Pollution plastique : les représentants de 175 pays tentent de parvenir à un accord
- il y a 11 mois
Pollution plastique :, les représentants de 175 pays tentent
de parvenir à un accord.
Ce lundi 29 mai, les représentants de
175 nations se réunissent au siège de l'Unesco à Paris pour convenir d'un traité visant à limiter la pollution plastique dans le monde.
Si nous n'agissons pas, il y aura en 2050 plus de plastique que de poissons
dans les océans, Catherine Colonna, ministre française des Affaires étrangères.
C'est la deuxième session du comité international de négociation, sur les cinq prévues pour aboutir
à un accord historique.
Les ONG mais aussi des représentants des entreprises du secteur du plastique seront présents pour assister aux débats.
Dès ce samedi 27 mai, les ministres et représentants d'une soixantaine de pays se sont rencontrés à Paris pour initier les négociations.
Lutter contre la pollution plastique c'est nous faciliter la vie pour lutter contre le dérèglement climatique d'un côté et pour faire en sorte de préserver nos océans
et la biodiversité, Christophe Béchu, ministre de la
Transition écologique français.
En 2022, la production de plastique a doublé pour atteindre un record historique de
460 millions de tonnes.
Deux tiers de cette production mondiale a une faible durée de vie et devient des déchets à gérer après
une seule ou quelques utilisations.
Parmi ces déchets, 22% sont abandonnés (décharges sauvages, incinérations à ciel ouvert ou rejet dans la nature) et moins de 10% sont recyclés.
Il faut qu'on fasse attention à ce que la question du recyclage ne remplace pas le débat sur la réduction de la
production de plastique, Christophe Béchu, ministre de la
Transition écologique français.
Il y a plus d'un an à Nairobi au Kenya, un accord international avait été mis en place pour élaborer, d'ici la fin de l'année 2024, un traité juridiquement contraignant sous l'égide de l'ONU.
Alors que les membres de la Coalition pour la haute ambition, menée par la Norvège et le Rwanda, soutiennent une réduction drastique des déchets plastiques.
D'autres nations comme la Chine, les Etats-Unis et les pays de l'Opep continuent de formuler leurs réticences afin de protéger l'industrie pétrochimique
de parvenir à un accord.
Ce lundi 29 mai, les représentants de
175 nations se réunissent au siège de l'Unesco à Paris pour convenir d'un traité visant à limiter la pollution plastique dans le monde.
Si nous n'agissons pas, il y aura en 2050 plus de plastique que de poissons
dans les océans, Catherine Colonna, ministre française des Affaires étrangères.
C'est la deuxième session du comité international de négociation, sur les cinq prévues pour aboutir
à un accord historique.
Les ONG mais aussi des représentants des entreprises du secteur du plastique seront présents pour assister aux débats.
Dès ce samedi 27 mai, les ministres et représentants d'une soixantaine de pays se sont rencontrés à Paris pour initier les négociations.
Lutter contre la pollution plastique c'est nous faciliter la vie pour lutter contre le dérèglement climatique d'un côté et pour faire en sorte de préserver nos océans
et la biodiversité, Christophe Béchu, ministre de la
Transition écologique français.
En 2022, la production de plastique a doublé pour atteindre un record historique de
460 millions de tonnes.
Deux tiers de cette production mondiale a une faible durée de vie et devient des déchets à gérer après
une seule ou quelques utilisations.
Parmi ces déchets, 22% sont abandonnés (décharges sauvages, incinérations à ciel ouvert ou rejet dans la nature) et moins de 10% sont recyclés.
Il faut qu'on fasse attention à ce que la question du recyclage ne remplace pas le débat sur la réduction de la
production de plastique, Christophe Béchu, ministre de la
Transition écologique français.
Il y a plus d'un an à Nairobi au Kenya, un accord international avait été mis en place pour élaborer, d'ici la fin de l'année 2024, un traité juridiquement contraignant sous l'égide de l'ONU.
Alors que les membres de la Coalition pour la haute ambition, menée par la Norvège et le Rwanda, soutiennent une réduction drastique des déchets plastiques.
D'autres nations comme la Chine, les Etats-Unis et les pays de l'Opep continuent de formuler leurs réticences afin de protéger l'industrie pétrochimique