voir une première victoire.
42:05 Mais en tout cas, juste d'avoir la fierté d'y participer et tout ça,
42:09 c'est bien pour les équipes comme la Namibie, Portugal,
42:12 on l'a vu depuis des années.
42:14 Ils ont rencontré, par exemple, les All Blacks à Marseille en 2017.
42:18 C'était un super match pour eux.
42:20 Mais malgré le résultat, Chile, cette Coupe du Monde,
42:24 c'est super de voir ces équipes jouer à la Coupe du Monde.
42:28 Oui, c'est vrai. Vous allez le vivre où, demain soir ?
42:31 Non, jeudi soir, Grégory, ce match ?
42:34 Le match sera diffusé au FNCC,
42:37 le Centre Culturel Franco-Namibien qui est rattaché à l'ambassade,
42:40 qui diffuse tous les matchs de la Namibie et de la France.
42:44 Je voulais peut-être vous donner un fait intéressant,
42:47 je ne sais pas, peut-être que vous ignorez.
42:49 Paul Villemsé, notre joueur, est malheureusement forfait,
42:53 mais vient de Rodefontein, qui est une petite ville du centre nord de la Namibie.
42:57 Comme quoi, ils ont une excellente génétique rugby dans ce pays,
43:04 et il y a un très fort potentiel.
43:06 Oui, et ensuite, je crois que c'est vers 16 ans qu'il est parti au Bulls de Pretoria,
43:10 faire l'académie, puis ensuite, il était U20 Sud-Africain.
43:15 Les Baby Box, oui.
43:17 Tout à fait, et puis ensuite, il est arrivé à Montpellier,
43:19 il a choisi de jouer pour l'équipe de France.
43:22 Et voilà, il va nous manquer, Paul Villemsé.
43:25 On peut un peu moins parler de son forfait que Romain Tamac,
43:28 mais sa densité physique, sa virulence et sa vitalité sur les plaquages
43:33 vont nous manquer, notamment dans les moments forts à partir des quarts de finale, c'est sûr.
43:38 Merci Grégory, bon match, c'est super de vous avoir depuis la Namibie.
43:41 Passez une bonne soirée, et surtout une bonne soirée.
43:44 Pronostic peut-être juste, score entre la France et la Namibie, Grégory, pour jeudi ?
43:49 Certainement similaire à ce qu'ont fait les Blacks, je pense.
43:54 Peut-être que la Namibie, on croit à un essai,
43:57 au vu de quelques lacunes défensives de la France ces derniers matchs,
44:00 mais je dirais 64 à 8, quelque chose comme ça.
44:03 Allez, c'est noté. Merci Grégory, à bientôt en tout cas en direct sur Sud Radio,
44:08 c'était un plaisir de vous avoir.
44:09 On va enchaîner, parce qu'après le voyage, il y a les jeux, les cadeaux,
44:14 et bien sûr, le fameux Qui Je Suis.
44:16 Sud Radio, au cœur de la mêlée.
44:19 Alors, puisqu'on ne se connaît pas, présentez-vous.
44:24 Présentez-vous.
44:26 Les gars, Qui Je Suis, c'est moi !
44:33 C'est moi ! Je suis le monsieur !
44:42 Ça, c'est se présenter !
44:44 Voilà, et on présente bien sûr Lucien, notre maître de cérémonie pour ce jeu.
44:48 Vous accueillez deux auditeurs et Andrew, bien sûr, est là, un peu en juge de paix.
44:51 C'est ça, le Qui Je Suis, le jeu que tout le monde nous envie.
44:55 Et ce soir, nous sommes avec Christophe de Montauban et Martine de Paris,
44:58 qui ont composé le 0826-300-300.
45:01 Bonjour à tous les deux.
45:03 Bonjour.
45:04 Bonjour Christophe, bonjour Martine.
45:05 Vous savez, vous avez appelé pour potentiellement remporter un ballon Gilbert-Estampillé Sud Radio,
45:11 et surtout remporter le Qui Je Suis, qui serait votre plus grande fierté.
45:15 Je rappelle les consignes, elles sont très simples.
45:18 Je vais donner au fur et à mesure des indices pour trouver un joueur.
45:21 Vous me donnez votre prénom et le premier qui trouve un point,
45:26 et c'est le premier arrivé à trois points qui l'emporte.
45:28 Est-ce que c'est bien clair ?
45:29 Oui, impeccable.
45:31 Très bien, on va y aller à mon top.
45:33 Mon nom de famille est un adjectif pour dire qu'on fut honteux.
45:38 Mon père est un ancien joueur de rugby professionnel.
45:40 Je suis un spécialiste pour revenir dans le trafic quand le ballon arrive sur mon aile,
45:44 et ça marche plutôt bien.
45:45 Je suis un ailier du 15 de France.
45:48 J'ai longtemps joué à Clermont, je vais jouer cette année à Bordeaux.
45:51 Mon nom de famille commence par un D.
45:53 Christophe.
45:55 Et c'est un point pour Christophe.
45:57 Bravo Christophe.
45:58 Damien Penaud qui va rejoindre l'UBB, bravo.
46:01 1-0 pour Christophe.
46:03 Martine est toujours là ?
46:04 Oui, oui.
46:05 On y va pour le deuxième point.
46:09 Je suis un entraîneur de top 14.
46:12 Je suis effaré de voir entrer un médecin sur le terrain pendant un match de rugby.
46:16 Je suis un bon client en conférence de presse.
46:18 Je suis champion de France.
46:19 Christophe.
46:20 Christophe Urio.
46:21 Christophe Urio, ce deuxième point pour Christophe.
46:23 Martine, il va falloir mettre le réveil si vous ne voulez pas être fanny et faire une prestation en amibienne si je puis dire.
46:30 On y va pour le troisième point.
46:32 Qui verrait peut-être Christophe l'emporter sur un 3-0 ou peut-être une remontada de Martine.
46:37 Top.
46:38 La sonorité de mon nom de famille rappelle la meilleure viande de bœuf au monde.
46:41 Je joue avec un casque, ce qui est plutôt rare pour mon poste.
46:44 J'ai connu deux maillots rouges et noirs.
46:46 Je suis champion du monde 2019 où je marque un essai.
46:49 Martine.
46:50 Aldrit ?
46:51 Non, ce n'est pas Grégory Aldrit.
46:53 C'est même loin d'être Grégory Aldrit.
46:56 Je joue cette année, j'ai joué cette année du côté de Toulon, mais je suis parti m'exiler au Japon.
47:02 J'ai été champion de France avec Christophe.
47:05 Christophe.
47:06 Le petit Sud-Afrique.
47:09 Ah, c'est trop tard.
47:12 Il y aura un autre joueur pour vous départager.
47:15 Pardon.
47:16 C'était Colby.
47:17 C'était Chastin Colby.
47:20 Chastin Colby, l'élier de Paule Sud-Africain.
47:23 Champion du monde en 2019.
47:26 On passe au suivant, peut-être le dernier.
47:28 Top.
47:29 Mon prénom rappelle le verbe quand on fait des graffitis sur un mur.
47:33 Chaque année dans le tournée d'installation, je fais étalage de ma puissance.
47:36 Je viens de Dublin.
47:37 Je suis pilier droit.
47:39 Je joue à Dublin.
47:41 Je suis né en 1992.
47:42 Je pèse presque 130 kilos.
47:44 Mon nom de famille pourrait rappeler la sonorité pour dire un gros bouton qui se forme sous la peau.
47:51 Je suis un international irlandais.
47:54 J'ai hâte de concasser Steven Kitchoff samedi.
47:58 Non, c'est trop tard.
48:01 Ah non, c'est trop tard aussi.
48:04 Bon, écoutez.
48:05 J'ai de la ressource.
48:07 Ne vous inquiétez pas.
48:09 C'était Tak Furlong ?
48:11 C'était Tak Furlong, oui.
48:12 Effectivement.
48:13 Tak Furlong le culier.
48:15 Voilà, vous avez reconnu les indices.
48:17 On va y aller pour, j'espère, le dernier, puisque le chrono joue contre nous.
48:22 Christophe et Martine.
48:24 Top.
48:25 Je suis capitaine du 15 de France.
48:28 Mon nom de famille rappelle un personnage dans Tintin.
48:31 Je suis demi de mêlée.
48:35 Martine.
48:36 Antoine Dupont.
48:37 Antoine Dupont, c'est gagné.
48:39 C'est le premier point de Martine.
48:41 2-1 Antoine Dupont.
48:42 Bravo, c'était facile, celui-là.
48:44 On continue.
48:46 Top.
48:47 Je suis un demi d'ouverture, mais je suis blessé.
48:50 Je me suis fait une rupture délicatement.
48:52 Christophe.
48:53 Romain Entamac.
48:54 Romain Entamac, c'est gagné pour Christophe.
48:57 Bravo, Christophe.
48:58 Le "Qui je suis ?"
49:01 Le jeu que toutes les radios nous auraient.
49:03 Bravo, vous remportez donc un ballon officiel, Gilbert, Sud Radio.
49:06 Martine, n'hésitez pas à nous rappeler au 0826 300 300.
49:10 Vous n'avez pas lâché.
49:11 On a même presque cru à une remontada dans le studio.
49:14 L'ambiance était sensationnelle.
49:16 Merci Martine.
49:17 Bravo à Christian pour cette victoire.
49:19 Merci Martine.
49:21 Merci d'avoir joué avec nous sur Sud Radio.
49:24 Bon match, mercredi, jeudi, bien sûr, France-Namibie.
49:27 Merci à tous les deux.
49:29 On va remercier Andrew Mertens, notre consultant qui était avec nous.
49:32 Lucien, bien sûr, notre Jean-Pierre Foucault à nous, bien évidemment.
49:37 Et puis, Aude, Austan Darbenot à la réalisation.
49:39 Voilà, cette émission qui prend fin.
49:41 Adrien Abadie également aux réseaux sociaux.
49:43 On se retrouve demain, 20h.

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