Tout pour Isabelle, la fille du prêtre, ou la moitié pour l'Église ? Début juillet, le diocèse de Perpignan a finalement préféré jeter l'éponge et renoncé « purement et simplement au legs dont le diocèse était bénéficiaire », soit la moitié d'un patrimoine évalué à 450 000 euros. Mais pour l'avocat Jean Codognès, l'Église a bel et bien cherché à « spolier » sa cliente, Isabelle Ballesteros, une professeure de collège de 42 ans, avant de faire machine arrière par peur du scandale.