Propos sur la vie intime de Navin Ramgoolam, le Parlement a-t-il touché le fond : Murvind Beetun reçoit Ajay Gunness, Raviraj Sinha Beechook et Vasant Bunwaree dans Radar Lepep.
La question de Kavi Doolub et les propos de Pravind Jugnauth sur l'intimité de Navin Ramgoolam interpellent. Le Parlement a-t-il touché le fond et réduit à un cirque ? Quel est le rôle du Speaker? Certains politiciens présentés comme les jeunes, qui devaient incarner le renouveau, à l'instar de Kavi Doolub, ne sont-ils finalement pas pires que les anciens?
Rendez-vous dans Radar Lepep ce vendredi à partir de 17h30. Murvind Beetun reçoit Ajay Gunness du MMM, Raviraj Sinha Beechook du Parti travailliste et le Dr Vasant Bunwaree de LPM.
Vos appels au 213 7777
La question de Kavi Doolub et les propos de Pravind Jugnauth sur l'intimité de Navin Ramgoolam interpellent. Le Parlement a-t-il touché le fond et réduit à un cirque ? Quel est le rôle du Speaker? Certains politiciens présentés comme les jeunes, qui devaient incarner le renouveau, à l'instar de Kavi Doolub, ne sont-ils finalement pas pires que les anciens?
Rendez-vous dans Radar Lepep ce vendredi à partir de 17h30. Murvind Beetun reçoit Ajay Gunness du MMM, Raviraj Sinha Beechook du Parti travailliste et le Dr Vasant Bunwaree de LPM.
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00:00:00 Rador les peps, personne pas pour saper. Bon après-midi, bienvenue sur les zones de Top FM pour l'émission Rador les peps en ce vendredi.
00:00:19 Marvin Bitton au micro.
00:00:31 Est-ce qu'avec ce qui finit arrivé, donc c'était mardi lors de la tranche réservée aux questions adressées au premier ministre, est-ce qu'il nous touche le fond ?
00:00:44 Nous avons trois invités pour nous plater aujourd'hui. Nous avons Adjai Ganesh du MMM, Vassante Benouari du LPM et nous avons Ravira Dussina Bitouk du Parti Travailliste avec nous.
00:00:57 Messieurs, bon après-midi, bienvenue dans Rador les peps. Merci d'avoir accepté nos invitations.
00:01:03 Bonsoir, bonsoir tout le monde.
00:01:06 Donc, une question est entrée au coffre-fort, c'est qu'il se trouvait dans le coffre-fort de Naveen Ramgoolam en 2015 lors d'une descente policière et son arrestation, mais qui finit vite bascule peut-être dans ce qu'il dit, peut-être basser ce qu'il a fait trouver dans le Parlement parce qu'il est entré à la vie intime, la vie privée d'un ancien premier ministre de ce pays, le docteur Naveen Ramgoolam.
00:01:34 Donc, nous étions ici, qui a envie d'intervenir, nous sommes assis là, à partir de 6h30, je ne suis pas capable de parler avec vous en appelant au 213 77 77.
00:01:46 Et pour commencer, nous ne pouvons pas faire la vidéo concernant ce qui finit d'arriver au Parlement mardi, mais peut-être pour débuter, nous faire une tour de table rapide pour qui nous connaissent et qui nous vont inviter pour en savoir plus.
00:02:00 Dr. Vincent Benoît-Ri, vous avez été parlementaire, ex-ministre, vous ne passez beaucoup le temps au Parlement. Est-ce qu'on reconnaît le Parlement lorsque sa question spécifique là finit d'aborder mardi, quand l'infini provient de la vie privée intime du docteur Naveen Ramgoolam?
00:02:20 Oui. Bon, écoutez, nous pensons qu'il n'y a pas de mots pour expliquer ce qui est arrivé. Nous pensons aussi qu'il y a de mauvais conseillers ou bien des gens qui n'écoutent pas de mauvais conseils ou qui n'interprètent pas de bons conseils.
00:02:34 C'est une perte de valeur extraordinaire et une chose que nous n'avons plus compris. N'importe quel mot nous vous servit. Nous n'avons pas que commentaire d'ailleurs, depuis ces quelques jours. N'importe quel mot nous vous servit, nous n'avons pas pu expliquer exactement ce qu'on ressent dans la manière dont on se sent.
00:02:54 Donc, rentrer dans la vie privée c'est une chose, mais ce qui frappe-moi en plus, ce que je pensais que la population devait réveiller, c'est qu'il y a une préméditation là-dedans. Une préméditation, une affaire à préparer.
00:03:06 Et d'ailleurs, ici dans Prime Minister's Question Time, c'est-à-dire que c'est dans les temps, au moins une semaine de temps encore, depuis mercredi qui est précédé jusqu'à mardi, pour qu'on gagne sa préparation, qu'il quitte le Parlement et réfléchit à d'autres affaires.
00:03:22 Donc, on pensait qu'on pouvait gagner tant de temps, mais c'est du jamais vu. C'est une chose qui est hautement condamnable. Et on ne peut pas dire qu'il est condamné à 10 moules, mais il y a un système qui ne peut pas fonctionner. Le système qui finit de régler le Parlement.
00:03:37 Et nous avons là une autre ex-parlementaire qui peut-être persuade qu'on peut rentrer au Parlement après les prochaines élections.
00:03:44 Adjaye Ganesh, qu'est-ce que vous pensez de ce qui finit d'arriver lors de cette question-là ?
00:03:50 Oui, je vais saluer d'abord le Dr Vincent et le Raviraj et tous les autres qui l'ont écouté.
00:04:00 Le Parlement, c'est la tente de la démocratie. Et je crois qu'il y a une inanimité dans ce Parlement.
00:04:07 Le Parlement, c'est le pire qu'il nous peut trouver.
00:04:17 Pourquoi il y a l'unanimité ? Parce que, si vous voulez, nous parlons quand même dans le passé.
00:04:23 Il y a un Parlement qui garde le niveau, il y a un député qui garde le niveau, il y a un ministre qui garde le niveau.
00:04:34 Nous avons des désagréments, des désaccords entre les parlementaires.
00:04:39 Mais pour descendre ce niveau que le Parlement a descendu aujourd'hui, pour moi, c'est du jamais vu.
00:04:47 Et moi, je vous dis ce qu'il faut faire. Vous avez d'abord cette question-là.
00:04:53 Ce n'est pas difficile au Lazenda. Parce que, si vous êtes au Lazenda, si vous avez un député qui respecte lui-même,
00:05:00 vous avez une caisse dans la cour qui, de toute façon, dans les autres cas, vous allez vous subjudiquer, mais pas pour qu'il réponde.
00:05:07 Et dans ce cas-là, les clercs qui s'étaient plantés, les clercs qui ont planté cette question-là,
00:05:14 pour qui le Premier ministre a le plaisir de dire ce qu'il peut prendre au Parlement,
00:05:20 et qui est bien, bien, vraiment dégoûtant, je ne dis pas faux,
00:05:26 et moi, je dirais aux francs qu'ils sont mauriciens.
00:05:30 J'ai honte de voir un Premier ministre à Paris, j'ai honte de voir un ministre public à Paris,
00:05:35 dans le Parlement, qui peut faire des honneurs, pas juste sur le plan national, mais sur le plan international.
00:05:42 Mais heureusement que je ne pense pas à l'effet boomerang de ce qu'il peut faire.
00:05:49 Je crois que quand il peut répondre, et surtout, à un moment donné, on remarque qu'il répond à des questions tout au long en anglais.
00:05:56 Mais quand il arrive un moment où il prend un plaisir sadique,
00:06:00 les médicaments, les affaires privées qu'il y a des gens qui ne font pas normalement, là, c'est la cause française.
00:06:08 Parce que l'écoeur qui peut convaincre la population maintenant française,
00:06:14 parce qu'ils veulent nous parler, les gens ne comprennent plus le français, comment il est.
00:06:18 Mais ça finit dans l'effet boomerang, laisse-moi dire, où le gouvernement a déjà dit,
00:06:24 comme il dit qu'il est dans le 10ème, mais il a brûlé. Pour moi, il a brûlé.
00:06:29 Et malheureusement, quand il peut brûler, c'est à l'institution comme au Parlement qu'il peut déshonorer.
00:06:36 Et le plus vite je l'en ai, le mieux ça sera pour le pays.
00:06:40 Raviradjina Bituk, ou une jeune qui préfère de la politique, ou qui est candidate aux dernières élections,
00:06:48 la question provient de Carvidoulub, qui est ici la première fois qu'il a été invité.
00:06:55 Il a été invité parce qu'il est là, dans un meeting, et dans un métier, qui a été invité,
00:07:02 et il a donné son ticket là, il est réel ou non, il est en route.
00:07:07 Il est en route pour le Canada.
00:07:10 Donc c'est à ça qu'il doit son ticket, sinon jamais il n'est pas candidat.
00:07:14 Et quand on a vu les types de questions qu'il a posées, on se demande,
00:07:19 est-ce que c'est ce type de parlementaire là qui nous a besoin ou non dans la durée.
00:07:25 Bon, ça voulait là, nous voulions avoir le temps de le poser, pour connaître,
00:07:29 est-ce que c'est ce type de personne là qui nous besoin dans le parlement.
00:07:33 Mais ou, qui est proche du docteur Navin Ramgoudam, qui est en sorte de la communication du Parti Travailliste,
00:07:42 c'est sûr qu'il arrive ça, vu qu'il, ou même dans la communication,
00:07:46 on faisait penser qu'il n'a pas des affaires comme ça, capable et non, dans les yeux de la population.
00:07:52 Donc, ou personnellement, comment on vit sa question-réponse là, là, qui ne finit pas par le propos de la vie privée d'un ancien premier ministre.
00:08:01 En fait, premier constat, me pensez, c'est un jour très triste pour la République et pour une démocratie parlementaire.
00:08:11 Il y a un mot pour qualifier ce qui est passé, non pas qu'à cause de Bassès,
00:08:16 c'est un mot trop mou pour qualifier ce qui est déroulé,
00:08:22 nous pète cause plutôt l'indécence, la perversité, mais également le sadisme d'un premier ministre
00:08:30 qui ne parle pas et qui fait déshonneur à nos parlements.
00:08:35 Mais vous savez, effectivement, question là, l'émanée d'un jeune parlementaire accidentel,
00:08:43 l'honorable, ou même pas connaissez-vous qu'on appelle l'honorable, mais qu'avidulable.
00:08:50 Mais ça fait moi penser à une expression anglaise, en anglais dire "vote for clowns and expect nothing but a circus".
00:09:00 Voilà le résultat de ce que le parlement finit avec Pravin Jaghnath,
00:09:07 le seul, unique, coupable et responsable qui peut tirer vers, non pas le bas, mais le fond du fond, nos parlements.
00:09:18 Voilà ce qui est arrivé quand, avidulable, il est broyé par la machinerie de la méchanceté et de la perversité du MSM.
00:09:30 Quand il s'appelle à poser une question, et je pense que vous pouvez montrer cette séquence là,
00:09:37 et vous pouvez trouver que même les questions supplémentaires, qu'il prépare et qu'il lie dans le parlement,
00:09:46 c'est là que Pravin Jaghnath prend une plaisir sadique à répondre à une question sur la vie privée, intime,
00:09:55 la santé relève de la vie intime de l'ancien Premier ministre Naveen Ramgoolam.
00:10:01 Voilà mon premier constat de la situation.
00:10:04 Nous passons justement à cette séquence qui finit sur les ventolines,
00:10:08 parce que nous avons des adversaires politiques de Naveen Ramgoolam.
00:10:12 Ce qui nous dit que ce qui est arrivé n'est pas correct, pas capable de faire une attaque pareille d'un parlement.
00:10:20 Justement cette question-là, qui nous pose la question, à quoi elle contribue au développement du pays.
00:10:27 Sa députée là, par exemple, l'ideau Maïbou, vous êtes député numéro 12 ici, non?
00:10:34 Est-ce qu'il y a d'autres problèmes dans Maïbou, au-delà des problèmes qui peuvent venir dans ce lacet,
00:10:41 concernant les stimulants sexuels du Dr Naveen Ramgoolam, comment je peux vous le montrer?
00:10:47 Nous pouvons venir sur la sphère là dans quelques instants, mais nous allons suivre ce qui nous répasse,
00:10:53 du moins, sa séquence qui ne déroulait pas dans la tranche des questions réservées au Premier ministre.
00:10:59 Merci Monsieur le Président.
00:11:01 Est-ce que le Président peut déterminer si une enquête a été initiée,
00:11:06 car il a mentionné que aucune autorisation n'a été soulevée pour l'importation des médicaments?
00:11:12 Monsieur le Président, je suis informé par la police commissariale
00:11:16 que l'enquête a été initiée et qu'à son terminement,
00:11:22 elle sera référée au directeur de la prosecution publique pour des conseils.
00:11:26 Merci Monsieur le Président.
00:11:30 S'il vous plaît, gardez-moi à l'esprit, je ne me souviens pas de l'appellation exacte de ces médicaments.
00:11:35 Le Premier ministre a mentionné dans son réponse 11 boîtes de méga-hommes,
00:11:41 4 boîtes de tests X1, je ne me souviens pas des numéros,
00:11:49 et une autre boîte de Somnapure.
00:11:52 Est-ce que le Premier ministre peut informer la Chambre,
00:11:55 si elle a l'information,
00:11:57 de combien de médicaments ces boîtes contiennent
00:12:00 et de quel usage et effet ces médicaments sont-ils?
00:12:04 11 boîtes de méga-hommes,
00:12:08 contiennent 330 plaquettes de 8 comprimés chacune,
00:12:14 soit un total de 2640 comprimés.
00:12:19 Chaque boîte de 8 pilules est destinée à être consommée une fois par jour en une prise.
00:12:27 Les comprimés de méga-hommes
00:12:32 contiennent du testophène étudié cliniquement
00:12:37 pour optimiser les niveaux de testostérone
00:12:41 afin d'améliorer la santé et la performance sexuelle.
00:12:46 Ce produit est également utilisé
00:12:50 pour soutenir la fonction de la prostate,
00:12:54 lutter contre le vieillissement cellulaire
00:12:58 et améliorer la dilatation des vaisseaux sanguins.
00:13:04 Les 4 boîtes de test-X 180 Alpha contiennent 480 comprimés.
00:13:13 Les comprimés de test-X 180 Alpha contiennent de la L-citrulline
00:13:19 et du testophène
00:13:22 et sont utilisés pour atteindre
00:13:35 le summum de la force physique,
00:13:38 un flux sanguin plus fort,
00:13:41 une augmentation insensée de l'endurance et du potentiel sexuel.
00:13:47 La boîte de Somnapure contient 30 comprimés.
00:13:51 Ce produit est utilisé pour favoriser
00:13:55 la relaxation et un sommeil profond,
00:13:59 et aide à calmer l'esprit.
00:14:02 Comme quoi, Monsieur le Président,
00:14:05 je dirais même qu'un Casanova le plus endiocyte
00:14:08 n'aurait pu imaginer un tel cocktail.
00:14:12 Donc voilà, c'était cet extrait qui finit sur l'éventualité,
00:14:21 parce qu'il nous donne des réactions de tout beau.
00:14:25 Des réactions que vous pouvez entendre aussi, Ravirad Sinabichouk ?
00:14:29 Moi d'abord, je suis pourtant apporté une certaine mise au poids
00:14:34 de notre médecin cordulaire, qui est en face de nous,
00:14:38 sur les inexactitudes
00:14:40 et sur l'obsession maladive de Pravin Jatnat,
00:14:47 sur la vitalité et la vie sexuelle de l'ancien Premier ministre.
00:14:54 Les pathologiques chez la personne et les maladives.
00:14:58 J'aime bien dire ça, parce que quand il répond à cette question-là,
00:15:01 il fait un tri sélectif des faits qui s'abattent.
00:15:06 Des médicaments ou des compléments qui peuvent venir.
00:15:11 Par exemple, quand il dit que le GNC est un médicament qui est en forme de vitapax,
00:15:16 je fais une recherche sur Internet, sur le site qui fabrique ce produit.
00:15:22 Le premier élément qu'il met en avant, c'est un multivitamin.
00:15:26 Deuxièmement, il aide à la santé prostate,
00:15:31 à lutter contre les maladies de la prostate.
00:15:34 Effectivement, il y a l'améliocirculation du sang,
00:15:39 qui est quelque chose de très important,
00:15:41 et éventuellement, le testostérone support.
00:15:45 Le deuxième médicament qu'il y a,
00:15:47 qui s'en a causé, c'est Pravin Jatnat,
00:15:49 qui a fait mettre l'habit d'un sexologue à l'intérieur du Parlement,
00:15:54 et qui nous a dit que le deuxième médicament supplémentaire,
00:16:00 c'est Force Factor Test X180, dont la principale fonction,
00:16:06 que ce soit sur Amazon ou sur tout autre site que l'on en vente libre,
00:16:11 c'est le Enhanced Muscle Building.
00:16:16 Et le troisième médicament, qui Pravin Jatnat,
00:16:19 de manière très lyrique, encore une fois, loin de ton très sadique,
00:16:23 quand il est encore une fois sous le nez du Parlement,
00:16:28 le nom de Casanova,
00:16:31 est un comprimé qui s'appelle Somnapur,
00:16:34 qui est un comprimé, un somnifère,
00:16:36 qui aide les gens à gagner du sommeil.
00:16:41 D'accord?
00:16:42 Explique-moi là-dedans,
00:16:44 toutes ces informations-là, ces informations officielles,
00:16:47 où l'on peut vérifier le site du supplément,
00:16:51 et le site spécialisé dans la vente de ce multivitamines,
00:16:55 somnifères, etc.
00:16:58 Qu'est-ce qu'il montre là-dedans?
00:17:00 Il dit expressément que c'est une pilule
00:17:04 que tu peux prendre pour stimulation sexuelle.
00:17:07 Je dis que tout ce que Pravin Jatnat dit,
00:17:11 répond à son obsession maladive
00:17:15 qu'il y a dans la vie sexuelle.
00:17:18 Quand il est trop facile à sélectionner des éléments
00:17:22 de ses produits,
00:17:24 et il expose cela,
00:17:26 il dit cela lâchement sous l'immunité parlementaire.
00:17:30 Je donne un exemple dans la vie courante.
00:17:33 Tous les jours, on mange zoya,
00:17:35 tous les jours, on mange zézam.
00:17:37 Les deux sont connus comme étant aphrodisiaques.
00:17:43 Donc, le fait qu'on en consomme tous les jours,
00:17:46 qu'il y en ait dans le carré,
00:17:47 qu'il y en ait dans n'importe quelle affaire,
00:17:48 est-ce que cela veut dire que nous pouvons consommer
00:17:50 zoya et zézam pour augmenter nos stimulations sexuelles
00:17:54 ou nos stamines et nos performances sexuelles?
00:17:57 Il faut dire au P.R.V.R. d'envoler à la tête cela.
00:18:00 Pour qu'il n'y ait pas une conclusion pareille.
00:18:03 L'hypocrite explique cela,
00:18:05 et là, nous poursuit la confirmation
00:18:07 avec le Dr. Vincent Benoit-Ri.
00:18:09 Peu importe qui comprime,
00:18:11 mais bon, après, nous pouvons le dire,
00:18:13 parce qu'à un certain moment,
00:18:15 il dit comme cela que certains comprimés
00:18:17 peuvent être amenés à Maurice Ladonno.
00:18:19 Mais il y en a qui l'ont, d'accord,
00:18:21 qui ont voyagé et qui l'ont procuré.
00:18:24 Peut-être qu'il y a une autorisation,
00:18:26 mais est-ce qu'il y a une interdiction formelle?
00:18:29 Nous ne savons pas,
00:18:30 mais il y a des médicaments à Maurice,
00:18:32 il y a des gens qui procurent des médicaments
00:18:34 avec des multivitamines à l'étranger.
00:18:36 Donc, jamais le P.R.V.R. ne dit pas
00:18:39 qu'il y a une interdiction formelle
00:18:41 pour servir ces multivitamines à Maurice.
00:18:46 Mais au-delà de ça,
00:18:47 de devoir venir expliquer que ces comprimés
00:18:49 sont interdits ou pas,
00:18:51 ou bien qu'il n'y a rien qui les peut prendre,
00:18:54 qui pousse la santé,
00:18:56 pour que ce N'jimoun ne soit plus viril,
00:19:03 est-ce que c'est une bonne affaire
00:19:04 qu'il ne soit pas dans le Parlement?
00:19:06 Est-ce qu'il est capable d'évoquer
00:19:08 la vie privée ou intime d'un N'jimoun?
00:19:12 Parce que nous posons la question
00:19:14 si l'auteur de ces propos,
00:19:16 l'auteur de la question qui l'est K.V.Doulop,
00:19:18 qui l'est Pravin Jagna,
00:19:20 si quelqu'un de lui-même évoque
00:19:22 la vie privée ou la vie sexuelle en public,
00:19:25 mais pas sous l'immunité parlementaire,
00:19:28 qui est-ce qui peut faire les premières affaires?
00:19:30 Est-ce qu'il peut entendre la poursuite?
00:19:32 Est-ce qu'il peut entendre la question de la diffamation?
00:19:35 Donc, sous le couvert de l'immunité parlementaire,
00:19:38 il est permis de faire tout et n'importe quoi.
00:19:41 Donc, Dr. Hassan Benouarri,
00:19:43 vous confirmez ce que Raviradjina Bituk a dit?
00:19:46 Bon, il a pas du tout confirmé ça,
00:19:48 parce qu'il est venu prendre un débat médical,
00:19:50 pharmacologique, pharmaceutique,
00:19:52 et il n'a pas posé de questions, etc.
00:19:55 On laisse à Raviradjina Bituk,
00:19:57 l'auteur de ce qu'il va dire.
00:20:00 Mais seulement, dans ce qu'il peut vouloir dire,
00:20:02 il a un certain nombre de médicaments
00:20:05 qu'il finit de traverser dans les valises
00:20:07 ou bien dans le coffre-fort
00:20:09 de l'ancien premier ministre.
00:20:11 Mais le problème qui se pose,
00:20:13 c'est que depuis le temps qu'il s'est arrivé,
00:20:16 je pense que les médicaments finissent
00:20:18 à la limite, ils finissent d'être passés.
00:20:20 - Expirés. - Expirés.
00:20:22 D'accord? Donc là, la question qu'il pose nous,
00:20:25 si, par exemple, Malé a un comprimé comme ça,
00:20:28 et il a un C.A.V.I. libre, d'accord?
00:20:30 Mais il vous pose un comprimé expiré.
00:20:33 Il vous fait beaucoup de dégâts.
00:20:35 Donc, est-ce qu'il vous pose une question comme ça
00:20:37 dans le Parlement?
00:20:39 Je vais vite être me poser ça en question.
00:20:42 Est-ce que vous pouvez nous venir jusqu'à ce point-là?
00:20:45 - Le point... - Oh, et bien,
00:20:47 dans ce cas, le comprimé expiré,
00:20:49 il y a un effet contraire.
00:20:51 Non, je te connais, quand il y a un comprimé expiré,
00:20:54 il y a un bel problème.
00:20:56 Non, ce qu'il ne peut pas vouloir dire,
00:20:58 c'est qu'il utilise le Parlement.
00:21:00 Ce qu'il fait dire dans le Parlement,
00:21:02 là, il intéresse qui ça en a là.
00:21:04 C'est ce qu'il ne peut pas vouloir dire moi.
00:21:06 Le premier ministre,
00:21:08 le leader of the house,
00:21:10 le leader de son parti,
00:21:12 le leader du pays ne peut pas le dire.
00:21:14 Il peut nous donner une bonne explication.
00:21:16 Moi, je le connais, mais pour qu'il s'enlève
00:21:18 l'intérêt de l'explication.
00:21:20 Vous connaissez nous, nous, dans le Parlement,
00:21:22 Adjaïf et nous dans le Parlement, lui aussi,
00:21:24 je vous préviens, il va venir bientôt.
00:21:26 Mais ce qu'il veut dire,
00:21:28 c'est que parfois, il y a un bon raisonnement
00:21:32 qui veut mettre un petit lapin dans la main,
00:21:34 pas à nos adversaires,
00:21:36 parce qu'il veut trouver une bonne solution
00:21:38 à nos façons.
00:21:40 Arriver, ça va nous faire comme ça.
00:21:42 Si on connait lui aussi,
00:21:44 il a une beauté ça, si on connait lui.
00:21:46 Mais seulement là, il a eu le temps
00:21:48 que je m'en suis mis à dire,
00:21:50 il y a une semaine.
00:21:52 Ça veut dire, d'après moi,
00:21:54 ce qui peut arriver dans l'événement
00:21:56 Grand Bassin,
00:21:58 quand finalement, il n'a pas l'aspect
00:22:00 d'un couple tisjouen,
00:22:02 c'est ce que je comprends.
00:22:04 Donc, il y a une cause,
00:22:06 partout que tu es dans le pays,
00:22:08 la population peut t'envoyer.
00:22:10 Alors, il faut trouver un moyen
00:22:12 pour amener un problème sexuel
00:22:14 à l'adversaire.
00:22:16 Moi, je pense que l'esprit
00:22:18 de Macavel qui travaille derrière,
00:22:20 il n'a pas de pays,
00:22:22 il n'a pas de cause pour le problème du pays,
00:22:24 il n'a pas de problème
00:22:26 dans son pays.
00:22:28 Il n'a pas de cause.
00:22:30 Moi, je pense que
00:22:32 Ravidulop, tu viens de dire,
00:22:34 tu viens de l'élever,
00:22:36 tu prends un bon médicament,
00:22:38 tu vois le problème dans le pays,
00:22:40 un bon médicament qui paye,
00:22:42 un bon médicament qui paye,
00:22:44 au lieu de défendre les gens,
00:22:46 comme ça, il peut venir à son point.
00:22:48 Et partout, dans sa circonscription,
00:22:50 dans le pays aussi,
00:22:52 les gens peuvent poser de belles questions,
00:22:54 c'est la bassesse à outrance,
00:22:56 inacceptable et incompréhensible.
00:22:58 - Merci beaucoup, Aurélie.
00:23:00 On vous retrouve pour la suite de l'émission,
00:23:02 juste après ceci,
00:23:04 quand on passe la parole à Ajay Ganesh.
00:23:06 ...
00:23:08 ...
00:23:10 ...
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00:24:40 ...
00:24:42 ...
00:25:08 -La roue, la tronée, mais nous battons dans la roue.
00:25:12 Vous avec nous, nous avec vous, nous battons qu'il est.
00:25:16 L'armée dans l'armée, nous battons, laisse liberté menacée.
00:25:21 Sans frayer, à n'y faveur, nous amènes-vous la vérité.
00:25:25 La roue, la tronée, mais nous battons dans la roue.
00:25:29 Vous avec nous, nous avec vous, nous battons qu'il est.
00:25:34 L'armée dans l'armée, nous battons, laisse liberté menacée.
00:25:39 Sans frayer, à n'y faveur, nous amènes-vous la vérité.
00:25:43 ...
00:25:51 ...
00:26:01 ...
00:26:07 ...
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00:27:03 ...
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00:27:19 ...
00:27:25 -Nous sommes de retour dans l'émission "Radio Les Peuples".
00:27:28 Nous précisons ce qui vient d'arriver au Parlement.
00:27:31 Le Parlement nous intéresse avec le niveau qu'il est arrivé avec sa question.
00:27:35 Il finit par la bonne réponse du Premier ministre sur la vie privée sexuelle
00:27:40 de l'ancien Premier ministre, le Dr Navin Ramgoolam.
00:27:43 Est-ce qu'on vit déjà dans le moment où nous perdons le sentiment de l'élu au Parlement ?
00:27:51 -Vous savez, dans le passé, Vincent et moi,
00:27:56 Vincent, vous connaissez comme moi, nous avons fait trois mandats.
00:28:00 Vincent en a fait cinq. Nous travaillons sur plusieurs spiques.
00:28:03 Nous avons commencé sur Sarah Masejoulal,
00:28:08 Ramna, Azad Pirou, Kailash Prayag,
00:28:12 donc il y a un spique qui, au moins, peut faire son travail comme Vincent.
00:28:20 Qui peut faire son travail en toute faire.
00:28:24 Ce parti existe sur un seul côté.
00:28:27 Aujourd'hui, il y a un spique qui est sur le même côté.
00:28:32 Il existe sur le côté de l'opposition, sur le côté du gouvernement, il n'y a pas de spique du tout.
00:28:36 Et là, on se pose la question, quand il y a un spique pareil,
00:28:40 est-ce qu'on blâme ce spique-là ou est-ce qu'on blâme le Premier ministre ?
00:28:44 Moi, je dirais qu'on blâme le Premier ministre, parce qu'il sait ce soir,
00:28:48 qu'il a choisi ce spique-là, malgré tout ce qu'il a fait.
00:28:55 Il a dit qu'il avait un antécédent,
00:28:59 il n'a pas oublié, et il a dit qu'il avait un ambassadeur en Égypte,
00:29:04 un ambassadeur qui était rappelé.
00:29:07 Et quand l'ambassadeur est rappelé, il a dit au spique-là,
00:29:12 et au spique-là, il l'a proposé pour qu'il fasse le goalkeeper.
00:29:19 Et il peut faire un mauvais goalkeeper.
00:29:21 Il ne peut pas faire goalkeeper, malheureusement il peut faire bouncer.
00:29:25 Jamais dans ma carrière, et je le dis aussi,
00:29:29 jamais je n'ai vu un spique marqué, montrer les doigts, menaçant,
00:29:35 pas même un respect vis-à-vis de la madame parlementaire.
00:29:40 C'est du jamais vu.
00:29:42 Et on réalise aujourd'hui, dans le Parlement,
00:29:45 les télécasts internationaux, tout le monde les lit à travers le monde,
00:29:50 et on réalise qu'il est marqué, vous voyez, de Nullil Maurice.
00:29:56 Ça, un côté, il y a un spique, comme on dit,
00:30:01 sous-tiré, parce qu'il y a une question comme ça,
00:30:04 pas si on a même vu le journal.
00:30:07 Ou si on a vu le journal, comment le Premier ministre a-t-il répondu
00:30:10 quand on a arrêté, qu'on a arrêté ?
00:30:13 On a dit qu'il était, malgré le Premier ministre,
00:30:17 il était dépassé de la limite, arrêté.
00:30:20 Il ne pouvait pas faire ça.
00:30:22 Et l'autre côté, maintenant, on a un Premier ministre,
00:30:25 qui est déblaté dans le Parlement,
00:30:28 qui a fait un RICS, un médicament,
00:30:31 mais pas si même pas ça.
00:30:33 Parce que vous savez, il y a un Premier ministre qui a menti,
00:30:36 là, il n'a pas fait que des mentides, il a dit,
00:30:39 "Dipipi et Picac", quand il a répondu à une PMQ au Parlement.
00:30:43 "Dipipi, vous réalisez, quand nos pays vont arriver,
00:30:47 vous réfléchissez bien."
00:30:49 - Vous allez corriger ça, après. - Oui.
00:30:51 Mais si "Dipipi" ne tient pas à communiquer,
00:30:54 vous réalisez, le Premier ministre vient aider au Parlement,
00:30:57 il a fait un chiffre,
00:30:59 et récemment, on a un "Dipipi" qui s'est retrouvé
00:31:03 avec la Commission de la Prosecution,
00:31:06 et là, on saluait le PMSD,
00:31:08 qui, à la base de ces affaires-là, finit de démissionner,
00:31:11 s'ils ont dit, "Cela, l'institution-là,
00:31:14 s'ils ne peuvent pas contrôler."
00:31:17 Mais le "Dipipi" tient à communiquer, corrige-lui,
00:31:20 montre qu'il a commenti, et qu'il a dit une semaine après,
00:31:23 "Typing error." Mais si "Dipipi" ne tient pas à communiquer,
00:31:26 qui tient à "Typing error", donc, il montre,
00:31:29 il fait un "Mopédiassa", qui ne révéle pas le problème,
00:31:33 parce qu'il a habité à cause menti.
00:31:36 Et il fait une cause menti. Et là, c'est triste.
00:31:39 Vous savez, la manière dont le Parlement prend plaisir,
00:31:42 c'est de oublier qu'il y a une paire de familles.
00:31:45 L'oublier qu'il y a une paire de familles
00:31:49 qui sait qu'elle peut faire ça, qu'elle peut croire,
00:31:52 qu'elle peut jubiler, mais elle ne fait pas l'honneur,
00:31:55 malheureusement, pour une paire de familles,
00:31:58 d'essayer de jubiler de cette façon,
00:32:01 qu'il ne sait pas faire. Et pour moi,
00:32:05 il y a beaucoup de monde, et il y a des réseaux sociaux,
00:32:08 qui font rire la population,
00:32:11 et aussi des commentaires
00:32:14 qui, comme tu le dis,
00:32:17 ne sont pas très bons.
00:32:21 Et ils disent que c'est triste, ce niveau qu'ils ont amené.
00:32:24 - Merci, Jean-Luc. Dans quelques secondes,
00:32:27 l'intervention avec nous de Jean-Luc Muthusami,
00:32:30 un journaliste de Corriez,
00:32:33 qui actuellement est au sein de Media Expertise.
00:32:37 Jean-Luc Muthusami se trouve, si je ne me trompe pas,
00:32:40 en ce moment au Como, pour une session de formation.
00:32:43 Il nous raconte avec nous une expérience bien particulière
00:32:46 qui finit avec lui,
00:32:49 quand il a sa question, il peut passer au Parlement
00:32:53 et nous donner une réponse qu'il souhaite éventuellement.
00:32:56 Jean-Luc Muthusami, bonsoir, bienvenue sur TFM.
00:32:59 - Bonjour, Olivier, bonsoir à tous mes invités.
00:33:02 - Donc, vous pouvez rester avec nous uniquement sur WhatsApp,
00:33:05 parce que la connexion n'est pas trop bonne,
00:33:09 mais vous pouvez nous confirmer que vous vous sentez bien?
00:33:12 - Oui, je me sens très bien.
00:33:15 Et comment on fait pour venir au Como,
00:33:18 à Moroni, pour une formation pour un journaliste?
00:33:22 - On peut partager des choses qui sont arrivées
00:33:25 quand il a sa séance de questions-réponses
00:33:28 entre Kavidoulab et Pravin Jagnat,
00:33:31 et quand il a sa propre propos et son entrée à la vie privée
00:33:34 du Dr Navin Ramgoolam, ou Pravin Jagnat,
00:33:37 et on peut partager, justement,
00:33:41 ce qui est arrivé dans la session de formation.
00:33:44 Jean-Luc Muthusami, quelle session de formation exactement?
00:33:47 - Alors, un journaliste comme moi,
00:33:50 on a une formation pour mieux couvrir le parleur,
00:33:53 mieux couvrir l'assemblée de l'Union des communes.
00:33:57 Et on commence une session,
00:34:00 comme d'habitude, on peut faire un travail
00:34:03 et montrer une fièreté, c'est-à-dire montrer
00:34:06 le parlementaire de vie,
00:34:09 ce qui est quand même quelque chose d'assez unique
00:34:13 dans notre zone, dans la région,
00:34:16 et c'est fait par un technicien, par un jugon extrêmement bien,
00:34:19 un copain vraiment fier de sa postérie-tivie-là.
00:34:22 Et donc, moi, quand on m'a dit
00:34:25 de faire une autre séance,
00:34:29 montrer sa passion en direct,
00:34:32 montrer comment il y a toutes sortes d'affaires,
00:34:35 il y a des papiers, il y a des hand-signs, il y a toutes sortes d'affaires.
00:34:38 Et là, je me trouve là, je me dis bon,
00:34:41 il n'y a pas de PNQ aujourd'hui, parce que PNQ,
00:34:45 je me dis, un petit peu de tension dans PNQ,
00:34:48 je me trouve là, je me dis, moi, je suis le ministre de la question,
00:34:51 mais nous passons un petit bout de ça, pendant qu'il peut causer.
00:34:54 Et comme la connexion, justement, n'est pas très bonne,
00:34:57 on a l'option pour aller sur l'audio,
00:35:01 le système-là, et on a l'audio.
00:35:04 Et au moment même que je peux le faire,
00:35:07 je peux le faire, quand je suis le Premier ministre,
00:35:10 en français, c'est-à-dire après une hyperactivité sexuelle, etc., etc.
00:35:13 Et quand je dis,
00:35:17 "Casanova", etc., etc.,
00:35:20 un tel cocktail. Et sur le coup,
00:35:23 je me suis dit, on aurait pu
00:35:26 avec des surprises, mais là, je me suis dit,
00:35:29 il faut qu'on fasse un comorien, un journaliste comorien,
00:35:33 je ne sais pas, soit on va
00:35:36 à l'Assemblée,
00:35:39 et on va arrêter tout de suite,
00:35:42 on arrête tout de suite, et on va dire "Excuse-moi,
00:35:46 je suis désolé
00:35:49 pour ce qui vient de se produire".
00:35:52 Et voilà, on a enchaîné tout de suite le lot d'affaires,
00:35:55 et à l'intérieur de moi-même,
00:35:58 c'est un immense sentiment de honte,
00:36:01 pas honte pour moi, mais honte pour moi,
00:36:05 pour Simone Morissette, en me disant,
00:36:08 "Moi, j'ai envie de montrer ce qui se passe, et nous sommes là".
00:36:11 Mais ça veut dire quoi ? Ça veut dire ce qu'ils ont entendu.
00:36:14 Il y a beaucoup de monde dans la diaspora qui écoutent seulement dire
00:36:17 "Mais ça veut dire que nous avons besoin de mettre son lard bas,
00:36:21 de nous mettre un headphone". Et là, ce sont les journalistes
00:36:24 à qui il faut dire, voilà, un modèle de
00:36:27 petite Internet. En plus, ce qu'il faut connaître,
00:36:30 c'est que dans l'Union des Comores, les circonstances
00:36:33 font qu'il y a de la l'opposition, donc c'est
00:36:37 un assemblée murcolaire, comme on dit,
00:36:40 parce qu'il y a une circonstance qui nous fait créer ça.
00:36:43 Et je t'ai envoyé écouter un peu
00:36:46 comment ça a passé entre le gouvernement,
00:36:49 les banques du gouvernement et les banques de l'opposition.
00:36:53 Et tomber là-dessus, c'était pour moi
00:36:56 un peu malsens, je ne peux pas vous le dire, mais c'était aussi
00:36:59 un moment de très grand embarras pour moi.
00:37:02 Donc on dit un sentiment de honte qui n'anime pas
00:37:05 quand ça boute là, fin de jeu,
00:37:09 alors que tu te présentes au journaliste comme Aurélien
00:37:12 dans sa session de formation là, Maurice
00:37:15 comme étant un exemple à suivre
00:37:18 concernant la retransmission des travaux parlementaires.
00:37:21 Mais aussi un journaliste de carrière,
00:37:25 Jean-Luc Moutoussami, un hésitorialiste,
00:37:28 donc on a l'opinion que beaucoup d'affaires ne participent pas
00:37:31 à beaucoup d'émissions radio, la démocratie,
00:37:34 le Parlement, les affaires institutionnelles,
00:37:37 au point de vue où ce qui vient d'arriver,
00:37:41 dans sa question là, finalement.
00:37:44 - Alors, il y a une motion,
00:37:47 je vais peut-être dire ça avant, pour répondre à une question sans problème,
00:37:50 mais avant, je veux entendre de nous la réaction
00:37:53 après, de nos confrères, aussi la réaction
00:37:57 est toujours aussi très intéressante,
00:38:00 à part le sourire, et je ne dirais pas que c'est un problème,
00:38:03 il n'y a pas de problème, Jean-Luc.
00:38:06 Il y a un dédouement, mais il y a
00:38:10 un dédouement, parce que je ne peux pas dire autrement
00:38:13 que c'était le Premier ministre qui parlait.
00:38:16 Il me lève la main et me dit
00:38:19 "Excusez-moi, cette personne-là,
00:38:22 on lui permet de dire ça à l'Assemblée nationale ?"
00:38:25 On lui permet de dire ça à l'Assemblée nationale ?
00:38:29 Déjà, il me dit "Mais si le Premier ministre,
00:38:32 sur le ton de la plaisanterie,
00:38:35 s'il a besoin de fortifiants,
00:38:38 c'est un docteur sur le ton de la plaisanterie,
00:38:41 ça veut dire qu'il travaille, c'est pour ça qu'il a besoin de fortifiants."
00:38:45 On lui permet à cette personne de dire ça ?
00:38:48 Et là, je ne parlais qu'au téléphone,
00:38:51 parce qu'il s'agissait du Premier ministre.
00:38:54 Donc, je vais expliquer le contexte après.
00:38:57 Je vais faire ça par thèse, la réaction.
00:39:01 Vous connaissez-moi, quand je voyage beaucoup,
00:39:04 je me suis souvent humorisé de l'extérieur et de l'intérieur,
00:39:07 j'ai mon sentiment très proche, c'est pour ça qu'il me permet
00:39:10 de discuter ou dans le débat.
00:39:13 Malheureusement, c'est pas seulement l'impression,
00:39:17 c'est qu'il n'y a plus une indifférence entre un "thing"
00:39:20 "boa cha cha" et que pour le moment,
00:39:23 ça veut dire qu'il n'est pas capable de dire "lo n'qué savon".
00:39:26 Les mêmes affaires qu'il ne peut dire "lo n'qué savon",
00:39:29 c'est ça même qu'il peut dire dans l'Assemblée nationale.
00:39:32 C'est pas un bon signal
00:39:36 Politiquement, quand on écoute ça,
00:39:39 on comprend qu'évidemment, le Premier ministre actuel,
00:39:42 il désigne ce "challenger",
00:39:45 comme étant la personne qui est plus importante
00:39:48 pour lui en termes de "challenger".
00:39:52 Il ne parle pas du "djimoun",
00:39:55 c'est "target" et "djimoun", donc pour lui, c'est ça le "challenger",
00:39:58 c'est cette personne qui est détaillée là.
00:40:01 Et Léonard Rahmet, non seulement dans ce discours,
00:40:05 il désigne N'avion Ramgoulam comme "challenger",
00:40:08 et la personne qui visiblement ne peut pas donner plus beaucoup de raccords,
00:40:11 mais il a aussi le rôle des "backbenchers".
00:40:14 Ça veut dire une "backbencher".
00:40:17 Là, il existe là pour...
00:40:20 Ce rôle, c'est pas un rôle
00:40:24 qui est dans toutes les démocraties quotidiennes "backbenchers".
00:40:27 Il existe là pour titiller le front belge,
00:40:30 pour trouver des affaires qui sont un peu...
00:40:33 qui sont bien questionnées.
00:40:36 Là, c'est une complicité pour n'importe quelle personne
00:40:40 qui pourrait aspirer aujourd'hui à être députée.
00:40:43 Sa configuration-là n'a pas donné envie,
00:40:46 pas pris en vie ce "went-back-bencher",
00:40:49 c'est-à-dire pousser à vie sa qualité-question-là.
00:40:52 Et il n'y a pas que ça.
00:40:56 Il y a déjà eu une question précédemment
00:40:59 lors des antécédents d'une dame qui dit
00:41:02 qu'elle n'a pas de enfants.
00:41:05 C'est dans l'enquête, la drogue, l'audit.
00:41:08 Le parlement est devenu un lieu,
00:41:12 quand on n'a plus qu'un droit pour n'importe qui
00:41:15 comprimer nos droits de vie,
00:41:18 on se voit et quand on n'a pas de quoi,
00:41:21 finalement, on n'est pas dans le bon couloir,
00:41:24 on peut faire l'objet de toutes sortes de calomnies.
00:41:28 Et sous le couvert de la drogue,
00:41:31 sous le couvert de l'immunité parlementaire.
00:41:34 Donc ça, moi, je trouve ça un dangereux glissement.
00:41:37 Très dangereux glissement, oui.
00:41:40 - Merci beaucoup, Jean-Luc Muthusami.
00:41:44 Nous remercions tout d'abord pour votre portage,
00:41:47 votre expérience énorme par rapport à cette polémique-là,
00:41:50 et aussi pour l'analyse que vous avez faite par la suite.
00:41:53 Je crois que beaucoup d'humains sont d'accord avec ce que vous dites.
00:41:56 Ce n'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:00 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:03 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:06 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:09 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:12 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:16 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:19 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:22 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:25 C'est pas ce qu'ils nous expectent de parlement.
00:42:29 La bonne chose seulement, parce qu'il y a des collègues comme Aurélien,
00:42:32 c'est qu'ils nous suivent avec beaucoup d'envie.
00:42:35 Ils nous suivent comme un pays qui est développé
00:42:38 avec les mêmes contingents qu'une île.
00:42:41 Moi, ce qui m'intéresse aussi,
00:42:44 c'est que nous devons prendre les mêmes erreurs
00:42:48 que dans notre démocratie.
00:42:51 Nous devons savoir qui nous l'est.
00:42:54 Est-ce qu'il nous laisse un modèle répété,
00:42:57 est-ce qu'il nous prend les choses en main ?
00:43:00 Même le pouvoir actuel, il a besoin de ces visites
00:43:04 parce que c'est comme ça qu'on représente le pays à l'étranger.
00:43:07 C'est comme ça que les étrangers doivent voir notre pays.
00:43:10 Merci beaucoup à tous pour votre attention.
00:43:13 - Merci beaucoup, Jean-Luc Moutoussami. Bonne chance à vous.
00:43:16 C'était un ancien rédacteur en chef,
00:43:20 un journaliste de Corrieque qui, maintenant,
00:43:23 voyage dans le monde pour faire une session de formation
00:43:26 et qui nous raconte la honte qu'il a fait gagner
00:43:29 finalement quand il a perdu son emploi dans une formation.
00:43:32 Donc, session de formation,
00:43:36 certainement, ça vous dit quelque chose.
00:43:39 Après, vous avez une intervention là.
00:43:42 Mais vous pouvez avoir une interprétation légale d'une personne.
00:43:45 C'est qui est né là ? C'est Devenham qui nous donne ce lave-vileau là.
00:43:48 C'était très intéressant et éclairant.
00:43:52 Il éclaire beaucoup ce que Devenham dit.
00:43:55 Et nous pouvons avoir certains de ces points.
00:43:58 Mais finalement, si ces choses-là sont à l'international
00:44:01 et que les gens nous demandent de faire des choses comme ça
00:44:04 pour amener quelqu'un d'autre, c'est honteux, non ?
00:44:08 - Effectivement. En fait, il pose d'abord...
00:44:11 Premièrement, est-ce qu'il explique
00:44:14 que tu faisais autoriser cette question-là ?
00:44:17 Je ne veux pas qu'on est standing orders pour qu'il y ait.
00:44:20 Néanmoins, je peux dire éthiquement
00:44:24 que le speaker, en tant que
00:44:27 guardian du temple de la démocratie,
00:44:30 le gardien du temple de la démocratie,
00:44:33 l'étudiant pèse sa question-là
00:44:36 et ces derniers temps, nous avons trouvé que le speaker
00:44:40 a mis de côté plusieurs questions et plusieurs questions supplémentaires
00:44:43 qui embarrassent le gouvernement.
00:44:46 Donc, il y a le pouvoir, mais éthiquement,
00:44:49 est-ce qu'il y a la hauteur
00:44:53 pour interdire une question pareille ? La réponse est clairement non.
00:44:56 Deuxièmement, est-ce qu'il moralement
00:44:59 Ravindragnath Tibizin
00:45:02 répond à une question pareille ?
00:45:05 Je vous rappelle qu'en 2015,
00:45:08 Mahen Jagru, lui aussi alors député
00:45:12 dans le numéro 12,
00:45:15 décidément, c'est la conscription-là,
00:45:18 maudit quand j'étais libanais du MSM,
00:45:21 Mahen Jagru pose une question sur le contenu
00:45:24 du coffre de Ravindra Mugulam.
00:45:28 Anirudh Jagnath répond sur les billets.
00:45:31 Deuxièmement, il repose une question additionnelle
00:45:34 et dit qu'il n'a pas de billets, qu'il a des affaires
00:45:37 dans ce coffre-là. Vous connaissez Anirudh Jagnath qui dit ?
00:45:40 Anirudh Jagnath dit
00:45:44 Madame le speaker,
00:45:47 je ne réponds pas à cette question.
00:45:50 C'est-à-dire que Ravindragnath, son père,
00:45:53 c'est Anirudh Jagnath qui a au moitié
00:45:56 les valeurs morales qui lui permettent
00:46:00 d'essayer une question pareille.
00:46:03 Il n'a pas d'ordre politique et il ne fait pas honneur
00:46:06 à nos parlements et il refuse de répondre à cette question-là.
00:46:09 Ravindragnath est l'opposé en termes de valeurs
00:46:12 de ce que son père représentait.
00:46:16 Voilà, maintenant, troisième,
00:46:19 il pose une question sur les valeurs.
00:46:22 Est-ce qu'un député qui est de la jeunesse
00:46:25 comme Kavidoula, qui vient d'une région rurale
00:46:28 et qui fait une montée professionnellement petit à petit
00:46:32 jusqu'à ce qu'il gagne un ticket,
00:46:35 est-ce que Kavidoula, qui représente
00:46:38 le parlement mauricien, le forum international
00:46:41 où il y a beaucoup d'invitations, est-ce qu'il peut
00:46:44 poser la même question sur ce forum international ?
00:46:48 C'est une bonne question.
00:46:51 Mais il peut faire la honte à la nation mauricienne.
00:46:54 Il peut faire la honte à la jeunesse mauricienne.
00:46:57 C'est d'un état où nous trouvons malheureusement...
00:47:00 - Finalement, le maître mot de cette émission, c'est la honte.
00:47:04 - Effectivement. C'est honteux.
00:47:07 Mais c'est d'un état où nous trouvons malheureusement
00:47:10 de constater que beaucoup de jeunes élus du MSM
00:47:13 qui participent à sa machination politique
00:47:17 et à la démarche du MSM, quand ils viennent avec une question
00:47:20 qui n'a rien à voir avec la démocratie,
00:47:23 le fonctionnement de nos pays,
00:47:26 notamment, souvent, ils viennent avec une question pareille.
00:47:29 "Soubachini Lachman Roy, sa conférence de presse,
00:47:32 "sa intervention dans le parlement, l'est-ce qu'il a désiré ?"
00:47:36 Maintenant, nous ajoutons à cela, Vika Shnab-Tsedi,
00:47:39 encore une fois, un nouveau élu qui tire à le bas
00:47:42 le niveau du parlement de par son intervention.
00:47:45 Je me rappelle, c'est sous ce régime-là
00:47:48 qu'il y a une ministre, Dipak Balgobin,
00:47:52 qui prend un code noir dans le parlement.
00:47:55 Comme quoi la douleur associée au code noir
00:47:58 à ses descendants esclaves, que ce soit Maurice en Afrique ou ailleurs,
00:48:01 le parti AC, qui est un élu de la République,
00:48:04 prend un code noir dans le parlement.
00:48:08 Mais où est-ce qu'on peut aller ?
00:48:11 Si ça appelle à faire la politique autrement,
00:48:14 mais nous ne sommes pas dans le gaz.
00:48:17 Et je comprends qu'il fasse sa quantité de zénith là,
00:48:20 aujourd'hui, pour exprimer un dégoût,
00:48:24 un ras-le-bol envers le parlement,
00:48:27 et l'élu et la politique en général.
00:48:30 C'est la cause, le zénith, qui pollue d'esprit,
00:48:33 qui pollue des pourvues de valeur,
00:48:36 et qui devient malheureusement un paillasson
00:48:40 pour assouvir le sadisme du Pravind Jagnak,
00:48:43 quand il pose des questions,
00:48:46 et des questions supplémentaires,
00:48:49 qui fait lui-même plaisir et qui part en service à notre parlement.
00:48:52 - Au niveau légal,
00:48:56 c'est assez bien, mon pensée.
00:48:59 Dès que l'on dit comme ça,
00:49:02 les principaux culprits sont le Speaker et le Leader de la Maison,
00:49:05 soit le Premier ministre, Pravind Jagnak.
00:49:08 Le Standing Order 21-2,
00:49:12 "Les questions peuvent être posées aux ministres
00:49:15 "relatées aux affaires publiques,
00:49:18 "et le Speaker doit avoir refusé ce PQ,
00:49:21 "ou a-t-il écrit sous le Standing Order 22-F.
00:49:24 "Le cas de la Cour est toujours pendu,
00:49:28 "ou la question de caractère personnel
00:49:31 "a été posée et répondue."
00:49:34 Et le 22-5,
00:49:37 "Directer le maire à écrire."
00:49:41 Donc, c'est assez explicite ce qu'il a dit.
00:49:44 Donc, vu qu'il ne parle pas de "affaires publiques",
00:49:47 il parle de stimulants sexuels,
00:49:50 ou de médicaments qu'on ne peut pas utiliser,
00:49:53 ou de tout ce qui peut être utilisé à ce point de vue privé,
00:49:56 donc il ne parle pas de "affaires publiques".
00:50:00 Mais nous tous pensons que le Speaker
00:50:03 a écrit ses Standing Orders très bien.
00:50:06 Pourquoi va-t-il se faire encore une fois
00:50:09 cette question-là, une "Standing Order"?
00:50:12 - L'issue, évident, c'est qu'il y a une connivence
00:50:16 entre le leader of the House, le leader du parti MSM,
00:50:19 et le leader du pays aussi, malheureusement,
00:50:22 qui laisse à désirer. Mais il y a une connivence
00:50:25 entre lui et le bureau du Speaker, à travers le Speaker lui-même.
00:50:28 Parce que moi, quand je parle, je dois être bien gêné
00:50:32 dans ce bureau du Speaker. Il y a pas mal de choses
00:50:35 qui sont arrivées. Il y a une madame, elle est mentionnée récemment,
00:50:38 il y a beaucoup de bonnes raisons qui le font,
00:50:41 mais c'est sûr que le Speaker est dans ce façon de faire.
00:50:44 Et malheureusement, il a été élu Speaker de...
00:50:48 Je pensais, au niveau du parti MLPM,
00:50:51 qu'il réfléchissait beaucoup à comment apporter un Speaker.
00:50:54 Parce que l'époque VAC-D, je crois que je me souviens
00:50:57 de la pêche avec les jeunes, elle rentrait un peu dans le sol,
00:51:00 parce qu'en sol, il y a bien loin dans les annales.
00:51:04 À l'époque, il y avait un Speaker qui s'appelait VAC-D.
00:51:07 C'était un homme extraordinaire, qui donnait un exemple formidable,
00:51:10 qui avait une livre réputation dans ce pays-là.
00:51:13 Après ça, il y a eu combien d'autres Speakers ?
00:51:16 Il mentionne maintenant, mais pour la première fois
00:51:20 dans les annales, qu'il ne trouve un Speaker chez Paris.
00:51:23 Donc malheureusement, les mondes...
00:51:26 -Première fois dans les annales. -Jean-Luc Indien,
00:51:29 il a eu la honte en direct.
00:51:32 Mais vous savez, avec l'ouverture du Parlement,
00:51:36 il y a eu des choses qui passent en direct, le MBC, etc.
00:51:39 Il hante le monde. Maintenant, ce qui me trouve
00:51:42 un peu compliqué, je me sens un peu sous les vlies,
00:51:45 c'est que les Pérans répondent à un côté du Parlement.
00:51:48 Maintenant, MBC donne ça en direct.
00:51:52 Tantôt, ils passent ça dans la ville.
00:51:55 Regardez ce extrait qu'ils tirent.
00:51:58 "Body language du Prime Minister, pas fait d'honneur du tout."
00:52:01 -Donc tout était calculé ? -C'est calculé.
00:52:05 C'est une machination extraordinaire.
00:52:08 Tout ça pour faire une pensée, faire un coup contre l'ADSR.
00:52:11 Mais malheureusement, dans la bande de gens
00:52:14 qui comprennent la psychologie sociale et du peuple,
00:52:17 vous risquez de trouver que ça a un effet bon grand
00:52:20 et extraordinaire.
00:52:24 Donc, je pense que nous faisons la baisse du Parlement
00:52:27 jusqu'à un niveau qui est pénal.
00:52:30 Là, il nous faut réfléchir dans l'avenir.
00:52:33 Si nous pouvons vivre avec une situation pareille.
00:52:36 -Oui.
00:52:38 -Ajay Ganesh, une autre affaire qui dévienne,
00:52:41 comme ça, le rôle de "Speaker standing order 22J".
00:52:44 "Speaker ought to refuse"
00:52:47 ça, sur les mots,
00:52:50 dévienne "Instead of having Nisa
00:52:54 with his leader of the House
00:52:57 and all in government,
00:53:00 Speaker should be sanctioned,
00:53:03 and what to do with this pill,
00:53:06 if you want to know,
00:53:09 inform the House,
00:53:13 that the leader, Nisa, is the cause of the French cause
00:53:16 for everyone to understand.
00:53:19 So, it's the interpretation of Devenham.
00:53:22 And when the Prime Minister
00:53:25 abrogates his own proposal
00:53:29 to the private life of Dr. Naveen Rangoolam,
00:53:32 et tout ça,
00:53:35 souvent le Speaker,
00:53:38 carrément, comment dire ça,
00:53:41 arrête,
00:53:45 empêche les membres de l'opposition
00:53:48 de poser des questions, de dire des affaires,
00:53:51 et dit "ça ne concerne pas cette question-là,
00:53:54 ça ne concerne pas ce débat-là".
00:53:57 Mais ça, là, il n'a pas interprété tout ce que dit Ajay Ganesh
00:54:01 au Parlement avec sa question spécifique-là.
00:54:04 - Mais vous savez, dès le départ, je disais,
00:54:07 "Mettre maudit, c'est la honte".
00:54:10 Et vraiment, je préfère, au Parlement, "déshonnère",
00:54:13 je permets nous dans la honte.
00:54:17 Et je disais, "Premier ministre, je ne peux pas m'en remettre".
00:54:20 Ce Premier ministre-là, Pravin Jagna,
00:54:23 et comme dit Kose,
00:54:26 "Birds of the same feather flock together".
00:54:30 Et un speaker pareil, qui complotait,
00:54:33 qui ne parlait pas.
00:54:36 Aujourd'hui, je ne comprends même pas
00:54:39 ce que ce bureau de speaker-là veut dire.
00:54:42 C'est comme si, visuellement,
00:54:45 la télévision avait l'agressivité
00:54:49 de ce speaker-là.
00:54:52 Il résiste à la mort, c'est le baptême parlementaire.
00:54:55 Et souvent, quand il parle de l'agressivité,
00:54:58 il parle de l'école, de la guerre au Parlement.
00:55:01 Mais qui peut montrer l'agressivité ?
00:55:05 C'est pas au Parlement, pas si posé comme ça.
00:55:08 Et aujourd'hui, vraiment,
00:55:11 je me sens bien agréable pour mon pays,
00:55:14 quand mon pays n'arrive pas.
00:55:17 Quand on entend un journaliste s'ébranler,
00:55:21 comme Jean-Luc Lacry,
00:55:24 avec ses collègues qui ont honte.
00:55:27 Je ne comprends pas pourquoi il ne peut pas prendre Nisha
00:55:30 dans un Parlement.
00:55:33 Et un pays qui a un tonne de problèmes,
00:55:37 comme l'inflation, la supermarché, la pharmacie,
00:55:40 le prix de l'essence qui peut baisser,
00:55:43 ou une stag party,
00:55:46 la caisse qui peut être défoncée,
00:55:49 l'aide publique qui arrive à 400 milliards de roupies.
00:55:53 Tout ce problème-là, il y a un premier ministre
00:55:56 qui est en train de se battre contre l'adversaire.
00:55:59 Et c'est là qu'il a raison.
00:56:02 C'est MSM de Pravin Jagnat.
00:56:05 Il faut bien comprendre,
00:56:09 MSM de Pravin Jagnat,
00:56:12 c'est l'adversaire de Pravin Jagnat.
00:56:15 Quand même, il a dessiné un certain niveau
00:56:18 et il a montré ça dans sa réponse.
00:56:21 Mais MSM de Pravin Jagnat,
00:56:25 comme disons-le,
00:56:28 il fait un Parlement qui est bon.
00:56:31 - Qu'est-ce qu'on sait? - Qu'est-ce qu'on sait?
00:56:34 Mais on sait qu'il y a une autre affaire
00:56:37 quand il est dans le Parlement.
00:56:41 Là, il a un niveau, il n'a pas dessiné en bas.
00:56:44 Parce qu'il a réalisé qu'ils ont dit
00:56:47 qu'il y a un "decision maker".
00:56:50 C'est là-bas qu'il peut prendre des décisions
00:56:54 sur l'avenir des enfants,
00:56:57 l'avenir de tout le monde décider dans le Parlement.
00:57:00 Mais il n'est pas capable d'amener le Parlement à son niveau.
00:57:03 Et là-même, aujourd'hui,
00:57:06 vous connaissez que la population a réalisé
00:57:09 que ce gars doit partir.
00:57:13 Il a dit que le gouvernement...
00:57:16 Vous connaissez ce qui fait triste aussi.
00:57:19 Quand vous pouvez attendre un certain nombre de gens
00:57:22 pour qu'ils partagent autrement.
00:57:25 Mais c'est pas à cause de Bigadou, de Gano,
00:57:29 de Ramano ou de Tagnadjou
00:57:32 qui appellent la politique autrement.
00:57:35 Aujourd'hui, c'est votre complice.
00:57:38 - Non, mais c'est politique autrement. - Voilà.
00:57:41 En d'autres mots, c'est votre complice
00:57:45 qui amène le Parlement à un niveau infini.
00:57:48 C'est vrai, mais c'est autrement.
00:57:51 C'est autrement.
00:57:54 Mais quand vous finissez de dire ça,
00:57:57 vous réalisez que vous êtes devant l'histoire.
00:58:01 Vous êtes complice de tout ce que
00:58:04 MSM de Pravinjana peut faire à notre pays
00:58:07 et à toutes les institutions.
00:58:10 - Dévenez-le. - Nous avons une pause rapide.
00:58:13 Le Dr Vincent Benoît-Ry est là pour intervenir.
00:58:17 Il va nous dire si vous voulez que je l'enlève
00:58:20 et qu'il va nous dire si vous êtes d'accord ou pas.
00:58:23 Est-ce que vous pensez que vous êtes capable
00:58:26 de poser des pilules, de les comprimer
00:58:29 ou de stimuler le Parlement?
00:58:33 Nous, au décentralisme 77, 77, 77,
00:58:36 nous pensons que vous êtes capable de nous aider.
00:58:39 Il y en a à régler pour faire le nécessaire.
00:58:42 Mais je suis obligé de vous demander
00:58:45 si vous êtes d'accord avec les jeunes
00:58:49 qui ont des rêves politiques au sein de leur parti
00:58:52 mais aussi au sein du Parlement,
00:58:55 comme en Cavi du Loeb, les autres noms,
00:58:58 Keni Danu, qui est impliqué dans le cas
00:59:01 d'une clinique privée, qui est un infirmier.
00:59:05 Il y en a qui sont des journalistes
00:59:08 qui créent des leçons de journalisme
00:59:11 en conférence de presse.
00:59:14 Et il y en a d'autres qui disent aussi
00:59:18 que nous sommes des partisans et non d'un Parlement
00:59:21 ou de l'ÉPEP ou mauricien.
00:59:24 Téléphonez-nous au décentralisme 77, 77.
00:59:27 (Générique)
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01:01:42 Nous sommes de retour dans l'émission
01:01:45 "Radio Olé Pepe".
01:01:48 Avant que Dr Vincent Benoît ne réponde,
01:01:51 nous avons parlé de la nouvelle France.
01:01:54 Bonsoir.
01:01:58 - Bonsoir.
01:02:01 Je veux remercier
01:02:04 les ministres.
01:02:07 Je veux dire
01:02:10 que je ne comprends pas l'anglais
01:02:14 mais je comprends ce qu'ils disent.
01:02:17 Je ne comprends pas le sujet.
01:02:20 Je comprends pas le sujet.
01:02:23 Je comprends pas le sujet.
01:02:26 Je comprends pas le sujet.
01:02:30 Je comprends pas le sujet.
01:02:33 Je comprends pas le sujet.
01:02:36 Je comprends pas le sujet.
01:02:39 Je comprends pas le sujet.
01:02:42 Je comprends pas le sujet.
01:02:46 Je comprends pas le sujet.
01:02:49 Je comprends pas le sujet.
01:02:52 Je comprends pas le sujet.
01:02:55 Je comprends pas le sujet.
01:02:58 Je comprends pas le sujet.
01:03:02 Je comprends pas le sujet.
01:03:05 Je comprends pas le sujet.
01:03:08 Je comprends pas le sujet.
01:03:11 Je comprends pas le sujet.
01:03:14 Je comprends pas le sujet.
01:03:18 Je comprends pas le sujet.
01:03:21 Je comprends pas le sujet.
01:03:24 Je comprends pas le sujet.
01:03:27 Je comprends pas le sujet.
01:03:30 Je comprends pas le sujet.
01:03:34 Je comprends pas le sujet.
01:03:37 Je comprends pas le sujet.
01:03:40 Je comprends pas le sujet.
01:03:43 Je comprends pas le sujet.
01:03:47 Je comprends pas le sujet.
01:03:50 Je comprends pas le sujet.
01:03:53 Je comprends pas le sujet.
01:03:56 Je comprends pas le sujet.
01:03:59 Je comprends pas le sujet.
01:04:02 Je comprends pas le sujet.
01:04:06 Je comprends pas le sujet.
01:04:09 Je comprends pas le sujet.
01:04:12 Je comprends pas le sujet.
01:04:15 Je comprends pas le sujet.
01:04:18 Je comprends pas le sujet.
01:04:22 Je comprends pas le sujet.
01:04:25 Je comprends pas le sujet.
01:04:28 Je comprends pas le sujet.
01:04:31 Je comprends pas le sujet.
01:04:34 Je comprends pas le sujet.
01:04:38 Je comprends pas le sujet.
01:04:41 Je comprends pas le sujet.
01:04:44 Je comprends pas le sujet.
01:04:47 Je comprends pas le sujet.
01:04:50 Je comprends pas le sujet.
01:04:54 Je comprends pas le sujet.
01:04:57 Je comprends pas le sujet.
01:05:00 Je comprends pas le sujet.
01:05:03 Je comprends pas le sujet.
01:05:06 Je comprends pas le sujet.
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01:30:49 Je comprends pas le sujet.
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01:30:56 [SILENCE]