“Il n’y a même pas de…”  ce que Bernadette Chirac reprochait au fort de Brégançon

  • il y a 9 mois
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“Il n’y a même pas de…” : ce que Bernadette Chirac reprochait au fort de Brégançon
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En août 2018 la journaliste Vanessa Schneider dans les colonnes du Monde sur ce mois d'août 1996 où elle avait été envoyée par son ancienne rédaction de Libération au Fort de Brégançon elle avait alors pour mission de raconter ce qu'il se passait derrière les hauts murs de la résidence d'État utilisé comme lieu de vie législature par le Président de la République qui était alors Jacques Chirac une époque durant laquelle les anciens chefs d'État pouvaient disparaître trois semaines l’été sans que l’opinion ne s'en est meuf à Borne les Mimosas le successeur de François Mitterrand passait du bon temps en bronzant notamment parce qu’il adorait la Côte d'Azur où il a vécu pendant 5 ans lorsqu’il était enfant racontait notre concert mais ce n’était vraisemblablement pas le cas de son épouse Bernadette Chirac qui n'a pas toujours apprécié les lieux tandis que l’ancien chef d’état profitait de ses vacances en se présentant dans des tenues tout ce qu'il y avait de plus décontracté sa femme ne semblait pas tout à fait à son aise du moins au début lors de leur arrivée sur place au sein du fort de Briançon en 1996 lorsque la décoration était sommaire avec ses murs blanchis à la chaux lui donnant des aires de maison provençales avec ses tomates au sol la mère de Claude avait quelques peu critiqué devant les journalistes l’inconfort du lieu supérieur à supérieur à les premières dames en vacances au Fort de Brégançon installée à l'initiative d’emmanuel Macron la femme de Jacques Chirac avait alors mis en lumière les fenêtres en simple vitrage qui tremblent à chaque coup de vent mais aussi les ouvertures étroites qui ne laissent guère pas passer la lumière autre inconvénient à ses yeux du fort de Bormes-les-Mimosas le fait qu'il n'y a fait même pas de piscine une remarque étonnante puisque l’ancienne figurant emblématique de l’opération pièce jaune et même pas se baigner quoi qu'il en soit il aura fallu attendre qu’emmanuel Macron devienne président de la République pour que des travaux soient réalisés en 2018 afin d'installer un point d'eau ayant coûté la somme de 34000 euros comme lavait révélé le Parisien article écrit avec la collaboration de 6 médias crédits

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