Grégory Joron : «On apprend que le 1er mai, la police ne tue pas pour Jean-Luc Mélenchon.»

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Grégory Joron : «On apprend que le 1er mai, la police ne tue pas pour Jean-Luc Mélenchon. [...] Je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de policiers, vu ce qu'il nous met sur le coin de la figure, qui puissent être sensibles à ce genre d'appel.»

Transcript

00:00 On ne répond pas directement ou très peu à Jean-Luc Mélenchon,

00:03 il est toujours là où on l'attend,

00:05 c'est-à-dire un peu au fond de la gamelle où il fait tout, très clairement.

00:09 C'est marrant parce que là, on apprend que le 1er mai,

00:13 la police ne tue pas pour Jean-Luc Mélenchon

00:15 et donc on peut potentiellement peut-être rejoindre les rangs suite à son appel.

00:20 Je blague, évidemment personne n'ira à l'appel de Jean-Luc Mélenchon

00:25 et je ne pense pas qu'il y ait beaucoup de policiers pour le coup,

00:27 vu ce qu'il nous met sur le coin de la figure à longueur de temps et de journée,

00:31 qui puissent être sensibles à ce genre d'appel.

00:33 [Musique]

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