Pierre Palmade révèle les coulisses de sa fascination pour les personnalités publiques, et plus spécifiquement sa relation privilégiée avec Carole Bouquet, dans son ouvrage intitulé « Dites à mon père que je suis célèbre ». L'acteur et humoriste partage ses émotions empreintes d'admiration et d'émerveillement envers les célébrités, mettant en avant son inclination à préserver cette aptitude à demeurer captivé par leur rayonnement.

À ses yeux, les personnalités publiques étaient jadis des êtres issus d'un autre univers, mais à l'heure actuelle, avec la prolifération des reportages sensationnalistes qui démystifient chaque aspect, une part de l'envoûtement a tendance à s'évaporer, créant ainsi une note de désillusion.

Nonobstant, Pierre Palmade demeure émerveillé en présence des véritables icônes. Que ce soit attablé avec Marlène Jobert ou Carole Bouquet dans un restaurant, il éprouve une sensation enfantine, captivé par leur proximité. De surcroît, il valorise la courtoisie envers les personnalités renommées, la considérant comme une élégante manière de saluer leur statut, sans pour autant altérer la complicité qui peut les unir.

Cette attitude se distingue nettement des comportements des "petits prétentieux" du milieu, qui se permettent de tutoyer des légendes telles que Gérard Depardieu sans le respect qui s'impose. Pierre Palmade exprime également son vif respect pour l'équipe du Splendid, en particulier pour Josiane Balasko, qui a brillamment dominé la scène de l'humour français dans les années 1980 en offrant des œuvres cultes telles que "Nuit d'ivresse" et "Gazon maudit". En outre, il avoue être fasciné par l'actrice Anémone, dont le charme et le talent ont laissé une empreinte indélébile dans son esprit.

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