Immersion dans l’A330 MRTT de la base 125 d’Istres qui a survolé les Champs-Élysées pour le défilé du 14-Juillet
- il y a 9 mois
Ils ont survolé les Champs-Élysées à bord de l’A330 MRTT Phénix de la base 125 d’Istres pour le défilé du 14-Juillet.
À 6h00 du matin, vendredi, le lieutenant-colonel Paul, le capitaine Gautier, le commandant Nicolas et l’adjudant Adrien ont effectué le dernier briefing d’une mission pas comme les autres. Quelques heures plus tard, ils survoleront Paris, à bord de l’A330 MRTT Phénix, de l’Arc de Triomphe jusqu’à la tribune présidentielle, pour le défilé aérien du 14-Juillet. Pour les quatre hommes, c’est une première. Chronologie heure par heure, conditions météo, carburant… tout est passé en revue.
Avant d’embarquer, l’avion est inspecté dans sa globalité par le mécanicien puis le copilote. 8h15 : décollage, pour une arrivée en région parisienne à 9h30. Pendant une heure, l’avion va patienter dans le « hold ». Un hippodrome aérien au dessus de Mantes-la-Jolie, dans lequel l’avion de 60 mètres d’envergure va réaliser des boucles de 55 km, aux côtés de 68 autres aéronefs, rangés par étage, en très basse altitude : 1 500 pieds, soit près de 457 mètres.
Des dizaines de tours plus tard, l’heure de passage est enfin connue : 10h46. Après une heure d’attente et d’extrême vigilance, à une vitesse de 600 km/h, il ne faut que 15 secondes à l’équipage pour parcourir le défilé, avant de reprendre de l’altitude, pour un retour à Istres.
Quelques heures de repos plus tard, les 4 hommes ont renouvelé l’expérience. Cette fois-ci au-dessus de Marseille.
À 6h00 du matin, vendredi, le lieutenant-colonel Paul, le capitaine Gautier, le commandant Nicolas et l’adjudant Adrien ont effectué le dernier briefing d’une mission pas comme les autres. Quelques heures plus tard, ils survoleront Paris, à bord de l’A330 MRTT Phénix, de l’Arc de Triomphe jusqu’à la tribune présidentielle, pour le défilé aérien du 14-Juillet. Pour les quatre hommes, c’est une première. Chronologie heure par heure, conditions météo, carburant… tout est passé en revue.
Avant d’embarquer, l’avion est inspecté dans sa globalité par le mécanicien puis le copilote. 8h15 : décollage, pour une arrivée en région parisienne à 9h30. Pendant une heure, l’avion va patienter dans le « hold ». Un hippodrome aérien au dessus de Mantes-la-Jolie, dans lequel l’avion de 60 mètres d’envergure va réaliser des boucles de 55 km, aux côtés de 68 autres aéronefs, rangés par étage, en très basse altitude : 1 500 pieds, soit près de 457 mètres.
Des dizaines de tours plus tard, l’heure de passage est enfin connue : 10h46. Après une heure d’attente et d’extrême vigilance, à une vitesse de 600 km/h, il ne faut que 15 secondes à l’équipage pour parcourir le défilé, avant de reprendre de l’altitude, pour un retour à Istres.
Quelques heures de repos plus tard, les 4 hommes ont renouvelé l’expérience. Cette fois-ci au-dessus de Marseille.