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Retraité contemplatif, Germain se retrouve soudainement veuf à 75 ans. Il n’a même pas le temps de souffler que sa | dG1fUVhFR1QzQ1RJNHM
Transcript
00:00 [Musique triste]
00:04 Ma chère Lise, je pense à toi...
00:08 tout le temps.
00:10 Elisabeth, t'apporteras les repas,
00:12 et moi je suis disponible à 24.
00:14 On va vraiment se relayer le plus possible.
00:16 Il m'a appelé plusieurs fois ton fils, il veut que tu vois un neurologue.
00:21 Est-ce que t'es désorienté en ce moment ?
00:22 Non mais c'est lui qui devrait s'en soigner.
00:24 Elle t'a pris t'attention au moins ?
00:26 Ma tension descend quand on lui fout la paix.
00:28 J'aurais dû commencer par le début.
00:30 J'ai le rôle principal dans un spectacle de danse contemporaine.
00:35 D'accord.
00:37 Les répétitions c'est tous les jours.
00:39 C'est tous les jours et de 11h à 18h et parfois le week-end.
00:42 D'accord, eh oui.
00:46 Bonsoir Germain.
00:50 Ah, Sonia.
00:52 Ah !
00:54 Ah !
00:56 Ok.
00:59 C'est pas de la danse que vous faites là, si ?
01:01 Moi je suis sûr que vous pouvez y arriver.
01:03 Il y a vraiment une X à ce type.
01:04 Une X c'est pas forcément une qualité.
01:06 Ah, ah, ah...
01:08 Très, très bien.
01:12 Papa, tu décroches s'il te plaît.
01:15 Oh, quoi encore ?
01:17 Très bien, continue en boucle.
01:20 Je ne mets pas ça moi. J'ai mes limites.
01:22 Et puis quoi encore ?
01:24 Arrête tout de suite, il faut que je vous fasse la paix.
01:26 Germain, les échauffements uniquement avec Samir.
01:30 Papy ?
01:32 Vous savez pas que tu devais passer ?
01:35 Ta présence Lisa, je la sens quand je danse.
01:39 Ton sourire me manque.
01:41 Je t'aime pour toujours.
01:44 Merci.
01:45 Merci à vous.
01:46 Merci à tous !

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