Dans le monde de la cyberguerre, il y a les opérations très visibles, comme le piratage d'une centrale électrique ou d'une chaîne de télévision, et les démarches plus discrètes. Ce qui s'est joué entre la Chine et les États-Unis appartient à la seconde catégorie. Pékin aurait infiltré des « infrastructures critiques » grâce à un collectif de pirates nommé Volt Typhoon, selon un communiqué rarissime publié par les plus grandes oreilles du monde : les Five Eyes.