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Éric Cheysson : le chirurgien des enfants en Afghanistan - L'invité de Sonia Devillers
France Inter
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06/04/2023
Président de La Chaîne de l'Espoir, et chirurgien, Éric Cheysson sillonne l'Afghanistan depuis 40 ans. Il est l'invité de 9H10.
Retrouvez "L'invité de Sonia Devillers" sur
https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/l-invite-de-9h10
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Il est 9h09, Sonia De Villers, votre invitée s'occupe de l'hôpital français de Kaboul,
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hôpital qui soigne les femmes et les enfants.
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Voilà, et les femmes doivent être soignées par des femmes.
00:12
Bonjour docteur, bonjour Eric Chesson.
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Bonjour.
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Ça fait 40 ans que vous connaissez l'Afghanistan,
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vous allez nous raconter comment cet hôpital français, cet hôpital pédiatrique est sorti de terre,
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comment vous l'avez fait tourner contre vents et marées.
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Mais hier, je l'ai dit tout à l'heure, les talibans ont annoncé l'interdiction pour les femmes
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de travailler pour tous les programmes humanitaires gérés par l'ONU ou financés par l'ONU dans le pays.
00:40
C'est une catastrophe.
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Oui, en effet, c'est une catastrophe.
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C'est-à-dire qu'il y a une sorte de continuum, c'est le cumul des malheurs.
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Toutes les semaines ou tous les mois, un nouveau décret de l'émir suprême à Kounsada arrive
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avec un ciblage, une obsession sur la femme,
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pouvant aboutir, certains en parlent d'apartheid des femmes, d'autres de féminicide social.
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C'est-à-dire que leur espace se restreint jusqu'à devenir un confinement total.
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Et donc, cette décision est extrêmement grave, car à travers les Nations Unies,
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passe, c'est un entonnoir de l'aide humanitaire considérable.
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C'est l'aide alimentaire, c'est l'aide sanitaire, c'est l'aide financière.
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Et c'est l'interdiction du travail des femmes.
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Et un marqueur extrêmement inquiétant.
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Il reste la niche sanitaire, c'est-à-dire du domaine de la santé.
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Donc, l'hôpital, pour l'instant, les femmes peuvent continuer à travailler.
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Je vous rappelle que sur à peu près 960 salariés, nous avons plus de 230 femmes.
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Un hôpital est nécessaire, les femmes sont indispensables par leurs compétences,
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par leur humanité, par le toucher.
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Et je vous le dis, pour nous, c'est une ligne rouge que nous ne pourrons pas accepter.
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Un hôpital sans femmes.
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Et je vous rappelle que les femmes ne peuvent être soignées que par les femmes.
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Et donc, la boucle infernale serait bouclée.
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Le journal de TF1, le 20h de TF1, est venu tourner à l'hôpital au mois d'août l'année dernière.
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TF1 qui vous suit depuis très longtemps va raconter pourquoi, Éric Chesson.
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C'est le dernier refuge pour les plus pauvres des pauvres.
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L'hôpital français de la mère et de l'enfant, un taliban, contrôle désormais l'entrée.
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Des familles afghanes arrivent ici de tout le pays avec des enfants très malades.
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Alaoua Din vient d'être opérée en urgence pour une sérieuse infection des reins.
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- A la maison, on n'a plus d'argent, plus rien.
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On ne mange plus que du pain avec un peu de thé.
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Personne ne nous aide, ni le gouvernement, ni les humanitaires.
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On se retrouve tout seul.
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Dans cette salle de réanimation, la seule d'Afghanistan, le petit Samim se réveille tout juste.
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Il a attendu un an avant d'être opéré du coeur.
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- Avec l'arrivée des talibans, tous les experts, tous les chirurgiens
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ont été obligés de quitter l'hôpital, de quitter le pays. Ils sont partis.
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Le docteur Eric Chesson et mon invité Eric Chesson, qui est chirurgien,
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qui publie avec Michel Fort, ça c'est votre complice,
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ça fait un moment que vous travaillez ensemble tous les deux,
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"Afghanistan, la spirale infernale".
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Votre témoignage paraît chez Robert Laffont.
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Il est titré "Le cri du coeur".
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Mais là, c'est bien plus qu'un cri du coeur, c'est vraiment un cri d'alarme.
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La situation est très grave.
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C'est-à-dire que vous n'avez pas pu,
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vous avez été obligé d'abandonner vous aussi l'hôpital,
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vous avez été obligé de le quitter, vous avez pu y retourner.
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Mais tout le monde part, tout le monde part de cet hôpital.
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Tous les médecins, tous les cerveaux, tous les gens diplômés.
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- Oui, en effet, ce que vous dites est très important.
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On parle, je vous parlais des cumulés malheurs,
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et on a commencé à les énumérer, mais il y en a un autre
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qui est insidieux, qui ne sort de cancer.
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C'est la fuite, la fuite de nos collègues médecins.
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Je vous ai dit, nous avons près de 960 salariés.
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160 sont déjà partis, dont une majorité de médecins.
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Un exemple simple, en réanimation, c'était la seule réanimation d'Afghanistan,
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seule réanimation néonatale.
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Nous avions 9 réanimateurs, nous avons mis 12 ans à les former.
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8, 8 sont déjà partis.
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Pourquoi ils sont partis ?
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Pas pour abandonner leur pays.
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Parce qu'ils ont une petite fille ou une jeune fille,
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pas d'école, pas de lycée, pas d'université.
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Donc ils disent "no future".
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Et donc ils partent, ils partent parce qu'il n'y a pas d'avenir.
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Et ça, si vous voulez, c'était effrayant.
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Et donc c'est pour ça que nous faisons appel aux infirmières,
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aux réanimateurs français, européens, aux chirurgiens.
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- De bonne volonté.
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- De bonne volonté pour partir là-bas, pour soigner, pour former.
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Et pour...
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C'est la valeur incroyable de cet hôpital.
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C'est un symbole.
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C'est un symbole que c'est possible, que ça continue.
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- Ce qu'il faut bien qu'on comprenne, Dr Chesson,
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c'est que quand vous dites "nous avions le seul service de réanimation néonatale
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dans cet hôpital français de Kaboul",
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c'est qu'il faut bien comprendre qu'il y a des Afghans qui viennent de tout le pays,
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qui font des centaines, voire des milliers de kilomètres pour être soignés chez vous.
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- Bien sûr, c'est un endroit...
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Si vous voulez, c'est souvent le dernier endroit, le dernier espoir.
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Et parfois, le soir, tard, quelqu'un frappe à la porte.
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Et c'est un père, c'est une mère, c'est un grand-père qui, dans une brouette,
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apporte un enfant qui vient de Herat, de Zabul, de Kandahar,
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pour des pathologies complexes, qu'elles soient cardiaques, viscérales, orthopédiques.
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Et si vous voulez, c'est pour ça que le combat pour cet hôpital est absolument indispensable.
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- Parlez-nous de vos factures d'électricité.
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- Oui, les factures d'électricité, c'est un exemple parmi tant d'autres.
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L'électricité de l'hôpital a été coupée,
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normalement dans l'accord que nous avions avec le gouvernement afghan,
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c'est qu'ils fournissent l'électricité.
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- Gratuitement. - Gratuitement.
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Non seulement ce n'est plus le cas,
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mais ils nous ont demandé un arriéré d'un million trois cent mille dollars.
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Et alors vous allez dire qu'est-ce que vous avez fait ?
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Négocier, c'est la seule façon de faire.
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Négocier, ça veut dire payer.
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- Négocier, ça veut dire payer.
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Retour en 2006, Bernadette Chirac va inaugurer cet hôpital.
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- À Kaboul, stigmatisée par 25 ans de guerre, la sécurité n'est pas rétablie.
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Dans ce climat, l'inauguration par Bernadette Chirac de l'Institut médical pour l'enfant devient symbole.
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Un scanner, un matériel incroyable ici.
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Et aussi des médecins, des infirmières bénévoles.
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Un financement mixte dont l'Algacan a pris la plus large part
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pour des enfants parmi les plus déshérités.
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À 13 ans, El Ala est la première opérée à cœur ouvert en Afghanistan.
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Bernadette Chirac se fait porte-parole.
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- Le message d'amitié et de fidélité de la France à l'Afghanistan,
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du peuple français au peuple afghan.
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Et le message de continuer.
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- Elle avait 4 ans cette petite fille quand vous l'avez opérée à cœur ouvert.
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Docteur Chesson, est-ce que vous pouvez raconter cette opération ?
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- Oui, si vous voulez, ce sont des enfants qui ont des malformations congénitales du cœur.
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Il y a un trou entre deux cavités cardiaques, entre les ventricules ou l'oreillette.
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Chez nous, en France, ils seraient opérés dans les premiers jours ou les premières semaines.
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Et ici, il n'y avait pas de possibilité.
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Donc nous avons des listes d'attente considérables.
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Et vous savez, je voulais juste préciser une chose,
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c'est que cet hôpital, il a été fait avec la générosité des Français,
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sur un mouvement populaire incroyable de liberté et de joie,
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sous l'impulsion incroyable de Marine Jacquemin, Muriel Robin.
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- Marine Jacquemin qui est une consœur de TF1, grand reporter à TF1.
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Muriel Robin que tout le monde connaît.
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- Elles se sont battues de façon incroyable pour trouver les financements.
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Et puis Bouygues, et puis beaucoup de grosses entreprises du CAC 40.
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Donc ce que je voulais dire, c'est qu'il y avait un mouvement de liberté et tout s'est enlisé par la corruption.
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Sur, on dit, 2000 milliards ont été mis pendant ces 20 années.
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Mais combien sur l'éducation, sur la santé ?
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Et là, si vous voulez, c'est une émotion, mais c'est une grande colère.
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Comment a-t-on pu se comporter comme ça ?
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Comment les Américains ont fait un tel départ ?
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Cette honte du 15 août 2021.
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Et tout le monde, je suis sûr, dans les éditeurs qui nous écoutent,
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se souviennent de ces grappes d'Afghans tombant, des gros porteurs qui décollaient,
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parce qu'ils étaient terrorisés, terrorisés du retour.
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C'est rare que l'histoire repasse les plats.
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Les talibans étaient déjà là.
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- Et d'ailleurs, vous le racontez, docteur Chesson, dans votre livre, vous le racontez.
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Vous avouez que vous étiez tellement obsédé par la bonne marche de l'hôpital,
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par le fonctionnement de l'hôpital, que vous n'avez pas voulu voir
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que vous êtes resté sourd et aveugle à la montée du péril.
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Que l'ambassadeur de France, d'ailleurs, vous avait prévenu,
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avait voulu vous alerter, que vous n'avez pas voulu entendre.
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- En effet, je ne l'ai absolument pas vu.
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Et nous sommes très nombreux.
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Je vous rappelle qu'on disait, l'armée afghane, 300 000 hommes.
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Et surtout, il y a ces fameuses forces spéciales formées, extraordinaires,
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30 000 hommes et autres.
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Et tout s'est écroulé sans aucun combat.
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Nous ne l'avons pas vu venir.
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Ça, c'est une réalité totale.
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Par contre, ce que je vois, c'est actuellement,
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chaque semaine, chaque mois est pire.
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Nous avons une espèce d'acharnement sur,
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je dirais, sur la femme, sur ce qu'elle représente.
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Et je suis pessimiste.
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- Vertige. Vertige en Afghanistan, quand des médecins comme vous,
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français ou afghans, doivent abandonner un hôpital.
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Ils abandonnent derrière eux des patients.
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On va parler d'eux parce que vous faites leur portrait.
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