- 04/09/2023
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NewsTranscription
00:00 (Musique)
00:21 Encore plus fier de vous voir derrière, mes bénévoles, parce que j'ai vécu toute mon enfance dans les associations,
00:27 ma maman s'occupait d'associations, je l'ai enterré il y a quelques jours,
00:31 et j'étais encore plus fier de voir sur son cercueil le drapeau français,
00:36 parce qu'elle a vu la Légion d'honneur, parce qu'elle savait ce que c'était l'intérêt général,
00:40 et je crois que ceux aujourd'hui qui sont coupables de tout ce qu'on a vécu
00:43 ne savent plus non seulement ce qu'est l'intérêt général,
00:46 et en plus maintenant ça fait de nombreuses années qu'ils piétinent ce drapeau français,
00:49 que moi je n'ai pas honte d'aimer.
00:51 (Applaudissements)
00:57 Alors, je vous appuie une déclaration d'amour aujourd'hui à Florian Lipo qui est ici,
01:04 parce qu'il fait partie des rares hommes politiques avec qui j'ai eu une conversation
01:09 quand j'avais encore mon épouse dans mon salon,
01:12 et j'ai découvert, parce que moi vous savez, j'étais comme vous,
01:14 je connaissais Florian à travers la langue politique, et j'ai découvert un être humain.
01:19 Il n'y a pas eu beaucoup de gens comme Florian, aussi bien dans les politiques que dans les artistes,
01:24 que dans les journalistes qui m'ont soutenu.
01:26 Ils sont là, il y a André Bercoff, il y a tous mes amis qui sont dans le premier rang, Laurent Firod.
01:31 Je dirais qu'il y a eu quelques extraterrestres comme ça,
01:35 qui ont eu le courage de me soutenir et de soutenir Verity France.
01:39 Ce que je voudrais vous dire c'est qu'en fait, si aujourd'hui je suis encore debout devant vous,
01:43 c'est grâce à ça, c'est aussi grâce à vous bien sûr, parce que ça me touche beaucoup.
01:46 Il y a beaucoup de gens qui viennent me voir et qui me disent "Marc on vous suit, continuez".
01:52 Mais en fait c'est un petit peu compliqué parce que nous, famille de victimes,
01:55 aujourd'hui ce dont on souffre vraiment, c'est du manque de reconnaissance des institutions et de l'Etat.
02:02 Moi j'ai un nouveau combat à mener, je vais le mener ces quelques jours,
02:04 c'est qu'il y a quelque chose qui me rend fou, c'est que depuis des mois et des mois,
02:08 on nous dit "le président de la PUID n'est pas vacciné".
02:11 Et puis il y en a d'autres qui vous disent "on a les preuves mais on ne peut pas les sortir".
02:14 Et je voudrais simplement vous rappeler que si aujourd'hui beaucoup de gens sont allés à l'abattoir,
02:18 j'emploie ce terme parce que c'est le terme à employer, à l'abattoir,
02:22 c'est parce qu'un jour un homme président de la République indigne de la France a dit "allez vous faire vacciner"
02:27 parce que pour l'intérêt général il faut le faire et puis pour protéger vos proches il faut le faire.
02:31 Donc si on devait apprendre dans quelques jours, quelques semaines, quelques mois,
02:34 que lui-même ne l'était pas alors qu'il a suspendu des femmes, des hommes,
02:38 qu'il y a quand même, je vous rappelle, des soignants qui n'ont pas été payés pendant deux ans,
02:41 dont certains se sont suicidés, d'autres ont tout perdu,
02:44 aujourd'hui en leur vie ravagée à jamais, il devra juste partir.
02:49 Donc nous à Verity France...
02:52 (Applaudissements)
03:01 Il y a quelques jours, une amie m'a dit "mais c'est pas le petit Marc Douayet qui va réussir à faire tout ça".
03:07 Alors je voudrais vous dire qu'en fait, comme ils n'ont rien de grand,
03:11 je pense que nous tous petits, autant que nous sommes,
03:15 en nous rassemblant, eh bien si, on va réussir à les faire chuter et puis surtout parce qu'ils ne sont rien de grand.
03:20 Voilà. Merci en tout cas à vous.
03:22 (Applaudissements)
03:28 Merci pour cet accueil. J'avais envie de vous faire au départ la Biden quand il rôle.
03:35 (Rires)
03:47 Qui d'entre vous croit que Biden est vraiment le président des États-Unis ?
03:52 (Rires)
03:53 Alors, le problème, les amis, c'est que nous manquons de plus en plus de théorie, du complot.
03:59 Vous savez, c'est une grosse crise qui traverse nos rangs parce que
04:03 toutes nos prévisions se sont réalisées.
04:06 Et donc maintenant, elle devient mainstream.
04:08 L'une des prévisions, et malheureusement extrêmement funeste,
04:11 et j'aimerais attirer votre attention dessus de manière très particulière,
04:15 c'est l'histoire du pass carbone.
04:18 Alors en particulier, le pass carbone prendra peut-être pas nécessairement la forme d'un QR code,
04:23 d'une application dans un téléphone,
04:26 mais on est en train de parler de plus en plus de ce qu'on appelle la monnaie digitale.
04:29 Alors la monnaie digitale, telle comme on la présente en Angleterre,
04:33 elle a un aspect, nous le ditons, extrêmement positif.
04:35 C'est-à-dire, on a un jeune, il va acheter des cigarettes,
04:39 ou il va acheter de l'alcool, il arrive pour payer.
04:42 Comme la monnaie digitale est personnalisée,
04:45 donc elle connaît l'âge de la personne, elle connaît son identité,
04:49 eh bien son achat ne va pas passer en caisse.
04:52 Donc ça, quand on veut nous vendre une idée de cette manière-là,
04:56 on va toujours nous la vendre par un aspect positif.
04:58 Maintenant, ce qu'il faut voir, c'est que
05:01 on peut, dans cette monnaie digitale, la programmer avec
05:06 des restrictions, des quotas, des taxations individuelles.
05:10 Par exemple, vous arrivez en caisse,
05:12 et soudainement, vous voulez acheter un steak, et puis il va s'afficher 200 euros,
05:17 parce que vous avez fini votre quota.
05:21 C'est-à-dire que le but, réellement, c'est soit taxer,
05:25 par une taxation individuelle, mais aussi créer des limites.
05:27 Il y a déjà des gens... Je ne sais pas si quelqu'un ici est complexé de prendre l'avion.
05:33 Non. D'accord.
05:35 Il y a de plus en plus de gens qui sont complexés de prendre l'avion, par exemple,
05:39 mais à terme, l'idée, c'est qu'on va passer dans une autre phase
05:45 où il y a déjà des voix qui s'élèvent pour dire
05:47 seulement quatre vols par vie humaine.
05:51 Quatre vols de moins de 500 kilomètres.
05:54 Voilà. Donc, on a un aller-retour avec une escale, c'est terminé.
05:58 [Rires]
06:01 Donc, je ne sais pas si vous connaissez ces jeux
06:04 dans les téléphones où il y a des microtransactions.
06:07 Alors, il faut payer pour chaque mouvement.
06:09 Eh bien, le but, c'est réserver aux gens une vie de microtransaction.
06:13 Chaque acte de vie, là, maintenant, probablement,
06:17 vous en êtes à 500 euros en microtransaction.
06:19 Vous êtes sortis de chez vous, vous êtes venus ici.
06:21 Chaque acte aura été taxé de manière à, finalement, vous enfermer à la maison.
06:28 Et donc, j'aimerais justement attirer votre attention
06:30 sur ce danger des monnaies digitales
06:32 et puis des restrictions de liberté qui vont avec.
06:35 J'étais moi-même étudiant.
06:38 J'enseignais la vie d'un homme très riche.
06:40 Il y avait leur chauffeur qui venait m'attendre à la gare
06:43 pour me ramener à la maison et tout.
06:45 Et en fait, il m'a expliqué que ce qu'il voudrait,
06:47 c'est que l'université soit 50 000, 100 000 euros par an.
06:54 Comme ça, des gens ne pourront pas venir de partout
06:57 et faire de l'ombre à sa fille.
06:59 Sa fille qui n'étudiait pas du tout.
07:01 Mais, lui, l'argent n'est pas un problème pour eux.
07:04 Il faut savoir que ces gens-là,
07:06 ils aimeraient bien nous emmener vers un monde
07:08 où il faut payer pour sa liberté.
07:09 Parce qu'eux, ils pourront acheter un pass liberté pour eux et leur famille,
07:13 même si ça coûte 1 million d'euros par an.
07:15 Ce n'est pas un problème.
07:16 Mais l'avantage, c'est qu'ils ne nous verront pas.
07:19 Tout sera vide.
07:20 Nous, on sera enfermés à la maison,
07:21 on mangera des pizzacettes, comme ça.
07:23 Mais on ne sera pas là pour les déranger.
07:27 Voilà, je vous en dirai plus dans des vidéos YouTube.
07:30 Merci à Florian Philippot de m'avoir invité.
07:35 (Applaudissements)
07:45 Juste un dernier mot que je voulais vous rajouter.
07:49 J'aimerais vraiment vous féliciter
07:51 pour le succès qui a couronné vos recherches.
07:53 Parce qu'aujourd'hui, des offres comme celle des Patriotes,
07:57 c'est une offre de laquelle les médias évitent de beaucoup parler,
08:00 ou bien en parlant négativement,
08:03 pour essayer de vous cacher l'existence de cette offre
08:05 que je trouve absolument magnifique pour la France.
08:07 Merci beaucoup.
08:08 (Applaudissements)
08:10 (Musique)
08:16 Sincèrement, je vous le dis,
08:19 au-delà de ma gratitude,
08:21 je vous le recommande.
08:23 Anniversaire, fête de mariage, Bar Mitzvah,
08:26 loué Eric Richard Moss.
08:28 (Rires)
08:35 Je ne peux que remercier Florian de nous avoir tous réunis.
08:39 Ça fait du bien, particulièrement après des temps un peu compliqués,
08:43 de se retrouver en famille.
08:48 On m'a demandé de faire court sur la dynamique du rassemblement.
08:54 Nous avons déjà une belle ébauche ici même.
08:57 Nous avons tous des...
09:00 Aujourd'hui, nous sommes réunis,
09:01 mais si nous regardons quelques années en arrière,
09:03 nous serions-nous retrouvés les uns à côté des autres ?
09:06 Pas tous, pas sûrs.
09:10 Et je remercie profondément la Macronie
09:14 de nous avoir réunis par la détestation que nous lui portons.
09:18 (Applaudissements)
09:24 Non, il faut dire, je ne suis pas aussi insincère
09:29 que certains pourraient le croire.
09:33 Je remercie en effet mes ennemis
09:35 de m'avoir permis de connaître
09:37 ce que la France peut encore faire de mieux
09:39 en termes de type humain.
09:41 Et ça, c'est mine de rien
09:45 la vieille expression "parfois le diable porte pierre".
09:48 Eh bien, le diable a porté pierre.
09:51 Ensuite, que faisons-nous de cette union ?
09:56 Nous avons une étape à franchir.
09:59 J'espère que nous la franchirons cette fois-ci.
10:01 Je rappelle que nous avons eu aux Européennes dernières
10:05 une déconvenue dans une liste unitaire.
10:08 Il faut aussi se rappeler parfois des mauvais souvenirs.
10:11 Et j'espère que nous arriverons à franchir l'obstacle cette fois-ci.
10:16 Car finalement, qu'est-ce qui parfois nous sépare ?
10:21 Certains pensent à des querelles d'égos,
10:23 c'est plus subtil que ça.
10:27 Nous autres qui voulons la liberté pour notre peuple
10:29 et pour nos enfants, ça nous a taillé le cuir
10:32 et ça fait parfois de nous des caractères un peu forts.
10:35 C'est normal.
10:37 Le système entier nous vomit.
10:40 Nous lui rendons bien d'ailleurs.
10:42 Mais ça fait de nous des gens assez haut en couleur.
10:47 Avec les défauts de nos qualités.
10:51 C'est parfois d'être légèrement susceptible.
10:56 Il va falloir aller au-delà de tout ça.
10:59 Nous avons vu pendant tout ce magnifique congrès,
11:02 et encore le camarade Aldo a détaillé certaines des menaces qui pèsent sur nous,
11:09 l'adversaire entend finir avec nous, d'une manière ou d'une autre.
11:13 Bien sûr, il veut juste, comme Aldo l'a très bien dit, nous effacer.
11:19 Hors de ma vue, les gueux.
11:24 Avec évidemment les moyens digitales qui vont avec aujourd'hui,
11:27 qui permettent en effet de faire place nette de nous, pauvres peuples.
11:33 Ils n'hésiteront pas, parce que comme vous le voyez tous les jours,
11:37 une part de l'oligarchie occidentale est entrée dans un problème de folie aggravée.
11:43 Ils déraillent tous.
11:46 Mais ils estiment que ce monde doit rester le leur,
11:50 et que finalement, nous, nous ne faisons que passer.
11:54 Alors que la France éternelle, c'est nous.
11:57 C'est eux qui passent en fait.
11:59 [Applaudissements]
12:08 J'espère que chacun prendra sur lui pour que nous puissions
12:12 amener un tout petit peu de vérité dans ce qui va être certainement
12:17 l'élection européenne la plus difficile à meubler pour toutes les élites médiatiques françaises.
12:23 Car en effet, de la gauche, de M. Mélenchon en passant par
12:29 les amis déconstruits de Mme Rousseau pour arriver aux amis de M. Bardella,
12:33 il n'y a plus que des européistes en place.
12:35 D'ailleurs, ils viennent de faire une petite partie de campagne chez M. Macron.
12:39 Ça devait être fort sympathique.
12:41 [Applaudissements]
12:49 Ça a été un très bel hommage cinématographique a priori,
12:52 vu qu'on n'avait rien vu de mieux depuis le bal des vampires de Polanski.
12:55 [Rires]
12:56 Donc...
12:57 [Applaudissements]
13:03 Dans ce monde où le vrai n'est qu'un instant du faux,
13:09 nous devrons être d'autant plus dissonants cette année
13:13 car nous devrons être le coup de revolver dans un salon bourgeois.
13:17 Le seul once de vérité que le système pourra supporter.
13:22 Et pour ça, nous devons marcher d'un même pas.
13:26 Je sais que c'est compliqué.
13:28 Je sais que dans la famille souverainiste, je fais mes 20 ans de service cette année.
13:32 Donc, je sais à quel point nous avons des petites chicaillades
13:37 qui nous restent des années précédentes.
13:40 J'espère que cette fois-ci, nous arriverons à passer outre.
13:44 Et je remercie en tout cas l'un des seuls hommes que j'ai vu se donner depuis des années
13:49 pour que nous donnions le meilleur de nous-mêmes dans une dynamique d'unité.
13:54 Je tiens à remercier profondément Florian Philippot.
13:56 [Applaudissements]
14:12 Je me permettrai de conclure sur un point.
14:16 Peu importe les coups que nous allons prendre
14:21 parce que je pense que les certains médias de grand chemin nous attendent
14:25 particulièrement si notre dynamique marche.
14:29 N'attendez aucune pitié de leur part.
14:31 Surtout que nous serons à peu près la seule opposition qu'ils vont rencontrer
14:36 sur le seul sujet de fond qui est
14:40 est-ce que la France mérite de vivre, oui ou non ?
14:44 Au fond du fond, c'est ça la question.
14:47 France, pas France. Point.
14:50 [Applaudissements]
14:53 Nous avons beaucoup parlé de Michel Sardou cet été.
14:56 Rappelez-vous, avant on disait "la France elle m'a laissé tomber".
14:59 Aujourd'hui, c'est tout le monde qui a laissé tomber la France.
15:02 Et bien, je vous dirai pour conclure avec Jean Caux, grand écrivain gaulliste
15:08 aujourd'hui, il n'y a que la France et ceux qui se dressent
15:14 entre elle et ceux qui veulent la tuer.
15:17 Merci.
15:18 [Applaudissements]
15:20 [Musique]
15:25 Chers amis, je me laisse à vous aujourd'hui en tant que directeur du Média Omerta
15:30 certains d'entre vous sont peut-être abonnés à ce Média
15:33 ou ont peut-être pu suivre nos différents documentaires
15:36 et aujourd'hui je vais vous parler de la guerre en Ukraine.
15:39 Je vais repartir en Ukraine du côté de Bakhmout sur la ligne de front très prochainement.
15:47 Je voulais vous faire un point de situation sur cette guerre.
15:50 Ça va être mon cinquième voyage dans ce pays pour vous expliquer qu'aujourd'hui
15:56 la guerre en Ukraine a atteint un point où il n'y a quasiment pas d'avancée sur le front.
16:02 Une contre-insurrection qui a été démarrée par les Ukrainiens quatre jours derniers.
16:06 Cette contre-insurrection n'a permis pour le moment de reconquérir seulement 250 km² environ.
16:13 C'est-à-dire très peu de choses par rapport au territoire conquis par les Russes
16:18 depuis le 24 février 2022.
16:21 Aujourd'hui, les forces en présence, tant du côté russe que du côté ukrainien,
16:27 subissent énormément de dégâts tous les jours.
16:30 Énormément d'équipements qui ont été fournis par l'OTAN à l'Ukraine ont été déjà détruits.
16:35 Je vous donne un chiffre sur les véhicules fournis par les Américains.
16:39 Les véhicules de type Bradley, qui sont des véhicules de transport de troupes ultra modernes.
16:44 Les Américains en ont donné 100 aux Ukrainiens.
16:46 La moitié ont été détruits ou sont hors d'état de fonctionner.
16:51 Ça vous donne une idée de l'intensité des combats.
16:54 Des centaines de combattants des deux côtés meurent encore tous les jours.
16:58 On arrive à un point où il semble qu'aucun des deux protagonistes n'arrive à prendre définitivement l'avantage sur l'autre.
17:08 Il est temps aujourd'hui d'entendre des voix de paix se prononcer pour essayer de mettre un terme à ce conflit.
17:15 Malheureusement, ce n'est pas encore l'opinion générale et en particulier celle de nos dirigeants.
17:21 Mais il va falloir, comme l'a fait Nicolas Sarkozy récemment dans une interview,
17:27 que l'on arrive à une solution.
17:29 Parce que cette guerre tue des milliers et des milliers d'Ukrainiens, de Russes, d'Européens.
17:36 Elle n'aboutit nulle part et n'aboutit finalement qu'à affaiblir l'Europe.
17:44 On l'a vu, puisque économiquement nous avons dû changer beaucoup de choses.
17:48 Nous en avons pâti de cette guerre.
17:50 Les Ukrainiens, les Russes, les Européens souffrent.
17:55 Il va falloir à un moment qu'on pense sérieusement arrêter tout ça.
17:59 J'espère que ce conflit sera le plus court possible.
18:02 J'en rendrai compte dans un prochain documentaire qui retracera le reportage que je vais faire sur Omerta.
18:10 Si vous êtes déjà abonné à Omerta, vous pourrez nous suivre.
18:15 Sinon, j'encourage les autres à nous suivre soit sur notre chaîne YouTube, soit sur l'application qu'on peut télécharger.
18:24 Merci beaucoup et excellent congrès à tous. Au revoir.
18:27 Chers amis patriotes, ne pouvant être présents à vos côtés aujourd'hui,
18:42 je tenais absolument à vous adresser, comme à Florian, un message d'amitié.
18:49 Nous avons appris à l'occasion de la terrible crise du Covid à nous connaître, à nous apprécier, je crois, à nous respecter.
18:58 Nous sommes des résistants.
19:01 Et au moment où nous vivons, nous avons besoin de cœurs purs et d'esprit droit.
19:08 Nous avons prouvé pendant toute la crise du Covid que les Français ne pouvaient compter que sur nous comme force politique
19:16 pour dire la vérité et surtout traduire en actes nos convictions les plus intimes.
19:24 Au-delà de la droite, au-delà de la gauche, il y a la France et il y a la liberté.
19:30 Pendant cette crise, la liberté de la France et la liberté des Français ont été bafouées.
19:38 Et nous savons tous aujourd'hui que pour garantir la liberté des Français, il faut rendre à notre nation sa indépendance, sa force, sa vigueur, sa liberté.
19:52 Ce combat pour les libertés, vous m'avez aidé à le porter lors de l'élection présidentielle.
19:58 Nous avons été purs et droits, comme le voulait le général de Gaulle.
20:05 Et maintenant, plus que jamais, nous avons besoin d'union, de force, d'entente pour porter notre cause dans les prochains mois et dans les prochaines années.
20:18 Plus que jamais, notre pays est menacé de disparition par une union européenne dangereuse.
20:26 Plus que jamais, quelles que soient nos différences éventuelles sur les moyens d'y échapper, nous devons convaincre nos concitoyens qu'il existe une voie réaliste pour retrouver les valeurs de notre pays, l'exception française.
20:48 Alors, je ne veux pas être plus long, je vous souhaite un très bon congrès et nous aurons l'occasion de nous retrouver bientôt, car il s'agit aujourd'hui de l'avenir de la France, de l'avenir de notre belle devise "liberté, égalité, fraternité".
21:08 (Applaudissements)
21:09 (Générique)
21:14 (Générique)