Ces jours-ci, la New-Yorkaise Didi Ketterle est sous pression quand elle va s'acheter un café : elle se sent obligée de donner un « tip » (pourboire). « On a le couteau sous la gorge ! » sourit-elle. Dans le passé, les clients de commerces de vente à emporter, comme les cafés ou les fast-foods, étaient libres de laisser ou non quelques pièces ou billets dans un pot près de la caisse – le fameux « tip jar » – quand ils passaient commande.