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Arnaud Viviant : la critique et les prix littéraires, à quoi ça sert ? L'invité de Sonia Devillers
France Inter
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20/04/2023
Le critique littéraire Arnaud Viviant publie "Station Goncourt" (La Fabrique). Il est l'invité de 9H10.
Retrouvez "L'invité de Sonia Devillers" sur
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-9h10
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00:00
Il est 9h08, Sonia De Villere, votre invitée critique littéraire, sociétaire du masque
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et la plume, jurée au prix décembre et au prix de flore.
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Et imaginez si on microtait les membres d'un jury littéraire et qu'on enregistrait leurs
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engueulades.
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Parce que tout ça, ça lui a valu, dit-il à mon invité, autant de joie que d'emmerde.
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Bonjour Arnaud Vivian !
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Bonjour et bravo !
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Merci beaucoup !
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Peut-être un petit mot avant de démarrer cette interview sur ce qui se passe au sein
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de votre maison d'édition.
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Elle s'appelle La Fabrique, je vous invite pour un petit livre qui paraît demain qui
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s'appelle "Station Goncourt, 120 ans de prix littéraire" qui répond à un premier petit
00:40
livre paru il y a deux ans qui s'appelait "Quantique de la critique" paru également
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à La Fabrique.
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À La Fabrique, il y a en ce moment une grande foire aux livres, très importante, à Londres.
00:50
C'est vraiment un moment pour le marché extrêmement important.
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Oui, il y a deux foires, il y a Francfort et Londres.
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Et un membre de La Fabrique s'y rend pour négocier des ventes de livres à l'étranger
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et a été arrêté à la frontière.
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Oui, il a été arrêté, il a été interrogé par la police, il a été libéré au bout
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de 24 heures mais il est toujours inculpé.
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Il est inculpé en fait par rapport aux lois terroristes.
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En fait, on l'accuse de terrorisme intellectuel, selon l'expression qu'a utilisée Gérard
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Darmanin.
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C'est extrêmement grave, on est en train de criminaliser la pensée.
01:24
Il n'a pas voulu donner les codes de son ordinateur, il n'a pas voulu donner les codes de son
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téléphone.
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Il a dû répondre à des questions qui sont extrêmement étranges venant donc de la police
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anglaise, rappelons-le.
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Est-ce qu'il soutenait Emmanuel Macron ? Est-ce qu'il avait participé récemment à des
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manifestations ? Et par ailleurs, quelles sont les prochaines publications de La Fabrique ?
01:47
Mais ça signifie quoi ? Qu'on soupçonne La Fabrique d'être un lieu d'agitation politique
01:51
de sédition ?
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C'est une édition indépendante fondée par Éric Hazan il y a 25 ans.
01:56
Nous fêtons les 25 ans de La Fabrique qui publie des gens comme Frédéric Lordon, comme
02:00
Alain Badiou, comme le Comité Invisible.
02:03
Et donc par conséquent, oui, il a été arrêté, encore une fois, pour un délit qui ressemble
02:11
à un délit de pensée.
02:13
On est encore une fois en train de criminaliser la pensée dans ce pays.
02:17
C'est extrêmement grave.
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Et en plus avec une collaboration de la police anglaise qui n'appartient plus à l'Union
02:24
Européenne.
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Donc vous voyez quand même, le tableau est sévère et grave.
02:28
Il a été relâché, l'info a pas mal…
02:30
Oui, il est toujours inculpé, il doit retourner à Londres et encore une fois, son ordinateur
02:34
et son téléphone ont été confisqués.
02:35
C'est grave ici.
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L'info a pas mal circulé et, petite précision, son nom a été protégé pour limiter la casse.
02:43
Je vous propose d'écouter François Nourrichier.
02:45
Pourquoi pas François Nourrichier ?
02:47
Si vous regardez la liste des lauréats par exemple du prix Goncourt, vous vous apercevrez
02:52
qu'il y a 50% de très bons choix, il y a 25% de mauvais choix et il y a 25% de choix
03:00
très discutables.
03:01
Mais se tromper une fois sur deux, en littérature, je trouve pas que ce soit un score tellement
03:07
déshonorant.
03:08
François Nourrichier qui a été président de l'académie Goncourt.
03:12
Rien qu'aujourd'hui, Arnaud Vivian se remettra le prix des Hussars au Lutetia et le prix
03:17
du roman d'Ecologie.
03:18
Et puis d'ici cet été, on aura le prix Flaubert, le prix Étonnant Voyageur, le prix
03:22
des Libraires, le prix Joseph Kessel, le prix Jean Dormeson, le prix Rogier Nimier, le prix
03:26
du Livre Inter.
03:27
Bien entendu.
03:28
Quel drôle de pays.
03:30
Oui, un pays qui compte au moins 2000 prix littéraires.
03:34
A mon avis, il y en a plutôt 5000.
03:36
J'ai collectionné, au moment où je fabriquais ce livre, j'ai collectionné des communiqués
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de presse m'informant de la création de nouveaux prix dont certains sont assez drôles, il
03:46
faut bien le dire.
03:47
Le prix du manuscrit refusé, par exemple.
03:49
Vous voyez, donc il faut lire tous les manuscrits qui ont été refusés.
03:52
C'est assez étrange.
03:53
Donc c'est une passion française, les prix littéraires.
03:56
Y compris les prix canulars.
03:57
Y compris les prix canulars qui viennent se greffer comme une espèce de parodie des
04:02
prix littéraires pour essayer d'entamer un petit peu leur sérieux.
04:06
Et là, je raconte l'histoire des prix canulars qui commencent en réalité avec le prix Renaud
04:10
qui, au départ, se veut un prix canular parce que le prix Goncourt tardait à être
04:15
mis, les journalistes qui étaient présents, dont Georges Charenceau qui allait faire une
04:18
très très belle carrière au Masqué la Plume dans la deuxième moitié du siècle,
04:23
nous sommes en 1928.
04:24
Donc ça tarde et donc ils décident eux-mêmes de voter pour un livre parce que finalement,
04:29
c'est ça l'idée.
04:30
On bouffe, on boit et puis on vote et tout ça est quand même assez marrant.
04:34
- Assez marrant.
04:35
On s'engueule, ça donne des polémiques, ça donne des scandales.
04:39
Votre petit livre est émaillé de ces scandales qui deviennent en France des affaires d'État.
04:43
- Certaines, certaines.
04:44
Alors moi j'ai essayé de ne pas tomber dans l'anecdote parce que c'est ce qui arrive
04:48
souvent avec les livres sur les prix littéraires.
04:50
On raconte des anecdotes, l'histoire des couverts gravés, comment un IH journaliste
04:57
a essayé de piéger deux fois les délibérations du prix Goncourt, on parlait de ça tout à
05:01
l'heure.
05:02
- On parlait de ça tout à l'heure parce qu'en réalité vous auriez pu vous mouiller
05:05
beaucoup plus Arnaud Vivian.
05:07
C'est-à-dire que là par exemple, le livre s'intitule « Station Goncourt », c'est-à-dire
05:10
qu'en fait vous prenez les prix littéraires comme une sorte de forêt.
05:13
Et il y a des arbres majestueux, centenaires, le Goncourt et le Féminin qui en ont engendré
05:22
d'autres.
05:23
Le Goncourt aujourd'hui, je vous propose d'écouter la réaction de Tahar Ben Jelloum,
05:29
la dernière proclamation du prix Goncourt.
05:32
- Qui a été difficile.
05:33
- Qui a été très difficile, un débat absolument sans fin.
05:37
Finalement la lauréate s'appelle Brigitte Giraud et Tahar Ben Jelloum quitte la table
05:41
du Goncourt.
05:42
Ah bah il y a un petit souci avec le son.
05:47
- Il a vraiment quitté la table du Goncourt.
05:49
- Non mais ça ne s'était jamais vu.
05:51
- Il faut savoir que Brigitte Giraud a été élue grâce à la double voix du président
05:56
Didier Decoin, qui lui-même d'ailleurs avait reçu le prix Goncourt en 1974 si ma mémoire
06:01
est bonne, grâce à la double voix du président de l'époque qui s'appelait Hervé Bazin.
06:06
Donc vous voyez, il y a une histoire de la double voix qui est un peu l'équivalent
06:10
du 49-3 en politique, c'est-à-dire on dit "bon allez, ça suffit, on a assez discuté".
06:15
- Mais on n'arrivait pas à départager le jury.
06:17
Et le jury était divisé entre le match du Kremlin de Daumpoly et le livre de Brigitte
06:22
Giraud.
06:23
Sauf que derrière cette diffusion, il y a des combats hommes-femmes, il y a des combats
06:27
politiques profonds, il y a des clivages idéologiques profonds.
06:30
- Et des clivages littéraires aussi.
06:32
- Oui, c'est important parce qu'il ne faut pas croire que les prix...
06:36
Quand on étudie cette histoire des prix, ce qui a donc 120 ans aujourd'hui, puisque
06:42
le prix Goncourt est né en 1903, on pense toujours à Magouille.
06:47
De la Magouille, il y en a eu effectivement et ça a été dénoncé presque tout au long
06:51
du XXe siècle.
06:52
On a dit, souvent les journalistes ont dit "il faut supprimer les prix, il y a trop de
06:57
commerce et pas assez de littérature".
06:58
Et puis finalement, depuis le début de ce siècle...
07:01
- D'ailleurs, vous précisez, Arnaud Vivian, que le fait de dire "il faut supprimer les
07:06
prix", ça fait vendre des journaux.
07:07
- Oui, c'est ça.
07:08
Il y avait aussi cet argument, c'est une histoire qui intéresse tout le monde.
07:12
Est-ce qu'il faut supprimer les prix ? Est-ce qu'ils sont magouillés ? Est-ce qu'ils sont
07:15
truqués ?
07:16
- Mais je vous ai interrompu.
07:17
L'idée que derrière des grands clivages idéologiques, il y a derrière des vrais clivages littéraires.
07:22
- Oui.
07:23
Pourquoi ? Alors, c'est ça, là on touche vraiment à mon avis le fond du sujet, c'est
07:26
que nous sommes un pays littéraire.
07:27
En tout cas, nous voulons être un pays littéraire.
07:30
Et nous le sommes.
07:31
On peut le voir à la manière dont les présidents de la République se font souvent photographier
07:36
pour la photo officielle avec un livre.
07:38
C'est Mitterrand avec les essais de montagne.
07:40
C'est Emmanuel Macron avec trois pléiades, De Gaulle, Gide, Stendhal.
07:45
Ce qui d'ailleurs, en soi, est une sorte de portrait chinois d'Emmanuel Macron.
07:51
Donc la littérature c'est important.
07:53
Et pourquoi c'est important en France ?
07:54
Barthes disait en France que la littérature c'est l'école.
07:58
Nous apprenons le français à travers les écrivains.
08:01
Nous apprenons non seulement l'idée de la France, l'idée de la République à travers
08:08
les écrivains.
08:09
En étudiant Molière, en étudiant Marivaux, on voit le problème entre les riches et les
08:13
puissants.
08:14
- En étudiant Annie Ernaux aujourd'hui.
08:16
- En étudiant Annie Ernaux aujourd'hui, absolument.
08:18
Donc il y a cette question.
08:20
Il y a une politique littéraire et il y a une littérature politique en France.
08:25
- Donc c'est absolument indissociable.
08:28
Et d'ailleurs, il y a en ce moment un grand podcast sur l'histoire de Léon Blum, produit
08:32
par France Inter.
08:33
Et on découvre que Léon Blum était critique littéraire.
08:35
Et qu'en fait, dans votre livre, on découvre qu'il y a plein d'anciens critiques littéraires
08:38
qui ont eu des destins politiques brillants.
08:40
- Oui, bien sûr.
08:41
Sainte-Boeuve est devenue sénateur.
08:44
Sainte-Boeuve qui est la grande figure de la critique littéraire.
08:47
On pourrait en citer plein.
08:49
Là, je parle de Poincaré qui a été l'avocat de Prix Goncourt au départ.
08:54
Donc il y a cette idée-là.
08:58
- Sauf que la littérature n'a jamais été, peut-être, et la culture en général, soyons
09:03
honnêtes, un tel champ de mine qu'aujourd'hui.
09:06
On sent que les clivages se sont radicalisés.
09:10
On sent que le dialogue s'est durci.
09:11
On sent que les combats se sont énormément accrus et aiguisés.
09:17
- Parce que, si vous voulez, il y a plusieurs choses.
09:19
Il y a le marché.
09:21
C'est ça, nous vivons sous la domination du marché depuis les années 80 où s'installe
09:27
le libéralisme, puis le néolibéralisme, qui fait que l'économie est là, au centre
09:33
de nos vies.
09:34
Je pense qu'on aurait pu trouver d'autres raisons de vivre ensemble si on avait eu un
09:37
peu d'imagination.
09:38
Mais finalement, nous avons choisi l'économie.
09:40
Donc l'économie, elle est présente partout.
09:43
L'idée de la distribution, qui est très importante dans la chaîne du livre.
09:47
Parce qu'il y a ça, on a utilisé cette expression "la chaîne du livre", qui a un caractère
09:53
quasiment un peu marxisant, si vous regardez ça.
09:56
- Ou, oui, marxisant, ou biologisant.
10:00
- Oui, tout à fait.
10:01
- Comme si c'était une chaîne alimentaire où les gros finissaient toujours par bouffer
10:05
les petits.
10:06
- Mais ce qu'il faut savoir, c'est que dans cette chaîne du livre, l'écrivain est celui
10:09
qui gagne le moins.
10:10
Le libraire est celui qui gagne le plus, puis après le distributeur, puis après l'éditeur,
10:15
puis après l'imprimeur.
10:16
Et enfin l'écrivain, sur le prix d'un livre.
10:19
Et donc, à travers les prix littéraires, c'est ce que je raconte.
10:23
Parce qu'il y en a dix qui font vendre en France.
10:25
C'est tout.
10:26
Les autres ne font pas vendre, mais ils donnent de l'argent.
10:28
Alors c'est des sommes qui font l'air assez modestes, entre disons 2000 et 6000 euros.
10:33
- Ah non, il y a des prix qui sont même mieux notés que ça.
10:36
Il y a des prix qui montent jusqu'à 30 000 euros.
10:38
Le prix d'Essamour, auquel je participe, c'est 15 000 euros.
10:42
Le prix Jean Frostier, qu'on ne connaît pas très bien, c'est 25 000 euros.
10:46
Donc vous voyez, il y a effectivement… Mais globalement, la majorité des prix, puisqu'il
10:50
y en a 2000, la majorité des prix, c'est entre 2000 et 6000 euros.
10:53
Donc c'est un mode de financement parallèle de la littérature.
10:56
Au point que certains éditeurs, et ça c'est Pierre Hassouline, grand juré-concours et
11:01
aussi grand journaliste littéraire qui le raconte, qui dit que parfois les maisons d'édition
11:06
disent qu'on ne va pas donner beaucoup d'avaloir, parce qu'on donne de l'argent pour écrire,
11:10
parce que derrière, on va te faire avoir un prix.
11:12
- Le financement parallèle de la littérature.
11:14
Il est 9h19, vous écoutez France Inter, Arnaud Vivian est mon invité et on va se demander
11:22
pourquoi les critiques littéraires sont aussi détestées.
11:26
- Richard Aviard, the executive branch Having some fun with the warm-up act.
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