Vincent Lagaf' dévasté, il se confie sur son abandon par sa mère et bouleverse le public
- l’année dernière
Chaque clown a une part de mélancolie qui se dissimule derrière son masque de jovialité. C'est précisément cette facette plus sombre de l'animateur Vincent Lagaf' que le public a pu découvrir lors de son entretien avec Audrey Crespo-Mara, diffusé sur TF1 dans le cadre de la rubrique "Portrait de la semaine" de l'émission "Sept à huit". Bien connu du grand public pour ses talents d'humoriste révélés dans l'émission "La Classe" sur France 3, Vincent Lagaf' s'est également illustré en tant qu'animateur emblématique de plusieurs jeux télévisés tels que "Le Bigdil" et "Le Juste Prix" sur TF1. Actuellement, il anime l'émission "SOS garage" sur RMC Découverte. Dans son livre autobiographique intitulé "Je m'appelais Franck", l'animateur se livre sur ses véritables origines, révélant une facette plus personnelle et introspective de sa vie.
En effet, bien avant d'être le célèbre Vincent Lagaf', l'homme derrière le masque était un petit garçon nommé Franck, qui avait connu une enfance marquée par l'abandon et la solitude. Malheureusement, même ses parents adoptifs n'avaient pas réussi à combler ce vide affectif qui l'habitait. Franck avait été confié à l'assistance publique alors qu'il n'avait que six mois. Lors de son entrevue avec Audrey Crespo-Mara, l'animateur a évoqué les circonstances de sa séparation avec sa mère biologique, expliquant que cette dernière avait pris la décision courageuse de le confier aux autorités en raison de son incapacité à subvenir à ses besoins.
Pendant plus de deux années, le petit Franck a résidé dans l'orphelinat de Mont-Saint-Aignan, où il a été confronté à un quotidien difficile et dépourvu d'affection. Aujourd'hui âgé de 63 ans, l'animateur de renom se rappelle encore des cris déchirants qui résonnaient dans les couloirs de cet établissement. Pour Vincent Lagaf', ces cris étaient le signe d'un véritable appel au secours de la part des enfants qui se sentaient abandonnés et désespérés. Lors d'une visite de l'assistance de Mont-Saint-Aignan, effectuée il y a une dizaine d'années, l'animateur a été profondément touché par les pleurs qu'il a entendus, qui ont ravivé en lui les souvenirs douloureux de son propre passé.
Plus tard, le petit Franck a eu la chance d'être adopté par un couple stérile. Ces derniers ont décidé de lui donner un nouveau prénom, Vincent, pour marquer le début d'une nouvelle vie et d'une nouvelle identité. Cependant, avec le recul, l'animateur avoue être profondément choqué par cette décision qui a en quelque sorte effacé son identité originale. Il confie que même aujourd'hui, s'il entendait quelqu'un l'appeler par son ancien prénom, il se retournerait instinctivement. Audrey Crespo-Mara a également évoqué le contenu du livre autobiographique de l'animateur, dans lequel il évoque son parcours de vie mouvementé et les différentes étapes qui ont marqué son existence.
#vincentlagaf
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En effet, bien avant d'être le célèbre Vincent Lagaf', l'homme derrière le masque était un petit garçon nommé Franck, qui avait connu une enfance marquée par l'abandon et la solitude. Malheureusement, même ses parents adoptifs n'avaient pas réussi à combler ce vide affectif qui l'habitait. Franck avait été confié à l'assistance publique alors qu'il n'avait que six mois. Lors de son entrevue avec Audrey Crespo-Mara, l'animateur a évoqué les circonstances de sa séparation avec sa mère biologique, expliquant que cette dernière avait pris la décision courageuse de le confier aux autorités en raison de son incapacité à subvenir à ses besoins.
Pendant plus de deux années, le petit Franck a résidé dans l'orphelinat de Mont-Saint-Aignan, où il a été confronté à un quotidien difficile et dépourvu d'affection. Aujourd'hui âgé de 63 ans, l'animateur de renom se rappelle encore des cris déchirants qui résonnaient dans les couloirs de cet établissement. Pour Vincent Lagaf', ces cris étaient le signe d'un véritable appel au secours de la part des enfants qui se sentaient abandonnés et désespérés. Lors d'une visite de l'assistance de Mont-Saint-Aignan, effectuée il y a une dizaine d'années, l'animateur a été profondément touché par les pleurs qu'il a entendus, qui ont ravivé en lui les souvenirs douloureux de son propre passé.
Plus tard, le petit Franck a eu la chance d'être adopté par un couple stérile. Ces derniers ont décidé de lui donner un nouveau prénom, Vincent, pour marquer le début d'une nouvelle vie et d'une nouvelle identité. Cependant, avec le recul, l'animateur avoue être profondément choqué par cette décision qui a en quelque sorte effacé son identité originale. Il confie que même aujourd'hui, s'il entendait quelqu'un l'appeler par son ancien prénom, il se retournerait instinctivement. Audrey Crespo-Mara a également évoqué le contenu du livre autobiographique de l'animateur, dans lequel il évoque son parcours de vie mouvementé et les différentes étapes qui ont marqué son existence.
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