La Hongrie a bloqué la demande des États membres de l'Union européenne visant à délivrer un mandat international pour "l'arrestation" du président russe Vladimir Poutine, selon Bloomberg. Le chef de la diplomatie européenne, Josep Borrell, a plutôt publié une déclaration en son nom, prenant note de la décision de la Cour pénale internationale. Bien que les ministres de la justice de l'UE aient soutenu la décision de la CPI, la Hongrie ne l'a pas signée. Cette décision a des implications pour la diplomatie européenne et les relations entre l'UE et la Russie.
La chambre préliminaire de la CPI a émis un mandat d'arrêt contre Poutine et la médiatrice pour enfants Maria Lvova-Belova. Cette décision a été qualifiée d'absurde par le chef du Comité constitutionnel du Conseil de la Fédération, Andrei Klishas, ​​qui a déclaré que cela n'avait ni fondement ni conséquences juridiques. Bien que la Hongrie ait bloqué la demande des États membres de l'UE, cela ne devrait pas avoir d'impact direct sur le mandat d'arrêt contre Poutine et Lvova-Belova, qui reste en vigueur.
En résumé, la Hongrie a bloqué une demande des États membres de l'UE pour délivrer un mandat international pour l'arrestation du président russe Vladimir Poutine, ce qui montre que les États membres de l'UE ont des positions différentes sur les questions internationales. La décision a des implications importantes pour la diplomatie européenne et les relations entre l'UE et la Russie. Cependant, la décision de la Hongrie ne devrait pas avoir d'impact direct sur le mandat d'arrêt contre Poutine et Lvova-Belova émis par la CPI, qui reste en vigueur. #Hongrie #UnionEuropéenne #mandatdarrêt #VladimirPoutine #Courpénaleinternationale #diplomatie #veto #Bruxelles #justice #CPI #Russie #JosepBorrell #dirigeants #sommet #compétence #médiatrice #enfants #Klishas #autoliquidation #décision #frt #ebenemediatv
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