Le MR et le PS s’écharpent sur un projet de base de lancement spatial en Wallonie
- l’année dernière
#LeMR #PS #écharpentprojet
https://gotopnews.com/post/2503404
A l'origine de cette flambée de fièvre entre les deux coqs du Hainaut, le projet soumis au gouvernement wallon par la start-up "Dream Big" co-fondée par le professeur Damien Ernst , l'homme d'affaires François Fornieri et l'ex-syndicaliste Roberto d'Orazio. Surfant sur l'engouement général autour du lancement microsatellites dédiés au secteur privé et souhaitant contribuer à relance l'industrie wallonne, les trois hommes souhaitent en effet ériger la première base lancement spatial belge dans le sud du pays, à l'instar des « ports spatiaux » qui se multiplient dans toute l'Europe. Bien que l'initiative ait été favorablement accueillie par le gouvernement wallon, des désaccords sont rapidement apparus quant au choix du site où pourraient être implantées ces infrastructures de pointe. Boussu ou Charleroi ? Côté socialiste, Paul Magnette estime que l'ancien site de Caterpillar à Charleroi, récemment abandonné par Legoland, semble approprié. Pour piloter le projet, une antenne spécifique serait créée au sein de l'Intercommunale Igretec et sa présidence confiée au Fouronnais José Happart, compte tenu de sa longue expérience dans le secteur aéroportuaire. Un scénario farouchement combattu par le président du MR, avançant pour sa part une vaste friche, propriété du club royal de football des Francs Borains dans la commune de Boussu. Dans les rangs des écologistes, on semble déterminé à ne pas faire de vagues tant que le choix se porte sur un terrain situé à proximité d'un terminal TEC, qui permettra au personnel du spatioport de se rendre au travail en bus. L'utilisation d'un moteur à plombs pour les fusées pourrait également faire partie des revendications des Verts. Une demande qui n'est pas insurmontable, aurait indiqué le professeur Ernst, à condition qu'il s'agisse de résineux. Face à ce blocage, comme ce fut cas dans le dossier de la maîtrise en médecine, Paul Magnette a de nouveau brandi spectre d'une majorité alternative. Face cette impasse, comme ce fut cas dans cas de la maîtrise en médecine, Paul Magnette brandit une nouvelle fois spectre d'une majorité alternative, Les Engagés se disant prêts à voter pour Charleroi condition que les lanceurs puissent aussi être utilisés dans l'avenir de l'évacuation des déchets des centrales nucléaires belges vers l'espace, comme propose leur manifeste pour climat « L'avenir, c'était hier ». Ayant eu vent ces discussions, la N-VA a pour sa part tenté de jouer la carte Zaventem, cela nous revient. Une piste aussitôt étouffée dans l'œuf par le gouvernement bruxellois, qui a annoncé que les décollages de fusées seraient interdits entre 21 heures et 21 heures. et 7h du matin En désespoir de cause et afin d'éviter une nouvelle escalade, le dossier a été transmis à l'équipe du ministre du Budget Adrien Dolimont. Chargée d'objectiver ce choix, elle
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A l'origine de cette flambée de fièvre entre les deux coqs du Hainaut, le projet soumis au gouvernement wallon par la start-up "Dream Big" co-fondée par le professeur Damien Ernst , l'homme d'affaires François Fornieri et l'ex-syndicaliste Roberto d'Orazio. Surfant sur l'engouement général autour du lancement microsatellites dédiés au secteur privé et souhaitant contribuer à relance l'industrie wallonne, les trois hommes souhaitent en effet ériger la première base lancement spatial belge dans le sud du pays, à l'instar des « ports spatiaux » qui se multiplient dans toute l'Europe. Bien que l'initiative ait été favorablement accueillie par le gouvernement wallon, des désaccords sont rapidement apparus quant au choix du site où pourraient être implantées ces infrastructures de pointe. Boussu ou Charleroi ? Côté socialiste, Paul Magnette estime que l'ancien site de Caterpillar à Charleroi, récemment abandonné par Legoland, semble approprié. Pour piloter le projet, une antenne spécifique serait créée au sein de l'Intercommunale Igretec et sa présidence confiée au Fouronnais José Happart, compte tenu de sa longue expérience dans le secteur aéroportuaire. Un scénario farouchement combattu par le président du MR, avançant pour sa part une vaste friche, propriété du club royal de football des Francs Borains dans la commune de Boussu. Dans les rangs des écologistes, on semble déterminé à ne pas faire de vagues tant que le choix se porte sur un terrain situé à proximité d'un terminal TEC, qui permettra au personnel du spatioport de se rendre au travail en bus. L'utilisation d'un moteur à plombs pour les fusées pourrait également faire partie des revendications des Verts. Une demande qui n'est pas insurmontable, aurait indiqué le professeur Ernst, à condition qu'il s'agisse de résineux. Face à ce blocage, comme ce fut cas dans le dossier de la maîtrise en médecine, Paul Magnette a de nouveau brandi spectre d'une majorité alternative. Face cette impasse, comme ce fut cas dans cas de la maîtrise en médecine, Paul Magnette brandit une nouvelle fois spectre d'une majorité alternative, Les Engagés se disant prêts à voter pour Charleroi condition que les lanceurs puissent aussi être utilisés dans l'avenir de l'évacuation des déchets des centrales nucléaires belges vers l'espace, comme propose leur manifeste pour climat « L'avenir, c'était hier ». Ayant eu vent ces discussions, la N-VA a pour sa part tenté de jouer la carte Zaventem, cela nous revient. Une piste aussitôt étouffée dans l'œuf par le gouvernement bruxellois, qui a annoncé que les décollages de fusées seraient interdits entre 21 heures et 21 heures. et 7h du matin En désespoir de cause et afin d'éviter une nouvelle escalade, le dossier a été transmis à l'équipe du ministre du Budget Adrien Dolimont. Chargée d'objectiver ce choix, elle