170M€ de nos impôts partent en fumée…on dit STOP ?
- il y a 11 mois
Chronique d’une mort annoncée ! En octobre 2020, le service public audiovisuel s’était allié à TF1 et M6 pour lancer Salto, une plateforme française pour contrer Netflix, Disney + et Prime Amazon.
Un projet totalement fou de plusieurs centaines de millions d’euros voué, dès sa naissance, à l’échec. Comment concurrencer Netflix et ses 19 milliards de dollars de budget avec les rediffusions de "Joséphine, ange gardien" et un maximum de 1,2% de programmes inédits ?
Avec seulement 170 000 abonnés en 2021, l’opération Salto a tourné au désastre financier. On parle de 170 millions d’euros de perte. Un fiasco et une gabegie payée, en partie, par nos impôts et notre financement de France Télévisions. Les dirigeants de l’audiovisuel public ne sont pas sanctionnés. Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, n’a pas à répondre de ses erreurs. La belle vie peut continuer…
La belle vie ? C’est le moins que l’on puisse dire quand Cyril Hanouna, qui n’est pas exempt de reproches et d’arrière-pensées, dénonce les veaux gras du service public de nos impôts et révèle que la patronne de Radio France touche 18 500 € par mois, soit largement plus qu’un président de la République. La belle vie, quoi !
La seule voie rapide pour contrecarrer le service public audiovisuel des copains et des coquins, c’est de donner les moyens à la presse alternative d’exister, de se développer, de toucher toujours plus de Français. Le meilleur moyen de réduire les méfaits des médias publics, c’est de financer TVL ! En tout cas, à court terme, je ne vois pas d’autre solution…
Un projet totalement fou de plusieurs centaines de millions d’euros voué, dès sa naissance, à l’échec. Comment concurrencer Netflix et ses 19 milliards de dollars de budget avec les rediffusions de "Joséphine, ange gardien" et un maximum de 1,2% de programmes inédits ?
Avec seulement 170 000 abonnés en 2021, l’opération Salto a tourné au désastre financier. On parle de 170 millions d’euros de perte. Un fiasco et une gabegie payée, en partie, par nos impôts et notre financement de France Télévisions. Les dirigeants de l’audiovisuel public ne sont pas sanctionnés. Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions, n’a pas à répondre de ses erreurs. La belle vie peut continuer…
La belle vie ? C’est le moins que l’on puisse dire quand Cyril Hanouna, qui n’est pas exempt de reproches et d’arrière-pensées, dénonce les veaux gras du service public de nos impôts et révèle que la patronne de Radio France touche 18 500 € par mois, soit largement plus qu’un président de la République. La belle vie, quoi !
La seule voie rapide pour contrecarrer le service public audiovisuel des copains et des coquins, c’est de donner les moyens à la presse alternative d’exister, de se développer, de toucher toujours plus de Français. Le meilleur moyen de réduire les méfaits des médias publics, c’est de financer TVL ! En tout cas, à court terme, je ne vois pas d’autre solution…