« Si la France n'était pas intervenue, si nos militaires n'étaient pas tombés au champ d'honneur en Afrique, si [les opérations militaires] Serval puis Barkhane n'avaient pas été décidées, nous ne parlerions aujourd'hui ni de Mali, ni de Burkina Faso, ni de Niger », a déclaré ce lundi 28 août le président français devant les ambassadeurs français réunis à Paris pour leur conférence annuelle. « Ces États n'existeraient plus aujourd'hui dans leurs limites territoriales », a-t-il affirmé, insistant sur le fait que la France était intervenue contre les djihadistes à la demande de ces pays du Sahel.