Avec Eric Revel et Arlette Chabot
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##LES_GRANDS_DEBATS_DU_MATIN-2023-05-29##
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00:00 8h39 sur Sud Radio, soyez les bienvenus si vous nous rejoignez. 0 800 26 300 300. C'est le numéro
00:08 à composer si vous voulez intervenir à l'antenne sur Sud Radio. Manu qui vous attend au standard
00:14 quel que soit le sujet que vous souhaitez évoquer sur l'immigration. On va en parler là tout de
00:18 suite avec nos historialistes qui nous ont rejoints, Lechabo, Eric Revelle ou encore sur
00:23 Elisabeth Borne qui parle du RN, parti, héritier de Pétain. On y reviendra dans un instant. D'abord,
00:30 l'immigration, vous nous en parliez justement tout à l'heure dans votre édito politique,
00:34 Arlette Chabot. J'aimerais faire réagir aussi Eric Revelle à ce sujet. On a eu la réaction,
00:39 on a eu, oui c'est vrai, à retrouver d'ailleurs sur nos réseaux sociaux, sur notre compte Twitter
00:44 Sud Radio et puis sur notre site sudradio.fr. On sent que c'est compliqué sur la réaction de
00:50 Gérald Darmanin aux propositions des LR. Il y a une partie de "oui pourquoi pas on veut négocier"
00:56 mais il y a des lignes rouges très claires. Ça va être très difficile de se mettre d'accord,
01:01 j'ai l'impression, mon cher Eric, entre LR et le gouvernement sur ce sujet. - Oui, alors je
01:06 rappelle quand même que le président de la République avait confié en partie comme feuille
01:10 de route à Elisabeth Borne d'élargir sa majorité. Alors c'est vrai qu'elle ne risquait pas d'élargir
01:17 à la Nupes mais il y avait cette hypothèse qu'elle réussisse à élargir à LR, au coup LR,
01:22 bon visiblement ça ne sera pas le cas. Donc de ce point de vue là elle a quand même échoué. Mais
01:28 sur la proposition de loi des LR sur l'immigration avec ces trois têtes d'affiche, vous l'avez vu
01:34 dans le JDD, Olivier Marlex le patron du groupe, Bruno Retailleau à l'Assemblée, en fait je trouve
01:41 que c'est un coup politique assez habilement joué par les LR parce qu'ils occupent le terrain au
01:47 moment, il faut quand même le rappeler, où la loi d'Armanin-Borne sur l'immigration est un peu
01:54 dans les nimbes, c'est-à-dire qu'il y a une espèce de confusion, on ne sait pas combien de projets,
01:59 on ne sait pas quand, donc c'est plutôt pas mal vu. Maintenant dans le détail, il y a une offensive,
02:04 peut-être qu'on en parlera avec Arlette, mais il y a une offensive évidemment anti-RN en ce moment,
02:08 qui avait commencé d'ailleurs sur la loi des immigrations des Républicains, qui avait été
02:13 taxée par quelques membres de la majorité de copies du RN. En fait, je pense qu'on pourra
02:20 s'interroger peut-être tout à l'heure sur pourquoi une telle offensive contre le RN,
02:24 je pense qu'avec Arlette on ne sera pas d'accord, mais j'ai mon petit avis.
02:28 - Un mot, pourquoi ? - Bah allons-y, allons-y directement.
02:30 - Bah j'ai pensé quand même de faire mieux que le RN, non ? Je veux dire c'est évidemment récupérer
02:34 les électeurs qui sont partis au RN, ça c'est ce que visent bien sûr les Républicains, puis dans
02:41 la majorité il y a aussi une perspective qui s'annonce, ce sont les Européennes l'année
02:45 prochaine. Alors vous allez me dire "les Européennes ne passionnent pas les Français", oui mais si
02:49 nettement cette fois le RN arrive devant la liste, la liste conduite sans doute par Jordane Bardella
02:57 arrive devant celle conduite par le représentant d'Emmanuel Macron, bah ça sera effectivement
03:03 assez douloureux, et donc il faut freiner évidemment le RN. Donc c'est ça la volonté
03:11 aujourd'hui de la majorité et des Républicains. Maintenant qui peut gagner ? Ce qui est quand même
03:18 un bras de fer parce que c'est pas évident quand même de trouver un accord. L'initiative des
03:24 Républicains... - On est plus sur un début de, c'est ce que vous disiez dans votre édito, plus sur un bras
03:28 de fer que sur un début de discussion quoi. - Vous mettez des lignes rouges parce que pourquoi
03:33 il n'y a pas eu d'accord ? Éric disait "Elisabeth Borne n'a pas réussi sur les retraites", bah non,
03:38 mais pouvait-elle réussir ? Réponse non, parce que les Républicains n'étaient même pas d'accord
03:43 entre eux, donc il n'y a pas eu de majorité possible parce qu'il n'y a pas eu de discipline
03:47 de groupe et c'est l'autorité d'Éric Ciotti qui a été mise en cause. Donc là Éric Ciotti il veut
03:51 se refaire, j'allais dire, une santé de chef de parti et du côté du gouvernement, bah certes on a
03:58 envie de trouver un compromis mais on n'a pas envie non plus de céder sur ce qui est essentiel. Et là
04:04 tiens, on retrouve l'Europe, c'est-à-dire pas question pour Emmanuel Macron de dire "on s'affranchit
04:08 des règles européennes". - C'est ça, parce que si on s'affranchit des règles européennes,
04:12 ça passe par la Constitution en l'occurrence, Éric Revelle, et ça c'est une ligne rouge que Gérald
04:18 Darmanin a clairement pointé du doigt quoi. Et Élisabeth Borne aussi. - Oui mais enfin, s'affranchir
04:23 des règles européennes c'est un peu la géométrie variable, parce que dans ma chronique tout à l'heure
04:28 mon cher Benjamin, je rappelais quand même que les règles européennes en matière budgétaire, on
04:34 s'en affranchit allègrement. - Mais ça c'est pour le coup Bruxelles d'une certaine manière.
04:38 - Oui oui, certes, mais là on siffle la fin de la récréation et les projections que la France a
04:45 envoyées à Bruxelles pour 2027, permettez-moi de vous dire qu'elles sont plutôt sinon très optimistes
04:51 ou alors farfelues. - Tant qu'il y a un deux poids deux mesures là-dessus, très clairement selon vous.
04:55 - C'est le en même temps quoi, c'est le en même temps à Emmanuel Macron, mais juste un point sur les
05:01 européennes et sur le RN, je rappelle évidemment Arlene Schiavo qui l'a en tête, c'est une évidence.
05:07 - Attention, attention, mesquine des évidences. - Non mais il y a quelques années, vous en souvenez sans doute, un monsieur qui était au
05:16 RPR et qui n'était pas encore président de la République, Nicolas Sarkozy, avait vu sa liste
05:20 aux européennes devancée par celle de Philippe de Villiers et de Charles Pasquoie, vous en souvenez ?
05:24 Donc les européennes c'est quand même une élection assez particulière, maintenant sur la question du RN qui est montrée du doigt avec cette
05:32 formule héritier de Pétain, oui le Front National a été un parti antisémite à ses heures, entouré de gens...
05:40 - On a eu déjà Pétain là. - Non mais parce que je fais le lien entre les deux, parce qu'en fait il y a un lien entre les deux.
05:45 C'est que en réalité, vous savez, pour Elisabeth Borne et la Macronie, je pense, le RN est devenu une sorte de savonnette.
05:57 C'est-à-dire qu'ils ne savent plus comment l'attraper, par quel bout l'attraper en réalité, parce que le RN aujourd'hui, c'est un pays qui est normalisé,
06:05 un parti qui a été normalisé avec la candidature de Zemmour, mais aussi avec son attitude à l'Assemblée Nationale, et le grand danger pour la Macronie
06:13 qu'il voit poindre, évidemment, c'est cette savonnette qu'on n'arrive plus à attraper, avec la perspective, la rappeler, de pourquoi pas,
06:20 de voir une victoire du RN en 2027. Et tout ça, évidemment...
06:24 - Mais est-ce qu'ils n'ont pas joué ce jeu-là aussi du côté des Macronis, justement, à faire monter un peu le RN ? Ça les arrangeait bien, finalement.
06:30 - Oui, alors François Mitterrand jouait au jeu de faire monter le FN, maintenant je ne sais pas...
06:34 - En fait, c'est un jeu d'enjeu que pratique tout le monde, c'est-à-dire, tout le monde pense, hors RN, qu'être effectivement face à Marine Le Pen
06:43 ou un candidat du RN, c'est assurer d'être élu. Certains même finissent par s'interroger sur une attitude de la gauche.
06:49 Est-ce qu'en continuant à viser le RN, il n'y a pas l'idée de se retrouver aussi au second tour, face à Marine Le Pen, pour pouvoir l'emporter et rassembler les Français ?
07:02 Donc c'est un jeu extrêmement dangereux. On condamne le RN, avec l'arrière-pensée de se dire que finalement, c'est l'assurance de la victoire,
07:12 de se retrouver face au RN. Donc c'est compliqué. Mais pour revenir à Pétain et Elisabeth Borne, puisque vous ne nous avez pas posé la question,
07:20 mais qu'Eric a commencé à évoquer, je pense que ce n'est vraiment pas une bonne idée. C'est-à-dire que ça nous ramène à l'ancien Front National.
07:31 Alors on peut répéter le Front National et le RN, le rassemblement, c'est la même chose.
07:36 Ce n'est pas la même chose et c'est, j'allais dire, beaucoup plus dangereux. Pourquoi ? Parce que Marine Le Pen, au fond du RN, s'efforce d'en faire un parti populiste.
07:44 Voilà. Banalisé. Et ce qui est utile, c'est toujours de revenir à l'essentiel, c'est que propose le RN, notamment en économie.
07:55 Avec qui, Marine Le Pen, pourrait-elle gouverner demain si elle était élue ? Quel programme ? Quels alliés ? Ce sont toujours les mêmes questions auxquelles,
08:02 effectivement, elle n'a pas encore répondu. Mais la ramener à la Deuxième Guerre mondiale à Pétain, ça n'a aucun sens.
08:10 Le RN d'aujourd'hui n'est pas, effectivement, le Front National de papa. Et qu'est-ce qui peut arriver à la France ?
08:18 C'est de se retrouver comme l'Italie, même si Giorgia Meloni n'est pas Marine Le Pen, mais on se retrouve, surprise, avec un gouvernement
08:26 qui est dirigé par une droite dure, extrême, comme en Italie. Demain, c'est possible, en 2027, si on continue à utiliser les mauvais arguments.
08:37 Allez, ça vous fait réagir. Vous nous appelez à 0826-300-300 au Standard. Manu vous attend. On y sera d'ailleurs au Standard, juste dans un instant, bien sûr.
08:44 Avec, toujours, ici, dans le studio de Sud Radio, Arlette Chabot et Eric Revelle. À tout de suite.
08:49 7h-9h, le Grand Matin Sud Radio.
08:53 Ne plus avoir à négocier son électroménager chez Cuisine Plus, ça, c'est vraiment...
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12:03 Condition sur carglass.fr.
12:04 Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Benjamin Gleize.
12:09 8h51 sur Sud Radio, on poursuit les débats bien sûr avec Arlette Chabot.
12:15 Et puis avec Eric Revelle qui sont toujours avec nous jusqu'à 9h bien entendu.
12:20 Et puis vos questions, vos réactions, on parle du projet de loi Immigration.
12:24 Quel avenir pour ce projet de loi avec les propositions des LR ?
12:26 La réponse de Gérald Darmanin.
12:28 Hier on parle aussi des qualificatifs d'Elisabeth Borne qui parle du parti, du RN, héritier de Pétain.
12:34 Vous réagissez, vous nous appelez 08126 300 300, va au standard.
12:38 On est avec Guy qui nous appelle de Toulon.
12:40 Bonjour Guy.
12:41 - Oui bonjour à tous les trois.
12:43 - Et bienvenue sur Sud Radio.
12:44 - Bienvenue.
12:45 - Guy, réagir sur quel sujet ? Sur l'immigration je crois.
12:47 - Sur l'immigration et je voulais féliciter Arlette Chabot pour tout ce qu'elle a dit
12:52 parce que franchement elle a vraiment dit ce qu'il fallait.
12:54 - Elle est très fière.
12:55 - Je ne suis pas toujours d'accord avec elle mais là je reconnais que c'est très très bien.
13:00 Et donc je vais vous dire, je pense que ce problème là il est récurrent depuis des années.
13:07 Alors on diabolise le Front National en permanence mais personne n'a de solution.
13:11 Donc je vais simplement vous dire, une fois j'ai eu Rachida Dati qui a expliqué
13:20 qu'elle n'aurait jamais pu faire ce qu'elle a fait s'il y avait eu le Front National.
13:23 Je lui ai dit "mais pourquoi madame les politiques de la ville qui ont été mises en place
13:28 par les gouvernements auxquels vous avez participé ont réglé les problèmes ?
13:31 Regardez l'argent qu'on dépense.
13:33 Vous savez on manque que d'une chose, je m'occupe personnellement de deux migrants.
13:39 Je leur ai donné du travail, je les ai aidés à comprendre comment nous fonctionnons.
13:48 Donc je leur ai dit "la seule chose c'est à vous de faire le nécessaire pour vous intégrer".
13:52 Moi les quais des gens de quelque race que ce soit, ça ne m'intéresse absolument pas.
13:56 Ce qui compte c'est d'expliquer à tous ces gens qu'il faut qu'ils fassent l'effort eux-mêmes de s'intégrer.
14:03 Je les ai poussés à découvrir notre pays, à se déplacer, à aller voir comment sont les villes alentours.
14:11 Je les ai poussés à goûter notre nourriture et je leur ai toujours dit "ne reniez jamais vos origines".
14:19 Ces gens-là se sont intégrés, ils ont un boulot.
14:23 Il y a un jeune que j'ai vu comme apprenti, il travaille.
14:30 Je lui ai expliqué, je lui ai dit "tu verras, je vais les pousser à passer un bac".
14:35 Il a un bac et je lui ai dit "tu finiras chef d'équipe très rapidement".
14:41 Il est chef d'équipe à 24 ans.
14:43 Le problème que l'on a c'est que tous ces problèmes, on est là en tournant le rond, on diabolise tout.
14:51 Mais comme il n'y a rien qui est fait, les gens se disent "bon ben écoutez, finalement ils vont voter Front National".
14:57 Mais ça ne veut pas dire que c'est bien.
15:00 Mais est-ce que les autres proposent quelque chose de mieux ?
15:02 - Merci Guy, vous restez avec nous, on va faire réagir peut-être Eric Reuvel dans un premier temps
15:08 par rapport à ce qui a été dit, je sais pas, par Guy à l'instant.
15:12 - Oui, j'ai pas bien compris Guy, si vous souteniez les propos d'Arlette Chabot
15:17 ou si vous souteniez plutôt la vision du Rassemblement National ?
15:20 - Non, je trouve que ce qu'elle a dit est très bien, c'est très clair.
15:25 Mais ce que je veux dire par là, c'est que le Front National, il a un boulevard devant lui
15:30 en faisant les politiques que font tous nos politiques.
15:33 Il a un boulevard parce qu'il n'y a rien de concret qui est fait.
15:37 On fait du blabla, mais on n'oblige pas les gens qui arrivent à faire des efforts pour s'intégrer.
15:43 Vous savez, c'est pareil que si on nous obligeait, si on avait de la rigueur, on réglerait beaucoup de problèmes.
15:48 C'est pas avec des milliards qu'on réglerait les problèmes.
15:50 - Oui mais mon cher Guy, le problème peut-être, c'est ce qui rend difficile, comme vous dites, de bouger,
15:55 de trouver des solutions globales, c'est que vous vous êtes occupé, tant mieux pour eux et pour vous,
16:00 de deux migrants, c'est ce que vous avez dit.
16:02 Mais aujourd'hui, on a quand même une immigration illégale, et notamment dans le sud.
16:07 Vous savez, j'ai habité le sud, je voyais bien comment ça se passait à Nice, à la frontière italienne,
16:12 où on ne sait plus comment gérer le flux de migrants qui rentrent.
16:15 Donc c'est bien d'en aider deux, mais le problème c'est que pour les deux que vous avez aidés,
16:19 il y en a des dizaines de milliers qui sont en train de errer.
16:22 Regardez ce qui s'est passé à Toulon, avec l'Ocean Viking, vous en souvenez ?
16:26 Avec 250 migrants qui ont atterri, et grâce ou à cause de nos lois,
16:30 ces gens, on n'a pas pu les traiter juridiquement à temps, et en fait, ils sont dans la nature, etc.
16:35 - Et puis il y a aussi un autre sujet, qui est une autre question,
16:39 qui se pose, c'est sur la question de la régularisation des travailleurs immigrés
16:44 dans les métiers sous tension, où on se rend compte que les LR ne veulent pas entendre parler de ça,
16:48 et que Darmanin essaie de durcir un petit peu, justement, sa proposition,
16:52 mais peut-être que ça va faire pchit là-dessus, Charlotte ?
16:55 - Alors c'est difficile, Gérald Darmanin fait effectivement des concessions,
16:59 durcit les conditions pour l'octroi de ce nouveau titre de séjour qu'il veut créer,
17:04 c'est-à-dire notamment, être à avoir un CDI,
17:08 être en France depuis 5, 6, 7 ans,
17:12 c'est à décider, donc ça, on durcit un peu les conditions.
17:17 En même temps, c'est ce que souhaitent effectivement des restaurateurs, par exemple,
17:20 qui emploient des clandestins depuis des années, il faut régulariser,
17:24 ce sont des gens qui travaillent, qui payent effectivement des cotisations,
17:28 il n'y a pas de raison dans ce cas-là de ne pas finalement les régulariser,
17:32 plutôt que de tricher pendant des années. C'est assez logique.
17:35 Après, là-dessus, il est possible peut-être de trouver un compromis,
17:39 en revanche, sur d'autres sujets, ce sera beaucoup plus difficile.
17:43 Maintenant, encore une fois, politiquement, des deux côtés, on a intérêt à trouver quand même un accord.
17:47 Les LR diront "on a fait plier le gouvernement",
17:50 le gouvernement dira "regardez, on est ouvert à la discussion"
17:54 et il n'utilisera pas le 49-3 pour faire passer cette loi,
17:58 adopter cette loi immigration. Donc, il y a l'intérêt politique,
18:02 je ne suis pas sûre que ce soit bien pour les deux parties
18:07 de se dire "ben ouais, on n'a pas eu d'accord, mais on est resté fidèle à nos principes".
18:11 Ce n'est pas comme ça qu'on avance. - Il reste encore un peu de temps, en tout cas, pour se mettre d'accord.
18:14 - Oui, c'est la fin de l'année, ça va aller vite. - Merci beaucoup.
18:18 Arlene Chabot, merci à vous et à Eric Revelle d'avoir été avec nous ce matin sur Sud Radio.
18:21 Merci à Guy, qui était au standard avec nous pour les débats.
18:24 Merci à Maxime Sena à la réalisation, à Manu, qui était au standard,
18:28 Laura, du côté du web. Merci à vous, en tout cas, pour votre fidélité sur Sud Radio.
18:32 Dans un instant, c'est Valérie Xpert que vous retrouvez pour Mettez-vous d'accord.
18:34 Bonne journée avec Sud Radio.