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La mère d’Enzo témoigne sur CNEWS
CNEWS
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11/08/2023
Sophie, la mère d’Enzo, tué à l’âge de 15 ans le 22 juillet dernier à La Haye-Malherbe (Eure), a accepté de témoigner sur CNEWS.
Catégorie
🗞
News
Transcription
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00:00
le 22 juillet dernier, le jeune Enzo, 15 ans,
00:03
a été poignardé par d'autres adolescents du même âge
00:06
dans la commune de Leymah-l'Herbe, dans l'Eure,
00:08
un drame qui a provoqué la tristesse et la colère
00:11
de tout un village.
00:12
Cet après-midi, la maman d'Enzo a accepté de témoigner.
00:16
Elle est avec nous en direct dans "120 minutes Info".
00:19
Bonjour, Sophie.
00:20
-Vous pouvez regarder ma collègue en parlant.
00:23
-Bonjour, Sophie. Est-ce que vous nous entendez ?
00:29
-Oui, je vous entends.
00:30
-Merci d'être avec nous en direct cet après-midi sur CNews.
00:36
Je précise que vous êtes chez vous.
00:39
Je précise aussi qu'avant de commencer,
00:42
on s'est longuement eus au téléphone, vous et moi,
00:45
avant cet entretien. Vous m'avez expliqué
00:47
pourquoi vous souhaitiez que cet entretien ait lieu.
00:50
Pas tout de suite, il vous a fallu un peu de temps.
00:53
Pouvez-vous me réexpliquer, à moi et pour les téléspectateurs
00:56
qui nous regardent votre démarche ?
00:59
-Notre démarche, aujourd'hui, en fait,
01:02
c'est de pouvoir faire en sorte
01:06
que la loi des mineurs change.
01:09
Pour le papa comme pour moi, je parle pour nous, aujourd'hui.
01:14
Après, voilà, notre souhait, c'est celui-là,
01:19
c'est que la loi des mineurs change.
01:21
Aujourd'hui, ce tueur, on peut l'appeler comme ça,
01:26
il a avoué les faits qu'il a produits à deux reprises,
01:30
il a poignardé à deux reprises.
01:32
Il est considéré comme tueur,
01:35
il doit pouvoir rester en prison
01:37
sans avoir la possibilité de ressortir
01:40
avec un bracelet électronique.
01:42
Nous, ce qu'on souhaiterait, aujourd'hui,
01:46
c'est qu'il puisse...
01:47
On attend son jugement, en fait, dans un an et demi, deux ans,
01:52
admettons, puisqu'aujourd'hui, c'est ce qu'on nous dit,
01:55
mais par contre, qu'il reste en prison en attendant
01:58
et que sa peine soit déduite à la fin, au moment du jugement.
02:02
Pour nous, aujourd'hui, c'est la chose la plus simple.
02:06
-Vous avez choisi de porter aujourd'hui.
02:08
Vous avez également demandé à témoigner à visage masqué.
02:14
Est-ce que vous pouvez nous expliquer pourquoi ?
02:17
-Par respect pour ma fille, déjà,
02:23
qui a peur de reprendre l'école le mois de septembre,
02:26
qui a peur qu'on lui pose des questions sur son frère.
02:29
Et je pense qu'elle n'a pas besoin qu'on lui dise
02:32
"J'ai vu ta maman, elle est passée à la télé."
02:34
Notre combat, aujourd'hui, le but, c'est de nous entendre,
02:38
pas spécialement de nous voir,
02:41
puisque nous, on n'a pas de...
02:43
On n'est pas connus des services,
02:45
on n'a pas de casier, comme on l'a si bien dit
02:48
dans les commentaires
02:50
ou qu'on a pu voir sur les réseaux.
02:52
Donc, aujourd'hui, nous voir, ça ne servirait à rien.
02:55
Personne ne nous connaît.
02:56
-Sophie, racontez-nous comment et quand est-ce que vous avez appris
03:01
ce qui était arrivé à votre fils ?
03:04
-Moi, je l'ai appris une heure après être arrivée à mon travail.
03:11
Donc, mon conjoint est venu me chercher.
03:14
On m'a juste dit qu'il y avait quelque chose de grave
03:17
qui s'était passé et qu'il fallait que je rappelle de toute urgence.
03:21
Et j'ai appelé mon conjoint.
03:22
Quand j'ai essayé de le joindre, forcément,
03:25
il n'avait plus de batterie.
03:27
J'ai appelé sur le téléphone de mon fils,
03:29
car je me suis doutée qu'il s'était passé quelque chose.
03:32
Je suis tombée sur son copain, en pleurs, son meilleur ami,
03:36
qui est là, aujourd'hui, pour me soutenir
03:39
les trois quarts du temps.
03:40
Et lui m'a dit, en pleurs, "Je suis désolée, Sophie,
03:44
"Enzo s'est fait poignarder. Il est décédé."
03:47
-Que s'est-il passé ensuite ?
03:51
-Ensuite, mon conjoint est venu me chercher
03:53
et je suis arrivée à la caserne des pompiers, à la Hema Lerbe.
03:58
Et là, on m'a dit que je ne pouvais pas prendre mon enfant,
04:02
qu'on m'a fait barrage.
04:04
J'ai réussi à voir mon enfant au bout de quelques minutes,
04:08
mais à 3 m.
04:09
J'avais interdiction de le toucher,
04:11
puisque, comme c'est une scène de crime,
04:14
il faut que la...
04:16
Comment on dit ?
04:17
La police judiciaire, la criminelle, passe,
04:21
et les médecins légistes devaient venir
04:24
faire des prélèvements sur mon fils.
04:27
Donc, on a attendu...
04:29
J'ai dû arriver à 19h15, et à 2h du matin seulement,
04:33
mon fils partait avec les pompes funèbres.
04:36
-Deux coups de couteau, un premier à la cuisse,
04:39
un deuxième au thorax, qui lui sera fatal.
04:42
Pour vous, derrière ce deuxième coup de couteau,
04:45
c'est ce que vous m'avez dit, Sophie,
04:47
il y avait une volonté de tuer.
04:49
C'est ce que vous avez ressenti ?
04:51
-Bah oui.
04:55
Pour moi, en fait, c'est ce que j'ai expliqué tout à l'heure.
04:59
Combien de personnes
05:01
pourraient rentrer un couteau dans une chair
05:04
sans avoir le réflexe
05:08
de lever les mains et de dire "Mon Dieu, qu'est-ce que j'ai fait ?"
05:12
Et ce geste-là, lui, ne l'a même pas eu.
05:15
Pour lui, il n'y a rien de choquant.
05:17
Je pense que les trois quarts des personnes
05:19
auraient levé les mains au ciel en disant "Qu'est-ce que je viens de faire ?"
05:24
Et lui, non. Lui, il a repris le couteau.
05:26
Et quand on dit "en plein thorax",
05:28
il faut savoir que le deuxième coup qu'il a pris,
05:31
c'était pour le poignarder juste en dessous du coeur.
05:35
Donc en direction du coeur.
05:37
À 15 ans, à n'importe quel âge,
05:40
moi, ma fille, aujourd'hui, elle va prendre 10 ans,
05:43
et je le sais très bien, c'est comme dans les films.
05:46
Si tu prends une arme blanche ou quelque chose
05:49
que tu l'orientes vers le coeur,
05:52
tu peux entraîner la morge de cette personne-là.
05:54
Il se serait arrêté à son premier coup,
05:57
mais aujourd'hui, on me dit que le coup sur la cuisse
06:00
n'aurait pas tué mon fils. Il l'aurait simplement blessé.
06:03
-Après, il y a eu un succès. -Il aurait pu s'arrêter là.
06:07
-Il y a eu une succession de moments.
06:09
D'abord, la marche blanche, ensuite, les funérailles,
06:12
et puis, vous remontez avec, et vous en parlez,
06:15
notamment votre fille.
06:17
Qu'est-ce que vous garderez de ces moments ?
06:20
-Le soutien de toutes ces personnes
06:28
qui sont venues pour faire ce bel hommage pour notre fils.
06:31
Aujourd'hui, on a eu énormément, énormément de soutien.
06:34
Ca a touché beaucoup de monde,
06:36
parce que je pense que la France en a marre.
06:39
Et à travers l'histoire de mon fils,
06:42
je pense qu'il y a des gens
06:46
qui se sont imaginés à notre place.
06:48
Et du coup, voilà.
06:52
Donc, on garde, en fait, en mémoire
06:55
tout le soutien des personnes qui ont été là,
06:58
l'hommage qu'on a pu rendre à notre fils jusqu'au bout,
07:01
qui, pour nous, était à sa hauteur.
07:04
Aujourd'hui, notre combat,
07:06
il faut qu'il reste aussi à la hauteur de Bézot.
07:09
Il faut qu'on garde ce combat, qu'on reste tous soudés.
07:12
C'est ce que je disais tout à l'heure.
07:14
Quitte à ce que toutes ces victimes oubliées de la France
07:18
veuillent se joindre à nous pour ressortir des oubliettes
07:22
et faire bouger les choses
07:24
pour que l'Etat fasse vraiment bouger
07:26
cette loi qui ne correspond pas du tout,
07:30
ben, pourquoi pas ?
07:33
-Alors, il y a le chagrin, il y a l'émotion, bien sûr,
07:36
et puis il y a aussi la colère.
07:38
La colère, d'abord, vous trouviez,
07:40
c'est ce que vous avez confié à nos confrères du Figaro,
07:44
que personne ne parlait de votre fils,
07:46
et ça, ça vous a mis en colère ?
07:48
-Ma première colère, en fait,
07:53
c'est qu'il puisse arriver quelque chose comme ça à mon enfant,
07:57
alors que c'était pas un enfant...
07:59
C'était pas un enfant qui faisait des bêtises,
08:02
qui était... Enfin, voilà, ça, c'est ma première colère,
08:06
que ça puisse m'arriver alors que notre enfant avait un...
08:09
Euh...
08:11
Pour moi, une bonne éducation et que c'était un bon gamin.
08:15
Ca, c'est ma première colère.
08:16
Après, la deuxième colère, comme je le disais,
08:20
on n'a pas besoin du soutien de Mbappé ou de Omar Sy
08:25
pour faire avancer les choses, nous, peu importe.
08:27
Toute personne qui veut nous soutenir peut nous soutenir.
08:31
Après, on a eu, quand même, je tiens à le signaler,
08:34
personne au niveau de l'Etat, pour le moment,
08:37
est rentré en contact direct avec nous.
08:39
Euh... Juste quelques...
08:41
Quelques messages qu'on a pu recevoir.
08:45
Par contre, on a quand même tout le soutien
08:48
des députés de l'heure,
08:49
des maires des communes...
08:52
proches de la Hema Lerne.
08:55
Donc, eux sont vraiment présents.
08:58
Depuis le début, voilà.
09:00
Donc, les députés. Ca s'est arrêté aux députés de l'heure.
09:03
-Ca va être ma prochaine question, Sophie.
09:06
Depuis ce papier du Figaro,
09:08
dans lequel, effectivement, vous dénoncez le fait
09:11
que personne n'ait parlé de votre fils au sommet de l'Etat,
09:15
vous vous demandez pourquoi le chef de l'Etat,
09:18
Emmanuel Macron, n'a pas rendu hommage à Enzo.
09:21
J'allais justement vous demander
09:23
si depuis, quelqu'un, un membre du gouvernement
09:26
ou peut-être le cabinet d'un ministre,
09:30
vous avez contacté.
09:32
-Hm.
09:33
Oui, on a eu un contact.
09:35
Mais comme je le disais, pour l'instant, c'est un contact.
09:38
Il n'y a pas eu de rendez-vous de...
09:42
de rendez-vous de défini.
09:45
Et donc, pour le moment, en fait,
09:47
pour moi, ça sert à rien.
09:49
Ca sert à rien d'en parler, parce que ça reste qu'un contact.
09:53
C'est facile d'avoir un contact,
09:55
mais après, si ça va pas plus loin...
09:57
Voilà.
10:00
-Abandonnée aujourd'hui par l'Etat ?
10:02
-Hm... Après, je...
10:09
Abandonnée. Nous, ça fait que quelques semaines
10:12
que le drame a été produit.
10:14
Alors, est-ce que l'Etat n'a pas eu le temps
10:17
de rentrer en contact avec nous ?
10:19
On peut peut-être voir les choses comme ça pour le moment,
10:22
plutôt que de dire que l'Etat nous abandonne,
10:25
puisqu'il y a quand même beaucoup de victimes
10:28
qui sont avant moi,
10:29
qui, elles, oui, je pense, ont été abandonnées.
10:32
Après, moi, j'espère ne pas en faire partie,
10:35
et je ferai tout pour.
10:37
Comment ?
10:39
-Vous disiez "n'a pas eu le temps", c'était le 22 juillet.
10:42
Le temps, ils auraient pu le prendre ?
10:45
-Ils auraient pu.
10:48
Mais entre deux, il y a d'autres événements aussi.
10:52
Comme là, par exemple,
10:56
le gîte qui a pris feu, apparemment,
10:58
avec ces 11 personnes qui sont parties.
11:00
Là, je crois que le président avait besoin
11:04
de venir vers eux pour le moment.
11:07
Je désespère pas qu'ils puissent prendre contact avec nous,
11:11
et certainement qu'il aura les mots et peut-être des excuses
11:15
pour nous dire qu'il s'est pas présenté avant.
11:17
Mais là, encore aujourd'hui,
11:19
la minute de silence au moment de l'Assemblée, tout ça,
11:23
est-ce que c'est vraiment important ?
11:26
Moi, ça fera pas revenir mon fils.
11:28
Moi, ce que je veux, juste aujourd'hui,
11:30
c'est qu'on arrive à dire que Enzo, c'est l'enfant de trop
11:35
et qu'il faut que les lois changent,
11:37
parce que là, c'est la France qu'en a marre.
11:40
Et il faut protéger tous les petits avenirs, en fait.
11:43
Il faut pas que des choses comme ça se reproduisent.
11:48
-Qu'est-ce qu'on peut espérer ?
11:50
Ce sera ma dernière question.
11:52
Sophie, vous m'avez dit au téléphone
11:54
que votre crainte était qu'on oublie Enzo.
11:57
-Moi, je pense que ça, c'est une crainte de...
12:03
Une crainte de maman.
12:05
Dans un drame comme ça, là, on parle d'un meurtre,
12:08
donc forcément, j'ai pas envie qu'on oublie mon fils.
12:11
Et le seul moyen pour moi de pas l'oublier,
12:14
je pense que c'est de pouvoir faire changer
12:18
cette loi des mineurs.
12:20
Par exemple, que nous, aujourd'hui,
12:24
on a toujours pas accès à notre dossier avec notre avocat,
12:27
on ne peut pas se constituer partie civile.
12:30
Et ça, c'est pas normal.
12:32
Moi, l'autopsie qui a été réalisée sur mon fils,
12:35
j'aimerais savoir ce qu'ils ont fait sur mon enfant.
12:38
Moi, aujourd'hui, je suis en colère
12:42
par rapport à l'autopsie qui a été faite,
12:44
parce que pour moi, on a...
12:46
Par rapport au drame, déjà,
12:49
les circonstances que Enzo ait décédé,
12:53
et comment, nous, on a retrouvé notre fils après l'autopsie,
12:58
pour moi, il y a un gros souci.
13:00
On connaissait les causes du décès.
13:03
On n'avait pas lieu de...
13:06
de, si on peut dire, mutiler notre enfant comme ça.
13:09
Donc, aujourd'hui,
13:12
je veux pas qu'on ait mutilé mon enfant pour rien.
13:15
Il faut qu'on se souvienne d'Enzo
13:18
et il faut que l'histoire d'Enzo fasse changer les choses.
13:23
-Merci beaucoup, Sophie, pour ce témoignage.
13:26
...
13:29
[SILENCE]
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