Parlons Vrai chez Bourdin avec Jean-Félix Acquaviva, député LIOT de Haute-Corse et président de la commission d'enquête parlementaire chargée de "faire la lumière" sur l'assassinat d'Yvan Colonna.
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NewsTranscription
00:00 (Générique)
00:06 Bien, pour terminer cette émission, nous sommes avec Jean-Félix Aquaviva,
00:10 qui est député Lyott, Liberté Outre-mer Territoire de Haute-Corse,
00:14 président de la commission d'enquête parlementaire chargée de faire la lumière sur l'assassinat d'Ivan Colonna.
00:18 Avant de parler de cette enquête, Jean-Félix Aquaviva, vous allez voter cet après-midi.
00:24 Votez pour, votez contre ou vous abstenir sur la réforme des retraites ?
00:27 Écoutez, le groupe Lyott, à une diversité de points de vue, mais une grande majorité des membres du groupe dont je fais partie,
00:32 va voter contre ce projet.
00:34 Votez contre ?
00:34 Ce n'était pas une surprise à ce stade, puisque nous n'étions pas pour, d'une part, le mettre à l'agenda immédiatement,
00:42 nous n'étions pas aussi pour aller à l'allongement à 64 ans de la durée légale de travail,
00:49 et nous étions pour d'autres pistes de péréquation sur le modèle de financement.
00:53 Donc vous allez voter contre.
00:54 Oui.
00:54 Le groupe Lyott, 20 députés, je crois.
00:56 20 députés, oui.
00:57 20 députés, combien vont voter contre ?
00:59 Je crois, sans trahir évidemment ceux qui vont avoir d'autres options,
01:02 on sera entre 16 et 17 à voter contre, je crois.
01:04 16-17 à voter contre, et il y en aura qui voteront pour ?
01:08 Il me semble qu'il y en aura au moins un qui votera pour, oui.
01:11 Au moins un qui votera pour ?
01:11 Voilà, un qui votera pour et d'autres dans l'abstention, c'est le choix des membres du groupe.
01:18 Bien, Jean-Félix Aquaviva, regardons un peu cette commission d'enquête parlementaire.
01:23 Vous avez voulu cette commission d'enquête parlementaire, pourquoi ?
01:27 Vous vous interrogez sur quoi concernant l'assassinat d'Ivan Kolona ?
01:31 D'abord, c'est une demande de transparence sur ce qui s'est passé à Arles le mars 2022,
01:37 qui émane la société corse,
01:38 puisqu'on sait que suite à cet assassinat, il y a eu des manifestations importantes,
01:42 il y a eu des violences, il y a eu évidemment une Corse qui a tremblé,
01:47 et un torrent d'indignation qui s'est manifesté, notamment de la jeunesse, mais pas que.
01:54 Et il y a une forte demande de transparence, de justice et de vérité que l'on relève.
01:57 C'est un engagement de campagne que j'ai pris, évidemment,
01:59 puisque je suis membre du parti de Gilles Simeone,
02:02 et de la majorité territoriale de la collectivité.
02:04 Mais c'est aussi pour la famille, évidemment, et pour la démocratie en général,
02:08 puisqu'il y a beaucoup d'éléments troublants,
02:10 pendant l'acte, mais aussi dans la genèse de l'acte.
02:13 On veut parler à ce moment de la genèse de l'acte, puisque c'est le champ de nos travaux,
02:16 de la gestion du parcours de Franck Elongabé, du moment où il est agresseur.
02:19 - Franck Elongabé, je le rappelle, c'est l'assassin présumé.
02:22 - Qui, depuis son arrivée en France, et même avant, lorsqu'il était sur théâtre de guerre en Afghanistan,
02:26 et on met ça aussi bien sûr en parallèle avec la gestion du statut d'EPS d'Yvan Colonne,
02:30 puisqu'on met en exergue le fait qu'il y a une gestion politique de ce statut
02:34 qui n'a pas permis le transfert aussi de ce détenu à temps,
02:37 parce que s'il avait été transféré à temps en Corse, il serait vivant parmi nous encore aujourd'hui.
02:41 - Bon, alors, Yvan Colonne n'a pas été transféré à temps,
02:45 quelles sont les interrogations que vous avez concernant cet assassin présumé, Franck Elongabé ?
02:52 Franck Elongabé s'est retrouvé à la prison,
02:56 regardons un peu les faits, s'est retrouvé à la prison d'Arles,
03:00 un peu la surprise générale, non ? Il devait être à la prison d'Arles, incarcéré à Arles ou pas ?
03:05 - Premier acte, on a mis en exergue que Franck Elongabé était connu par le service de renseignement
03:09 comme un haut du spectre du fichier déradicalisé,
03:12 c'est-à-dire qu'il ne faisait pas partie des moyens...
03:14 - Déradicalisé. - Voilà, il ne faisait pas partie des tenues moyens des terroristes islamistes,
03:18 il était dans le haut du pavé, ça c'est les travaux qui ont permis de le mettre en exergue,
03:22 donc les services de renseignement nous ont permis de dire, oui, il était dangereux,
03:25 extrêmement dangereux, aguerri aux armes, a participé à des attaques...
03:29 - Donc, détenu, dangereux, islamisé, radicalisé.
03:34 - Ça c'est le point de vue des renseignements.
03:36 Du point de vue de l'inspection générale à la justice qui a mené l'inspection de fonctionnement à Arles,
03:39 ils se disent, on apprend ça, si ça avait été le cas,
03:42 connu déjà par l'administration pénitentiaire selon nous,
03:44 il n'aurait jamais dû être en emploi général et en détention ordinaire.
03:48 Donc il y a un grand écart entre l'état de sa dangerosité connue
03:53 et l'état de la connaissance d'autres,
03:55 et un parcours qui l'amène en détention ordinaire,
03:57 alors qu'il le devait être soit en quartier d'évaluation de la radicalisation,
04:01 ça a été prôné à cinq reprises par des commissions de dangerosité,
04:03 mais ça n'a jamais été suivi des faits.
04:05 Alors la première fois, avec des avis surprenants du parquet national antiterroriste
04:09 qui donne un avis très réservé pour ce faire,
04:11 alors que ce n'est pas sa compétence d'intervenir dans le domaine,
04:13 et à quatre reprises, parce que la directrice de l'établissement
04:17 et la hiérarchie au-dessus n'a pas instruit ou n'a pas fait remonter
04:20 les comptes rendus de ces commissions, qui disaient clairement,
04:22 en 2020-2021, donc avant l'acte, qu'ils voulaient mourir grands par l'islam,
04:26 donc sa dangerosité était actée, la capacité de passage à l'acte aussi,
04:30 donc il n'y a pas d'explication rationnelle au fait qu'on n'ait pas
04:34 permis ce transfert en quartier d'évaluation.
04:37 - La salle de sport, c'est dans la salle de sport que Franck Guélong Abbé
04:41 a assassiné Yvan Colonna, il était chargé de nettoyer cette salle de sport,
04:47 c'est bien ça ? - Il était auxiliaire, donc chargé de nettoyer,
04:50 et il s'est retrouvé seul.
04:53 - Seul ? - Avec Yvan Colonna.
04:56 - A le statut de détenu particulièrement signalé,
04:58 donc ce statut doit permettre une surveillance accrue,
05:00 et ne doit pas permettre de la mise en relation,
05:03 autant que faire se peut d'être une dite DPS,
05:06 alors que Yvan Colonna était aussi DPS.
05:08 Il fait le ménage pendant l'activité, alors que dans l'autre bâtiment,
05:11 la note de service donne à l'autre détenu qui fait le ménage,
05:14 l'obligation de le faire avant l'arrivée des détenus en salle de sport,
05:18 donc il y a un fonctionnement différent pour Guélong Abbé,
05:22 pour ce ménage.
05:24 Évidemment, nous sommes en face d'une agression qui dure très longtemps,
05:28 puisque c'est un quart d'heure, ce qui est énorme,
05:31 ce qui est une éternité, à 25 minutes.
05:34 - Sans que personne n'intervienne.
05:36 - Sans que personne n'intervienne, avec des portes qui n'ont pas de vitre,
05:39 donc l'air libre, donc le son circule plus facilement.
05:42 - Il ne devait pas être là seul avec le détenu.
05:46 Ça a duré un quart d'heure sans que personne n'intervienne.
05:50 - Exactement.
05:51 - Toutes ces questions-là sont les questions que vous posez.
05:53 - Exactement, et la vidéo n'était pas mise sur le scénario des salles,
05:57 autrement elle n'était pas fixée sur les salles,
05:59 mais même si l'agent en question le jour avait appuyé,
06:02 ce n'est pas moi qui le dis, c'est l'Inspection Générale de la Justice dans son rapport,
06:05 sur l'onglet de la salle de sport, pour mettre l'écran de la salle de sport,
06:08 ce n'était pas l'image de la salle de sport qui apparaissait,
06:11 pour des raisons de paramétrage.
06:12 - Ça fait beaucoup.
06:13 - Ça fait beaucoup, et ça interroge beaucoup de monde.
06:15 - Et il y a encore autre chose, c'est que...
06:19 Franck Elongabé, l'assassin présumé, a changé de comportement la veille.
06:24 - Il y a une donne nouvelle depuis cette semaine,
06:28 c'est qu'effectivement nous avons appris,
06:29 alors que les auditions n'ont pas permis de le faire éclore,
06:31 par document écrit, qu'une surveillante, le 1er mars, donc la veille,
06:35 a fait état d'une observation, donc assez gradée, assez hiérarchique,
06:40 et normalement dans le logiciel dédié à cet effet,
06:43 qui fait état d'une conversation entre trois détenus,
06:45 dont Franck Elongabé, qui dit...
06:47 enfin, un des détenus dit "je vais le tuer",
06:49 donc une information d'une menace entre détenus,
06:52 et la deuxième information importante,
06:54 c'est qu'il faisait le vide dans sa cellule, un changement de comportement.
06:56 Or ces observations-là n'apparaissent pas dans le logiciel utilisé,
07:00 normalement par l'administration présidentielle.
07:02 - Alors ça fait beaucoup d'interrogations, ça.
07:04 - Ça fait beaucoup.
07:05 - Ça nourrit le doute.
07:06 - Ça nourrit le doute, et à ce stade, on ne s'interdit pas, évidemment,
07:09 tant que président et rapporteur de commission,
07:11 d'aller sur le processus judiciaire.
07:13 - C'est-à-dire ?
07:14 - Je ne doute pas.
07:15 Si nous avons d'autres confirmations, nous allons travailler ce fait,
07:18 mais on a l'impression, au moins il y a un doute,
07:21 sur le fait que ces informations aient pu être effacées dans le logiciel,
07:24 puisque nous avons eu d'abord une information sur ce logiciel,
07:27 où les informations concernant Franck Langabay s'arrêtaient au 29 janvier 2022,
07:31 soit un peu plus d'un mois avant les faits,
07:33 ce qui apparaît...
07:34 - Tout aurait été effacé ?
07:35 - Totalement anormal par les agents eux-mêmes,
07:37 qui disent "on ne comprend pas pourquoi il n'y a pas d'informations".
07:39 Et puis l'onglet complémentaire qui nous a été transmis
07:41 donne quelques informations sur cette période,
07:43 mais pas les deux informations importantes.
07:45 - Ça veut dire quoi ? Quel est le soupçon ?
07:47 Le soupçon, c'est que l'État aurait couvert cet assassinat ?
07:53 - À ce stade, à ce stade.
07:55 Parmi les hypothèses, évidemment,
07:57 qui pourraient justifier un tel alignement des planètes.
08:01 Parce qu'on est dans un alignement des planètes,
08:02 qui fait dire même au directeur de l'administration péitencière lui-même,
08:04 qu'il consent que la réalité dépasse la fiction.
08:07 Ce n'est pas moi qui parle, c'est lui.
08:09 Soit c'est le hasard,
08:11 mais c'est une gestion apocalyptique
08:14 et d'appareils administratifs péitencières et judiciaires,
08:18 et c'est une affaire d'État en tant que telle,
08:19 et on doit s'inquiéter pour les 100 terroristes islamistes qui sortent chaque année.
08:22 Ça c'est un premier point.
08:23 Mais évidemment que plus on avance,
08:25 moins on croit au hasard,
08:27 et on se dit qu'il y a eu un motif,
08:29 une main visible qui a permis...
08:30 - Est-ce que vous pensez que c'est l'État,
08:32 est-ce qu'il y a une volonté de l'État,
08:33 de supprimer Yvan Colonnat ?
08:37 - Je dis que parmi d'où je viens,
08:39 effectivement, on a connu la haine d'État concernant Yvan Colonne.
08:43 J'ai eu d'ailleurs un échange assez tendu, musclé,
08:46 avec Jean Castex lors des auditions,
08:48 où j'ai fait part de la présence de messages
08:50 dont on avait eu connaissance entre préfets en exercice,
08:53 qui disaient qu'il fallait décorer Franck-Alain Gabé,
08:56 au lendemain de la venue de Gérard Lamalin en Corse,
08:58 pendant mars 2022.
09:00 Donc on connaissait la haine d'État,
09:02 on a été confrontés,
09:05 qui empêchait le rapprochement d'Yvan Colonnat en Corse.
09:07 Donc le mobile, la haine d'État existait,
09:09 parce qu'il s'agissait de l'assassinat du préfet Rignac,
09:11 une haine d'État réelle.
09:13 Ça ne fait pas une preuve, évidemment,
09:15 mais eu égard à des faits qui n'auraient jamais dû se réaliser,
09:19 et pendant l'acte, qui sont troublants,
09:22 on ne peut pas exclure cette hypothèse.
09:24 Aujourd'hui, l'hypothèse est sur la table,
09:26 et je serai tenté d'allier qu'elle grandit au fur et à mesure
09:28 qu'on a ces éléments-là qui arrivent.
09:29 - Cette hypothèse, l'État a voulu supprimer Yvan Colonnat,
09:32 grandit au fur et à mesure que vous travaillez ?
09:34 - Quand on dit l'État, je ne pense pas que ça ait été commandité
09:37 par le Président de la République ou par le Premier ministre,
09:39 mais que dans l'État profond, il y ait pu avoir
09:42 des gens qui avaient la haine à un point tel
09:44 que cette hypothèse puisse se réaliser,
09:46 on ne peut pas l'exclure.
09:47 Parce que les faits sont troublants,
09:49 et nous, nous sommes là pour livrer cela
09:51 de manière publique et à travers nos travaux,
09:53 même si nous avons d'autres recommandations à faire
09:55 pour justement la gestion des prisons,
09:56 pour la gestion des terroristes islamistes,
09:58 pour l'évolution du statut du DPS demain,
10:00 qui vont servir pour l'avenir,
10:01 nous sommes là aussi pour faire la lumière,
10:03 et évidemment, nous souhaitons que l'enquête judiciaire
10:05 se saisisse des travaux.
10:06 - Et conclusion au mois de mai ?
10:07 - Conclusion au mois de mai.
10:08 - Bien, et quelle suite après, selon les conclusions possibles ?
10:13 - Dans les suites, recommandations générales
10:15 de la société publique, mais évidemment,
10:17 on se réserve la capacité à l'aide sur le terrain judiciaire.
10:19 Je pense que les avocats de parti civil...
10:21 - Sur le terrain judiciaire, de porter plainte contre l'État ?
10:23 - Évidemment, je pense qu'il y aura sur le plan administratif
10:25 et le plan pénal aussi, je pense,
10:27 des initiatives du côté de la famille Cologne.
10:29 C'est le moins qu'il peut ressortir de ces travaux.
10:33 Et en tout cas, nous souhaitons aussi un constat politique,
10:36 qui sera fait à partir du rapport qui sera amené à produire,
10:39 et qui passera vers le 23 mai devant la Commission.
10:42 - Quel est votre sentiment ?
10:44 - Vous savez, mon sentiment, c'est qu'il s'est passé quelque chose,
10:49 évidemment, du point de vue...
10:52 Ma conviction en moi, c'est qu'on ne peut plus dire
10:55 que ce n'était pas prémédité.
10:57 Et on est en train d'aborder le fait,
10:59 de savoir si ça a été commandité.
11:01 Donc, prémédité, parce qu'il est évident
11:03 qu'on n'est pas face à des tenues qui se sont croisées,
11:05 qui se sont affrontées.
11:07 Donc on voit bien dans l'attitude de Franck Alongabé,
11:09 quand on voit les images, il sait où il va, et ce qu'il fait.
11:11 On le croit de moins en moins à la thèse du blasphème,
11:14 puisque les agents pénitentiaires eux-mêmes,
11:16 mais même les directeurs disent,
11:17 on ne voit pas Yvan Collon blasphémé,
11:19 il n'y a aucun témoignage, sauf l'intéressé,
11:21 qui parle à la thèse du blasphème,
11:23 alors qu'il y a quand même beaucoup d'informations
11:25 dans le logiciel malgré tout, depuis 2014 le concernant.
11:28 Donc à partir de là, effectivement,
11:30 on s'interroge beaucoup sur ces questions-là,
11:33 comme on vient de le faire maintenant.
11:35 - Merci Jean-Félix Aquahuiva.
11:37 - Merci à vous.
11:38 - Merci d'être venu.
11:39 Merci à vous, au mois de mai, pour les conclusions de cette enquête.
11:41 - Merci.
11:42 - Il est 12h25, vous êtes sur Sud Radio,
11:44 pour savoir et comprendre.
11:45 Merci de nous accompagner, 12h25,
11:48 nous sommes avec Philippe David.