Sonia Mabrouk recadre sèchement Elisabeth Lévy sur CNews

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Transcript

00:00 Et souvent je me suis rendu compte que l'élève harceleur était un ancien élève harcelé.

00:04 Donc tout ça est compliqué à gérer.

00:06 - Une question toute simple par rapport à la question des solutions.

00:08 Va-t-il y avoir des sanctions ?

00:10 Va-t-il y avoir des sanctions ?

00:11 - Attendez l'enquête, il faut que tout soit prouvé.

00:13 - Non, je pose la question.

00:14 - C'est une vraie question.

00:15 - Vous avez raison.

00:16 - Non, non, parfois il y a des sanctions.

00:17 - Ne préjugez pas à la parole.

00:18 - Non mais attendez.

00:19 - Non mais Michel vous pouvez pas dire ça.

00:22 - Attendez, là ne préjugez pas pour une fois.

00:24 - Ok, très bien, la justice va faire son travail, il va y avoir des auditions.

00:28 - Mais déjà qu'il y a encore un harceleur semble-t-il dans l'établissement, qu'il n'y

00:32 ait pas une précaution de mise à l'écart.

00:35 - Non seulement il n'y a pas de parole pub.

00:37 - Ce que vient de dire Kevin est très important, que les harceleurs sont souvent d'anciens harceleurs.

00:41 - Attendez, vous voyez qu'il n'y a pas des monstres d'un côté.

00:44 - C'est pour ça que c'est plus compliqué.

00:46 - C'est vraiment insondable cette affaire.

00:48 - Mais à la fin, il y a une fille qui s'est suicidée, donc moi je vois la victime où aller.

00:52 - Bien sûr, vous avez raison Sonia, ce que j'essaye de comprendre c'est pourquoi il y en a plus aujourd'hui.

00:57 - Excusez-moi, j'ai fait ma scolarité épineuse sur scène.

01:00 - On en parle plus aujourd'hui peut-être.

01:01 - Non, il n'y avait pas ces crises.

01:02 - Parce qu'il y avait les réseaux sociaux, parce que vous êtes poursuivis en dehors de l'établissement scolaire,

01:06 et parce qu'aujourd'hui, une forme, Jeanne Cancard, les réseaux sociaux ont joué un rôle là extrêmement dévastateur.