Prince Harry : l'auteur de ses mémoires fait une révélation fracassante

  • l’année dernière
Au sein du prestigieux journal New Yorker, Moehringer a récemment confessé que la rédaction des mémoires du prince Harry, intitulées "Le Suppléant", n'a pas été exempte de difficultés. Bien que l'harmonie règne initialement entre les deux hommes lors de l'écriture de l'ouvrage, des tensions latentes ont fini par surgir et se sont même intensifiées de manière significative lors d'une nuit d'été de l'année 2022, aux alentours de 2 heures du matin.

L'éminent écrivain américain, lauréat du prix Pulitzer en 2000, a avoué avoir été fortement agacé par le prince Harry. « Ma nervosité était à son comble, ma mâchoire était crispée et j'ai commencé à hausser le ton. Bien qu'une partie de moi ait conservé un certain recul face à la situation, je ne pouvais m'empêcher de trouver cela très étrange. Je me suis rendu compte que j'étais en train de crier sur le prince Harry. Au moment où Harry a commencé à me répondre, son visage se colorant et ses yeux se plissant, une pensée fulgurante m'a traversé l'esprit : "Mon Dieu, tout pourrait s'arrêter ici". »

Moehringer aborde ici un sujet qui a causé une vive dissension avec Harry, en l'occurrence un extrait que le coauteur considérait comme superflu dans le récit, mais auquel le mari de Meghan Markle tenait fermement pour qu'il soit inclus dans ses mémoires. Cette partie controversée évoquait un exercice militaire qui avait été extrêmement difficile pour Harry.

Dans les colonnes du New Yorker, l'auteur relate que le fils cadet de Charles III a été capturé par des individus se faisant passer pour des terroristes, et a été brutalement maltraité : il a été cagoulé, trainé jusqu'à un bunker souterrain, frappé, soumis à des conditions de froid et de faim extrêmes, déshabillé, et contraint à des situations stressantes et éprouvantes par des ravisseurs portant des cagoules noires. Cette simulation avait pour but principal de tester la résistance mentale du prince en vue d'une éventuelle prise d'otage en zone de guerre réelle. À la fin de l'exercice, les ravisseurs de Harry l'ont violemment jeté contre un mur, l'ont étranglé et insulté, tandis qu'un d'entre eux s'en est pris à la défunte mère du prince, la princesse Diana. Harry a toujours voulu conclure cette scène par une phrase qu'il aurait dite à ses ravisseurs, mais qui, selon le coauteur, paraissait inutile et quelque peu absurde, ce qui a motivé sa décision de ne pas l'inclure dans le livre.

Au cours d'un appel Zoom animé, le prince Harry a exposé son point de vue à l'auteur avec fermeté. Selon le souvenir de Moehringer, le prince a pris une profonde inspiration et expliqué calmement que, tout au long de sa vie, les gens avaient remis en question ses capacités intellectuelles, et que cette réponse montrait que, même après avoir été soumis à de mauvais traitements tels que des coups de poing et de pied, la privation de sommeil et de nourriture, il était encore p

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