Tunisie : tapis rouge pour Assad
  • l’année dernière
Signe des temps qui changent, le ministre des Affaires étrangères syrien passera trois jours à Tunis. C'était inimaginable il y a peu. En 2012, le président Moncef Marzouki avait signifié que la dictature Assad n'était plus compatible avec l'embryon démocratique tunisien et brisé net les relations avec Damas. L'ensemble des pays arabes le feront, certains sous la contrainte. La Syrie est alors entrée, dix ans durant, dans cette zone grise où barbouzes, militaires et diplomates de l'ombre ont livré des missions plus ou moins inavouables. Entre dictature sanglante (Assad a utilisé les armes chimiques pour réprimer sa population), État islamique, Turquie, Iran, Russie, le territoire était devenu une auberge espagnole de toutes les violences, du djihad à la barbarie d'État.

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