papacito 2eme partie all parts émeutes

41L3F

01/07/2023

Catégorie

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Éducation

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00:00 Excusez-moi, il y a des choses aussi que j'ai oublié de vous dire parce que je...

00:02 Là je devais aller promener Maximus, donc je prends deux minutes pour compléter un peu cette story,

00:07 parce que si j'ai des retours qui sont intéressants.

00:10 Rappelez-vous qu'il y a quelques mois, l'État a demandé aux gens de se débarrasser de leurs armes.

00:15 Donc les boomers là, qui se sont débarrassés des vieux Mauser, des vieux Lebel,

00:20 des pistolets qu'ils avaient chez eux, se retrouvent à devoir affronter les uns...

00:25 Enfin, ils ne les affronteront pas, mais se retrouvent à devoir voir les uns cambrioler leur appart

00:31 avec les bougies et les stylos qui leur restent des manifs pour le Bataclan.

00:36 Donc ça c'est une très très bonne nouvelle.

00:38 Ensuite, de manière internationale, là en Espagne depuis plusieurs jours,

00:42 ils filment, ils montrent les images et ils expliquent de quelle politique cette situation est issue.

00:48 Donc ce qui est en train d'arriver à la France va servir aux autres pays européens à quand même réagir.

00:54 Donc là c'est une très bonne nouvelle.

00:55 Aussi très important, étant donné que là il y a de l'impunité, si vous voulez,

00:59 les uns, qui sont, je le rappelle, ils font partie de l'oste, comme on disait au Moyen-Âge,

01:05 de l'oste de la République. Ils font partie du rouleau compresseur républicain contre la France.

01:10 Donc si vous voulez, la République va avoir beaucoup de mal, elle ne peut pas, si vous voulez,

01:14 demander aux policiers de leur tirer dessus.

01:17 Donc si vous voulez, là, elle est obligée de regarder les uns progresser

01:23 et de dire à ses policiers... Et là, ce qui sauverait la République,

01:27 c'est qu'il y ait des gens qualifiés d'extrême droite qui aillent se mêler de tout ça.

01:32 C'est comme avec l'affaire, si vous voulez, de Mila.

01:38 Vous voyez, on demandait à la droite de venir au secours de Mila, mais Mila est un produit républicain,

01:42 c'est le blasphème et l'anti-religieux.

01:44 Il faut laisser la République se débrouiller avec les gens que Mila a offensés.

01:49 Vous comprenez, c'est le même système là.

01:51 Comme le souhaitent certains, il y a l'armée ou des milices qui rentrent en jeu.

01:55 Vous sauvez le régime républicain, vous sauvez ce système qui va pouvoir dire

01:59 "Regardez, les hordes d'extrême droite affrontent les hordes de Homs,

02:03 et c'est Macron qui vient, avec l'esprit républicain, pacifier tout ça."

02:08 Non, non, non, non. Cette histoire, c'est la République avec elle-même, c'est une histoire de famille.

02:13 Les Homs sont les enfants de la République.

02:15 Donc là, c'est une mère qui n'a plus d'autorité face à un de ses enfants qui se rebelle, enfant adoptif, qui se rebelle.

02:23 Donc si vous voulez, c'est du pain béni pour nous, il faut laisser se passer ça.

02:26 Il faut même, entre guillemets, attention ça peut tomber sur le coup de la loi ce que je dis, donc je ne vais pas le dire,

02:30 mais il faut vraiment laisser faire. Voilà, il faut laisser faire.

02:34 N'intervenez que si votre vie est en danger, mais je pense que la plupart des gens à qui je m'adresse

02:40 ont soit les moyens de se défendre, soit on fait ce que je leur demandais, c'est-à-dire partir à la campagne.

02:43 Là, il faut laisser faire, il faut laisser faire. N'intervenez surtout pas.

02:46 Laissez la République se débrouiller avec ses supports.

02:49 Parce qu'en plus, là, les Homs, ils attaquent des choses bien précises.

02:52 Ils ont attaqué un mémorial de la résistance et de la Shoah.

02:55 Ils ont attaqué un bureau de poste.

02:57 Ils ont attaqué un maire.

02:59 Ils ont brûlé la voiture d'un maire devant lui.

03:01 Rappelez-vous tout le ramdame que ça avait fait à Saint-Brévent-les-Pins et à Montjoie,

03:05 pour trois fois rien, pour des choses qui n'ont rien à voir, pour des vidéos dérangeantes.

03:09 Ils ont brûlé la voiture d'un maire devant lui.

03:12 Rappelez-vous tout le ramdame que ça avait fait à Saint-Brévent-les-Pins et à Montjoie,

03:16 pour trois fois rien, pour des choses qui n'ont rien à voir, pour des vidéos dérangeantes.

03:20 Là, c'est des voitures de maires qui brûlent.

03:23 Ils attaquent des centres des impôts.

03:26 À Montpellier, il y a un centre des impôts qui a brûlé.

03:29 Donc si vous voulez, là, c'est parfait.

03:31 Ils s'attaquent précisément au symbole du pouvoir républicain.

03:34 Donc là, vraiment, il faut que vous arrêtiez d'avoir mal au cœur

03:39 et que vous arrêtiez d'être triste.

03:42 Ce qui se passe est fabuleux.

03:44 La République trébuche sur ses propres mains.

03:47 Et il ne faut surtout pas participer.

03:49 Il ne faut surtout pas qu'il y ait un mec qui aille tirer dans la foule ou je ne sais pas quoi.

03:52 N'offrez pas de porte de sortie aux journalistes et à la République

03:55 qui se débrouillent avec le monde dont ils ont accouché.

03:57 Vous savez ce qui me rappelle cette histoire ?

03:59 Une fois, mais j'étais très jeune, j'avais 18 ans,

04:02 j'étais en train de marcher du côté de Purpon, qui était le quartier où j'habitais.

04:06 En face, il y avait une espèce de gymnase de fitness.

04:11 Et j'étais en train de marcher devant ce gymnase.

04:14 Et j'ai vu un couple de Huns se disputer.

04:17 Et il y a le Hun qui a giflé sa compagne.

04:20 Alors moi, tant bien que mal, j'étais déjà costaud physiquement.

04:24 J'ai essayé d'intervenir très timidement quand même.

04:27 "Monsieur, vous ne pouvez pas faire ça."

04:29 Et je me rappelle, c'est la femme Hun qui m'avait dit

04:32 "Mais de quoi tu te mêles, c'est entre nous."

04:35 Et j'en avais tiré une leçon à l'époque.

04:38 Je m'étais dit, les gens qui se mettent dans ces situations-là,

04:41 quand ils prennent des claques, il faut les laisser prendre des claques.

04:43 Parce que si tu veux, ils n'apprennent pas.

04:45 Donc là, la République est en train de se faire gifler par le Hun, par son Mac Hun.

04:48 Laissons-la se faire tarter, regardons ça.

04:50 Disons lui, "Écoute, désolé pour toi, mais tu as choisi ton destin."

04:53 "Il fallait se marier avec un mec plus sympa."

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