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  • 15/03/2023
Retrouvez C'est Votre avenir avec Alexandre Delovane au micro de Trina Mac-Dinh, chaque jour de 16h à 17h sur Sud Radio.
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##C_EST_VOTRE_AVENIR-2023-03-15##
Transcription
00:00 Idealvoyance.fr, coaching de vie spirituelle par téléphone, chat et email présente.
00:06 Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Delovan.
00:11 Bonjour à tous, soyez les bienvenus dans C'est votre avenir.
00:13 Merci d'être avec nous sur Sud Radio.
00:15 On va échanger avec vous pendant cette prochaine heure et vous proposer des pistes de réflexion.
00:20 Si jamais vous avez des doutes sur quelque chose ou sur quelqu'un,
00:23 si jamais vous souffrez d'une situation et si vous appréhendez votre avenir,
00:27 notre coach intuitif, Alexandre Delovan, va vous faire ses prédictions et vous donner ses précieux conseils.
00:32 Bonjour Alexandre.
00:33 Bonjour Trina, bonjour à tous.
00:35 Comment allez-vous ?
00:36 Bonjour et bien, merci.
00:37 Bon, prêt ?
00:38 Même si il y a une alcalmie avec la météo, en tout cas ça va bien.
00:42 Ça fait du bien de voir le temps qui s'améliore un petit peu.
00:45 Pour nous rejoindre et poser vos questions, Alexandre, facile.
00:47 Je vous donne le numéro du standard de Sud Radio, 0 826 300 300.
00:52 Tout à l'heure, on s'intéressera aux liens entre les bagues et le pouvoir de l'intention.
00:56 Et bien sûr, vous retrouverez aussi la superstition du jour et l'ange du jour.
00:59 On démarre avec Adélaïde.
01:01 Bonjour Adélaïde.
01:02 Bonjour Trina, bonjour Alexandre.
01:05 Bonjour.
01:06 Bienvenue.
01:07 Merci.
01:08 Alors, je voulais...
01:12 Mon histoire commence il y a 20 ans.
01:14 Oui.
01:15 J'ai rencontré quelqu'un, je suis restée trois ans avec lui.
01:20 Nous avons eu un enfant et cet enfant, on s'est quitté quand il a eu un an et deux mois.
01:28 Donc, j'en ai eu la garde après de longues procédures.
01:35 J'en ai eu la garde, enfin une garde partagée.
01:37 Si vous voulez, un week-end sur deux, papa.
01:39 C'est cette garde que tout le monde connaît quand on est séparé.
01:42 Normal, quoi.
01:44 Et puis, le père, pas content du tout.
01:46 Il ne voulait pas accepter cette décision.
01:50 Il a saisi un autre tribunal, un autre parquet.
01:53 Et a continué les procédures pour avoir la garde finalement qu'il a gagnée, complètement.
01:58 Une garde...
01:59 Exclusive.
02:00 Exclusive, voilà.
02:02 Et je me suis retrouvée à voir mon petit garçon dans des centres pendant près de huit ans.
02:08 Bon, il est parti vers l'ouest de la France avec lui.
02:14 Et ce n'était pas facile d'aller le voir régulièrement.
02:17 Il n'y avait que deux heures tous les quinze jours.
02:19 C'était très, très éprouvant.
02:22 Et j'ai arrêté d'aller le voir à ses 13 ans.
02:28 Pourquoi ?
02:29 Parce qu'il était devenu un petit peu comme son père.
02:32 Il me faisait des réflexions, des choses qui me faisaient trop mal.
02:35 Je suis assez sensible comme personne.
02:37 Et surtout, je me suis dit que je ne peux pas continuer à le voir dans des conditions pareilles.
02:43 Je lui ai dit que je lui écrirais.
02:46 Puis c'était loin aussi.
02:47 Ce n'est pas toujours facile à faire.
02:49 Et donc, je lui ai proposé de ne pas l'abandonner.
02:54 Ça, c'est sûr, je l'ai toujours dit que je l'aimais.
02:56 Les procédures ont duré douze ans pour que je puisse juste le voir.
03:02 Pour que je puisse juste le voir ces quelques heures.
03:06 Et encore, il y a eu des moments où on ne s'est pas vu pendant deux ans.
03:09 Il était tout petit.
03:10 Donc, c'était compliqué.
03:11 Tout ça à cause des procédures.
03:13 L'éthique judiciaire n'est pas totalement...
03:16 Je le juge un peu méchamment.
03:18 Il n'est pas au point.
03:20 Il se trouve qu'on était toujours heureux de se revoir.
03:24 Mais c'était très difficile au niveau émotionnel.
03:27 Et quand je lui ai dit qu'à ses 13 ans, j'arrêtais, que je continuais à l'écrire,
03:33 je ne pouvais pas lui téléphoner puisque c'était compliqué.
03:36 Je n'ai jamais pu lui téléphoner.
03:38 Et personne ne voulait parler.
03:39 A son père.
03:40 Et du coup, on avait très peu de dialogue.
03:44 Et quand il a eu...
03:47 Je ne l'ai pas vu depuis qu'il a 13 ans.
03:50 Et j'ai pensé qu'à ses 18 ans,
03:53 qu'il viendrait vers moi, qu'il serait heureux de me voir
03:57 et qu'on pourrait refaire connaissance autrement.
04:00 - Et il a quel âge aujourd'hui ?
04:01 - Il devrait avoir 20 ans, à la fin de l'année.
04:04 - Et vous ne le voyez toujours pas ?
04:06 - Non, et ce qui est difficile, c'est qu'il y a eu quelques dialogues depuis qu'il a 18 ans.
04:11 Mais c'était plutôt des reproches.
04:14 Et il est assez violent quand même avec moi.
04:17 Il n'a pas beaucoup de respect.
04:19 Je ne pense pas qu'on le lui a appris.
04:21 Il croit que c'est moi la responsable de tout.
04:24 Et je n'y arrive pas.
04:27 Je...
04:29 Excusez-moi.
04:31 - Non mais on comprend, il n'y a aucun problème.
04:33 Quand vous dites que votre fils vous disait des choses qui vous faisaient trop mal,
04:37 sur quoi exactement ?
04:40 Qu'est-ce qu'il abordait qui vous faisait souffrir ?
04:43 - Alors en fait, ce qui me faisait souffrir, c'est que...
04:47 Je suis...
04:49 Quand c'est comme ça compliqué,
04:51 il y a des demandes d'expertise psychiatrique et psychologique.
04:55 Et bon, j'en ai fait plein.
04:58 Voilà, j'ai dû en faire beaucoup
05:00 pour pouvoir justifier de ce qu'on me disait,
05:05 qu'il ne collait pas à ma vraie réalité.
05:08 Puisque j'étais agent commercial,
05:11 que je suis toujours, j'ai toujours cette place,
05:14 dans une boîte aéronautique.
05:16 Donc, enfin, une entreprise.
05:19 Et donc j'avais un rapport au...
05:22 Oh, pardon.
05:25 A tout ce qui était personne.
05:28 J'ai des contacts avec des personnes.
05:32 Et je n'avais pas de soucis avec ça.
05:35 Je n'ai jamais eu de problème de relationnel ni avec les enfants.
05:40 J'ai jamais eu de problème.
05:43 Et mon fils, il est...
05:45 Il est salué.
05:47 On l'a mis entre les mains.
05:49 Là, j'y suis présente.
05:51 Et donc ça a été compliqué pour moi de l'entendre me dire des choses
05:55 qui me sont... Et pourtant, il m'a pourtant souvent dit
05:58 "Non, non, maman, t'es pas folle, je le vois bien."
06:01 - Dans ce cas-là, il est peut-être influencé par le père.
06:04 Vous allez peut-être aussi le ressentir.
06:06 Alexandre, est-ce que selon vous, Adelaïde va pouvoir se rapprocher
06:11 de son fils à nouveau dans l'avenir ?
06:14 - Alors, Adelaïde, déjà, votre témoignage est assez fort.
06:17 Et de ce qu'on entend et de ce que vous témoignez,
06:20 on a le sentiment qu'on vous a pris un petit peu votre fils.
06:23 Et aujourd'hui, il y a une souffrance.
06:26 Et je pense que vous en ressortez avec une fragilité psychologique.
06:30 Et même si la justice, vous l'avez trouvée dure avec vous,
06:35 eh bien, c'est un combat.
06:37 Et aujourd'hui, votre fils a 20 ans.
06:39 Et les résultats ne sont pas ceux que vous auriez aimés,
06:42 que vous auriez souhaités.
06:44 Et ça, malheureusement, vous ne pourrez pas revenir en arrière.
06:48 Et ce qui est fait est fait.
06:50 Pour moi, je crois vraiment, et même si je vous parle avec beaucoup de recul,
06:56 avancer vers un avenir serein, vers un avenir beaucoup plus optimiste.
07:04 Parce que je pense qu'aujourd'hui, votre fils, lui, il est adulte.
07:09 Il est en âge de pouvoir lui-même se faire sa propre raison,
07:14 de faire aussi son analyse.
07:17 Et puis, aujourd'hui, vous n'êtes plus dans cette même, je dirais,
07:21 tourmente juridique, administrative, comme vous l'avez été auparavant,
07:26 et durant lesquelles votre fils était sous la prise en charge de son père.
07:31 Alors, oui, il y aura une amélioration.
07:33 Je pense qu'il y aura une amélioration.
07:35 Je ne vous dis pas ça pour essayer de vous donner de faux espoirs.
07:38 Mais je pense qu'il y aura une amélioration.
07:40 Mais je crois vraiment que, même si votre fils connaît les raisons
07:48 pour lesquelles vous avez été absente pendant toutes ces années,
07:51 que vous n'avez pas pu apporter l'éducation que vous auriez voulu lui apporter,
07:56 mais lui aussi a peut-être ses blessures, a peut-être sa souffrance.
08:00 Et même s'il y a eu influence et manipulation avec la partie adverse,
08:06 je crois que lui a besoin peut-être de se réaliser en tant qu'homme,
08:11 en tant qu'individu, en tant qu'homme, dans sa vie peut-être aussi sociale,
08:17 familiale et sentimentale.
08:20 Et à partir de là, j'ai vraiment l'impression que ce sera une personne extérieure,
08:25 en dehors de la famille, qui l'amènera à raisonner autrement
08:29 et à accepter peut-être un rapprochement avec vous.
08:33 En attendant, et de ce que je ressens aussi pour vous,
08:37 peut-être qu'il serait un bien et peut-être positif d'écrire votre histoire.
08:42 Parce que votre histoire, même si vous la racontez,
08:46 dans l'impact et dans l'inconscient, ça aura un impact différent que si vous l'écrivez.
08:55 - Oui, ça résonnera autrement.
08:57 - Bien sûr, ça va résonner autrement.
08:59 Et donc n'hésitez pas à l'écrire, de manière à ce qu'à un moment donné,
09:04 peut-être votre fils puisse en avoir connaissance,
09:07 et puis il puisse s'en souvenir aussi dans quelques années ou autres,
09:12 et que ça puisse aller vers son processus de guérison,
09:16 vers un cheminement de paix, et pour pouvoir vous retrouver.
09:20 Maintenant, et dans la finalité de tout ça, je sens qu'il y a une amélioration à venir,
09:25 que la relation familiale va se rapprocher,
09:29 qu'il y a, je dirais, un sentiment d'acceptation, de pardon aussi.
09:35 Alors peut-être pas d'un pardon dans son intégralité, dans sa totalité,
09:39 mais il y a quelque chose de mieux.
09:41 Mais ce qui est très important pour vous, et je crois que vous avez mené un combat,
09:45 parce que même si vous n'avez pas pu obtenir ce que vous voulez,
09:49 mais vous avez tenu pendant toutes ces années ce combat,
09:52 autant sur un combat psychologique que physique,
09:55 et ça, lui-même sera à même de pouvoir le juger,
09:59 de pouvoir aussi en faire sa propre analyse.
10:02 Et aujourd'hui, restez confiante sur la capacité à ce que la relation aille mieux,
10:09 parce que vous avez, je dirais, semé quelque chose,
10:13 vous avez essayé de laisser une empreinte à cette relation familiale,
10:20 et vous ne l'avez pas abandonné.
10:22 Donc pour moi, il y a quelque chose de bon et de positif dans l'avenir.
10:27 Et je ne vous dis pas ça pour faire de l'accomplisance,
10:29 c'est ce que je ressens vraiment.
10:30 - D'ici combien de temps ça peut reprendre ?
10:32 - Oh, c'est pas tout de suite, il faut encore du temps.
10:35 Je ne pourrais pas donner de date exactement, parce que je n'ai pas envie.
10:39 - C'est compliqué.
10:40 - Voilà, c'est compliqué, mais c'est par vague.
10:42 C'est-à-dire que par moment, il peut avoir un sentiment de s'approcher de vous,
10:48 et après, pof, il recule.
10:50 Et puis l'âge de la maturité, de l'expérience de la vie aussi,
10:54 où on s'aperçoit que parfois, on a décidé de prendre notre vie en main de cette manière-là,
10:59 et puis la vie nous amène sur d'autres chemins et sur d'autres choix.
11:04 Donc c'est la maturité, son expérience,
11:07 qui va faire qu'à un moment donné, il y aura un méa culpa sur pas mal de choses.
11:11 - En tout cas, quand vous dites que c'est par vague,
11:14 effectivement, depuis qu'il a 16 ans à peu près, il y a eu des moments,
11:19 mais c'est par vague.
11:20 Il m'a dit qu'il voulait me revoir, et là, je n'ai plus de nouvelles.
11:24 Je n'ai plus rien, pas de réponse.
11:26 Et j'aimerais beaucoup le revoir.
11:28 Vous ne pouvez pas imaginer à quel point je l'aime.
11:30 - Je comprends Adélaïde, mais vous savez, il a souffert lui aussi,
11:34 toutes ces années, et aujourd'hui, il a besoin peut-être de penser à lui.
11:38 C'est-à-dire qu'il sait que vous existez, et le plus important, c'est que vous existez.
11:42 Et je crois que c'est lui qui a besoin aujourd'hui de penser à lui,
11:47 de se construire pour après arriver en force.
11:50 Et il n'a peut-être pas envie aujourd'hui d'être affaibli,
11:54 de pleurer dans vos bras, de vous voir pleurer aussi.
11:57 C'est peut-être aussi... - Il se protège aussi.
12:00 - Oui, il se protège, et c'est peut-être aussi respectable.
12:02 Donc, il ne ferme pas la porte.
12:05 Il vous a dit qu'un jour, il voudra accepter cette rencontre,
12:09 donc il ne ferme pas la porte, donc c'est bon signe.
12:12 - Et vous le ressentez de toute façon. - Voilà.
12:13 Et faites confiance en cet avenir.
12:15 Le plus dur est passé, et maintenant, reste à pouvoir avoir des jours meilleurs.
12:21 - Courage ! Courage Adélaïde.
12:24 - Merci beaucoup. - Tenez le courant de Néné de Bonneauvelle.
12:27 - Et oui, je vous tiens là au courant.
12:30 Et puis, on m'a souvent dit d'écrire cette histoire, parce qu'elle est incroyable.
12:35 Je ne peux pas vous en parler, mais il y a vraiment beaucoup de choses qui se sont produites.
12:40 - Machette-le. - Oui, ça sera libérateur aussi.
12:44 - Et j'allais dire, il y a beaucoup de gens importants qui ont été dans cette histoire aussi,
12:49 et je n'ai pas trouvé l'aide nécessaire, parce que la justice est difficile.
12:54 - Et surtout, beaucoup de gens peuvent se reconnaître aussi dans votre histoire.
12:58 - Tout à fait. - Donc, c'est important de l'écrire.
13:00 Et je pense que vous en parlez avec beaucoup d'authenticité, avec beaucoup de vérité.
13:04 Donc, c'est important de le faire.
13:07 - Ça ne pourra vous faire que du bien, de toute façon.
13:10 - Et continuer votre vie en y mettant des notes d'espoir.
13:14 - Merci beaucoup. - Par contre, je finirais par...
13:17 J'ai réussi quand même à retrouver une vie pleine d'amour.
13:22 Et ce que je ne pensais pas du tout, parce que ça a été compliqué,
13:26 j'étais 10 ans toute seule pour me battre pour ce petit garçon.
13:31 Et puis, je voulais juste dire que finalement, quand on se bat avec la foi et l'amour,
13:37 on arrive quand même à avoir des bons résultats.
13:40 Alors, pour l'instant, effectivement, j'ai encore ce petit garçon qui a grandi, bien sûr,
13:46 qui manque à tous bonheur. Voilà.
13:49 - Et ça va venir. - Exactement.
13:51 - Merci beaucoup. Ne lâchez rien à des leïves. - Laissez briller ce soleil qui est en vie.
13:54 - A bientôt. Merci beaucoup. - Merci beaucoup. Au revoir.
13:57 - Allez, on va s'intéresser dans un instant au lien entre les bagues et le pouvoir de l'intention.
14:01 Et on attend vos questions pour Alexandre. 0826 300 300. A tout de suite.
14:05 - Sud Radio, c'est votre avenir, le sujet du jour.
14:08 Trina, vous allez nous parler aujourd'hui des bagues et de son pouvoir de l'intention.
14:12 - Oui, les bagues ont une signification particulière suivant le doigt sur lequel vous les portez.
14:16 Elles vous permettent même de booster vos intentions.
14:18 On en a déjà souvent parlé dans l'émission.
14:20 Il est important d'activer le pouvoir de l'intention en restant positif,
14:23 en pratiquant la visualisation, etc. Mais on peut aussi le booster en utilisant les bagues.
14:28 - Ah oui, quand vous partez par exemple en voyage avec votre amoureux,
14:32 et puis il vous offre une bague, là il a une intention.
14:35 - C'est l'idéal. - Ah ben c'est l'idéal. Et c'est quelle intention, justement ?
14:38 - Ah ben celle-là, c'est la meilleure. - C'est la meilleure. Vous l'avez déjà vécue ?
14:42 - Euh... Non. - Ah bon ? - Pas avec un voyage.
14:45 - Ah bon ? - Pas une bague plus un voyage, non.
14:48 - Ah... Bon, d'accord. - Vous me faites une prédiction, peut-être ?
14:51 - Oui, peut-être bien. Alors, à quel doigt porter ces bagues ?
14:54 - Alors, d'abord vous devez choisir la main qui vous correspond le mieux.
14:57 La main droite correspond à l'énergie masculine, au passage à l'action, à la mise en place.
15:01 Et la main gauche, c'est l'énergie féminine, l'intuition et la créativité.
15:05 Si vous portez une bague au pouce, ça renforcera la positivité, l'optimisme et la volonté.
15:10 Si vous la portez à l'index, ça vous aidera à gagner une confiance en vous,
15:14 vous aurez plus d'ambition et moins de mal à prendre des décisions.
15:18 Si vous portez une bague au majeur, ça permettra un plus grand sens de la justice,
15:22 plus de discernement et plus d'audace.
15:24 Si vous la portez à l'annulaire, le doigt de l'amour, c'est un symbole d'engagement
15:28 envers autrui et envers soi-même.
15:30 C'est aussi en lien avec la beauté et ça aide à la créativité.
15:33 Et enfin, si vous portez une bague à l'auriculaire, vous aurez plus d'intuition
15:37 et ça vous aidera à la communication puisque c'est le doigt de l'éloquence, de la persuasion.
15:41 Vous en avez, vous, Alexandre ? - Oui.
15:43 - Aux deux annulaires. - Aux deux annulaires, oui, effectivement.
15:46 C'est pour renforcer mes phalanges. - Oui.
15:49 - Je me laisse tendre. - J'ai eu peur.
15:50 Et pour info, les grosses bagues symboliseraient un désir d'affirmer sa personnalité et de dominer,
15:55 alors que les petites bagues discrètes représenteraient une personnalité plus réservée
15:58 et à l'écoute des autres.
16:00 Les vôtres sont moyennes. - Non, elles sont moyennes.
16:02 J'en ai mis plusieurs comme ça pour renforcer mon personnalité, voyez ?
16:06 - D'accord. - Comme ça, pour ne pas dire que c'est une grosse bague.
16:09 Il y en a plusieurs. - D'accord.
16:11 - Ça vous va ? - Oui, ça me va.
16:12 - Vous avez fait l'inventaire de mes doigts ? - Ça va.
16:14 - Très bien. Antonin, nous avons le choix.
16:16 - Vous me direz à quel moment vous avez vécu cette histoire de voyage et tout ça.
16:21 - C'est une prédiction. - Ah bon, d'accord.
16:23 - Hum. - C'est bizarre.
16:25 - D'accord. Bon. Bonjour Antonin.
16:28 - Bonjour Trina, bonjour Alexandre. - Bonjour.
16:30 - Bienvenue dans l'émission. - Merci à vous. Vous nous appelez d'où ?
16:33 - Je vous appelle du Deux-Frances. - Très bien.
16:35 - Évidemment, une annulaire à la main gauche. - Ah, voilà.
16:38 - Par un anneau. - Vous êtes mariés.
16:40 - Exactement. - Et justement, c'est dans le couple qu'il y a des petits soucis.
16:43 - Exactement. Ça va peut-être résonner par rapport à mon propos et mon questionnement que j'ai auprès d'Alexandre.
16:49 Donc voilà, dans ma situation, je suis marié depuis une quinzaine d'années, en couple depuis plus de 23 ans précisément.
16:56 Et le temps, deux enfants ont fait leur travail et les liens se sont un peu distendus avec mon épouse.
17:04 De cela, se sont venus se greffer des soucis de santé de mon côté et puis des soucis familiaux du côté de mon épouse.
17:14 Donc on s'est rendu compte qu'il y avait des difficultés dans notre couple.
17:18 Donc on a consulté un spécialiste, une thérapeute de couple, il y a six mois.
17:23 Mais la situation s'enlise, on ne voit pas le bout du tunnel en fait.
17:27 Donc voilà, d'où ce questionnement, savoir si c'est quelque chose de conjoncturel et qu'on va voir le bout du tunnel proche,
17:37 ou si c'est plus structurel et dans ce cas-là, il va falloir envisager autre chose.
17:41 - D'accord. Vous avez déjà parlé de séparation, tous les deux ?
17:44 - Oui, on l'a évoqué. On l'a évoqué, il est parti entre guillemets du champ des possibles.
17:48 Mais ce n'est pas ce qui nous intéresse. Voilà, on veut donner une chance à notre couple.
17:53 - D'accord. Alors, Alexandre, est-ce que selon vous, il y a encore un avenir pour ce couple ?
17:58 - Eh bien oui. Il y a de l'avenir. Alors pour moi déjà, j'ai essayé de regarder un petit peu s'il y avait du sentiment.
18:04 Il y a du sentiment entre vous. Après, il y a des petits soucis de communication, des soucis de confiance aussi.
18:11 Et puis, je crois que votre relation durant toutes ces années a été parsemée de fragilité, de difficultés.
18:18 Mais ça peut être lié à des difficultés aussi extérieures.
18:23 Et donc, pour moi, j'ai vraiment cette impression et ce sentiment que vous avez besoin tous les deux peut-être de prendre du recul
18:31 pour pouvoir peut-être vous poser et réfléchir sur l'avenir de votre histoire.
18:37 Et réfléchir aussi peut-être à un autre mode de vie.
18:42 Alors, je ne sais pas s'il s'agit de carrément changer d'habitation et peut-être même de département ou de ville ou autre.
18:50 Mais j'ai l'impression qu'un renouveau dans votre vie risque de se faire et de se mettre en place.
18:56 Et c'est ce qui donnera la possibilité à une nouvelle chance, à une nouvelle organisation
19:05 et aussi à une nouvelle réalisation ensemble concernant votre histoire.
19:10 Donc, pour moi, il y a de l'amélioration et je crois vraiment que cette amélioration peut très bien se mettre en place à partir de la fin de l'été 2023.
19:23 Et avant cet été, il y aura cette période de remise en question.
19:27 Mais je sens que le couple n'est pas pour autant terminé.
19:31 - Tant mieux, on garde espoir comme ça.
19:33 Merci Antonin d'avoir été avec nous sur Sud Radio.
19:35 Et on vous attend voici sur 826.300.
19:38 Bonne énorchie.
19:40 De retour dans "C'est votre avenir", toujours avec notre coach intuitif, Alexandre Delovane, ici présent, qui répond à toutes vos questions.
19:46 A quel numéro ?
19:47 - Au 0826.300.300
19:49 - On va voir Véronique dans un instant.
19:51 Mais d'abord, c'est la superstition du jour.
19:53 - Et oui Trina, alors vous savez qu'en Alsace, il existe un oiseau emblématique au plumage blanc et noir,
19:59 avec un long bec rouge voire orangé, qui niche sur les cheminées des maisons.
20:04 Ça vous parle ?
20:05 - Non.
20:06 Il s'agit de la cigogne alsacienne.
20:08 Elle fait partie de l'imagerie populaire depuis bien longtemps, depuis des siècles.
20:13 Et c'est au mois de mars que la cigogne fait son grand retour dans nos régions de France.
20:18 Alors, dans sa symbolique et sa superstition, avoir une cigogne près de chez soi, ou chez soi,
20:24 est un signe porte-bonheur sur la cheminée, même si ça nous empêche de faire des feux.
20:29 Mais bon, voilà.
20:31 Mais il y avait également une dimension toute symbolique,
20:35 voire même religieuse à ça,
20:38 puisque les cigognes sont associées à l'élément air.
20:41 Elles volent haut dans le ciel, et donc dans les croyances ancestrales, elles seraient plus proches de Dieu.
20:48 À l'instar des autres oiseaux, comme les hérons, les grues, les cygnes, les pans,
20:53 les cigognes dominent tous les autres oiseaux, puisqu'elles volent encore plus haut.
20:58 - Je ne sais pas.
20:59 - En Moyen-Âge, moi non plus.
21:00 Je n'ai jamais volé à la même hauteur qu'une cigogne.
21:04 - Remarquez, ça ne m'étonne pas comme elles amènent les bébés. C'est pour ça.
21:07 - Oui, exactement.
21:09 Au Moyen-Âge, la présence d'une cigogne sur le toit d'une maison était un signe de protection contre les incendies redoutés.
21:19 Pourquoi ? Parce qu'il y a une histoire très ancienne qui date de 1707 à Strasbourg,
21:31 et lors du chantier de la cathédrale, il y a eu un violent orage.
21:36 La foudre a frappé sur ce sanctuaire qui était en construction à l'époque,
21:40 et les ouvriers craignaient pour leur vie.
21:43 Donc, ils ont refusé de continuer à travailler en laissant le chantier à l'abandon.
21:48 Jusqu'à ce qu'un couple de cigognes décide de nicher sur ces échafaudages.
21:53 Et depuis, ce symbolique fut interprété comme un signe de protection.
21:58 Et les ouvriers ont donc repris le travail en toute confiance.
22:02 - Ah, c'est bien de le dire. D'accord.
22:03 - Les anciens sensibles aux bulletins météo vous diront que si la cigogne se tient sur une patte,
22:10 c'est comme vous savez les flamants roses, parfois elles se tiennent sur une patte,
22:14 c'est un signe de grand froid.
22:17 Après, il y a une explication à ça, c'est qu'elles se tiennent sur une patte pour se reposer,
22:22 pour reposer l'autre patte.
22:24 Si elles claquent du bec, la cigogne annonce une journée ensoleillée.
22:31 Alors, là, claquer du bec, c'est aussi un signe de communication avec les autres.
22:37 - Oui, avec les autres, bien sûr.
22:38 - Et vous savez que c'est en août ou en septembre que cet oiseau quitte l'Europe
22:43 pour s'envoler en direction de l'Afrique.
22:45 Alors, j'étais un petit peu plus loin dans la recherche,
22:47 parce que je trouvais ça très intéressant.
22:48 Et puis, on se passionne par cet animal.
22:50 - C'est fait.
22:51 - Exactement, parce que vous savez qu'au Moyen-Âge, avant, on l'a mangé
22:54 et c'est devenu un aliment qu'on a respecté de par toute sa symbolique.
23:02 Et la vitesse d'une cigogne de vol dans ses pointes,
23:08 elle est à 45 km/h et elle peut voler jusqu'à 4 500 mètres,
23:13 presque aussi haut que le Mont-Blanc.
23:15 - Ah, mais c'est incroyable !
23:16 - Elle vole très haut.
23:17 - Ah oui, oui. Et si on voit un nid de cigogne,
23:20 est-ce que ça apporte bonheur, par conséquent ?
23:22 Ou pas forcément ? J'en ai vu un dimanche.
23:24 - Oui, oui.
23:25 - J'ai vu un énorme nid d'oiseau, j'en avais jamais vu un aussi gros,
23:29 et je viens de vérifier, ça ressemblait vraiment à ça.
23:32 - Écoutez, oui, ça peut porter de bonheur,
23:34 mais l'avoir à côté de chez soi ou chez soi, c'est le bonheur assuré.
23:38 - C'était près de chez moi en plus, donc tant mieux.
23:40 - Alors peut-être que comme souvent il y a une concentration de cigognes en Alsace,
23:44 il y en a beaucoup aussi en Charente et dans la Vendée.
23:46 Ça veut dire que dans ces régions-là, ils ont plus de bonheur que nous ?
23:50 - Non, c'est pas possible.
23:51 - Non, c'est pas possible.
23:52 - Nous c'est les corbeaux qu'on a ici.
23:53 - Super, les pigeons.
23:54 On retrouve Véronique. Bonjour Véronique.
23:57 - Bonjour Prima, bonjour Alexandre.
23:59 Merci de me recevoir et merci pour vos émissions.
24:02 - Merci Véronique. Vous nous appelez d'où ?
24:05 - Du Gers.
24:06 - Très bien. Alors vous vous interrogez sur votre avenir sentimental,
24:10 votre mari est décédé, c'est ça ?
24:12 - Il est décédé le 23 mars 2015, de façon brutale, inexpliquée.
24:18 Et à partir de là, pendant 7 ans, j'ai vécu dans un musée.
24:24 La maison n'a pas bougé d'Iota pendant toutes ces années.
24:26 Je ne dormais plus dans notre ligne, dans notre chambre, mais sur le canapé.
24:29 J'allais juste au travail, travail-maison, de façon automatique, sans plus.
24:37 Et puis l'année dernière, au mois de mars, mes petites filles sont devenues autonomes.
24:43 Elles sont grandes, majeures, vaccinées maintenant.
24:45 Elles ont des situations, donc je n'avais plus de raison de m'inquiéter pour elles.
24:50 Et puis j'ai dit que je vais aller voir la vraie vie, un peu ce que c'est devenu maintenant.
24:54 Alors que je pensais qu'à rejoindre mon compagnon.
24:58 Et puis là, j'ai rencontré un homme, comme d'habitude, comme tous,
25:05 beaucoup plus jeune que moi. Je suis là vraiment très, très...
25:08 Il a l'âge de mon fils, en fait.
25:11 Et c'était quelque chose d'imprévu, complètement.
25:17 Sauf que c'est allé vite. Il allait vite, vite, vite. Et très, très, très...
25:23 - Trop vite. - Je ne sais pas.
25:25 Trop vite pour moi. Je n'étais pas habituée à ça.
25:27 Moi, j'ai toujours pris mon temps, même avec mon compagnon.
25:30 On avait passé plus d'un an et demi, deux ans.
25:32 Lui était aux États-Unis à ce moment-là. J'allais le rejoindre régulièrement.
25:36 On avait le temps de voir les choses.
25:38 Et là, il a voulu aller vite, vite, vite.
25:40 Au mois d'août, il est venu s'installer chez moi, puisque j'ai une maison.
25:43 Il n'y a pas de loyer à payer ni rien.
25:45 Et puis à partir de là, il a commencé à me demander de faire de la place.
25:50 C'est-à-dire, j'ai enlevé toutes ses affaires à mon ancien compagnon,
25:54 qui était toujours là. - D'accord.
25:56 - Toutes ses affaires étaient encore là. J'ai enlevé ses affaires.
25:59 Ça n'a pas été facile. J'ai beaucoup pleuré.
26:02 - J'imagine.
26:03 - Et...
26:05 Cet homme est très, très...
26:09 Je le cite d'une certaine façon, il a une facilité à pleurer assez incroyable.
26:14 - Hum-hum.
26:16 - Je pense qu'il m'aime, vraiment.
26:18 C'est impressionnant, parce que franchement...
26:20 Bon, enfin, bon.
26:22 - Et alors, en fait, c'est ça...
26:24 - La différence d'âge m'a fait beaucoup réfléchir.
26:26 Mais bon... - Mais l'amour n'a pas d'âge.
26:28 - Oui, je sais. - Oui, oui.
26:30 - J'ai vécu ça tout le temps, donc je sais.
26:32 Mais à ce point-là, ça me vaut beaucoup plus.
26:34 Mais c'est pas ça, le problème.
26:36 C'est qu'un jour, il a fait un mélange d'alcool et de médicaments
26:39 de façon irréfléchie,
26:41 parce qu'on n'a pas calculé qu'il avait pris des médicaments spécifiques.
26:44 Et là, ça a été une catastrophe,
26:47 parce qu'il a complètement décroché du monde réel.
26:51 Il est devenu violent.
26:53 Mais il était dans un autre monde.
26:55 Ça, je le certifie, il était dans un autre monde.
26:57 Et là, il y a une chose qui s'est renouvelée,
26:59 quelques mois plus tard,
27:01 sous l'effet de l'alcool.
27:03 - D'accord. - Enfin, pas vraiment une grande quantité,
27:05 mais sous l'effet de l'alcool,
27:07 il est redevenu violent.
27:09 - Donc en fait, vous êtes encore ensemble aujourd'hui ?
27:11 - Eh oui. - Et votre questionnement est lequel ?
27:14 - Mais je sais pas du tout où je vais.
27:16 Je sais même pas si j'ai vraiment envie de ça.
27:18 Je sais pas du tout le genre de vie que j'avais avant.
27:21 Et au contraire, c'était très, très simple avec mon compagnon.
27:24 Les choses étaient très simples.
27:26 Il m'a pas toujours de confiance.
27:28 Mais en fait, je crois qu'il a pas confiance du tout.
27:30 - D'accord. Oui, ça peut s'expliquer aussi comme ça.
27:34 Alexandre, selon vous, est-ce que ce couple peut fonctionner quand même ?
27:37 - Alors, moi, je vais vous dire, et très sincèrement, Véronique,
27:40 n'acceptez pas la violence.
27:42 - Ah, mais ça, c'est une certitude. - Pour qui que ce soit,
27:44 je pense que l'amour n'est pas lié à de la violence.
27:47 - Bah non. - Et donc, même si
27:49 cette personne s'abandonne au travers de l'alcool ou autre chose,
27:53 ça lui appartient.
27:55 Enfin, je veux dire, sans problème, non, mais ça lui appartient.
27:58 Mais en attendant, pensez à vous, à vous protéger.
28:01 Et je crois que nous pouvons vivre une véritable histoire d'amour
28:06 sans pour autant être sous l'effet d'addiction,
28:11 de choses comme ça, ou en tous les cas, de violence.
28:14 Donc, quoi vous dire ?
28:17 Vous dire de continuer avec cet homme
28:20 qui commet des actes qui sont un peu douteux ?
28:24 Non, je ne peux pas vous dire ça.
28:26 Et pour moi, prenez, je dirais, du recul
28:29 et soyez dans cette notion de rigueur,
28:33 aussi de détermination,
28:35 jusqu'à ce que son comportement soit correct envers vous,
28:40 mais sûrement pas avec de la violence.
28:43 Ensuite, est-ce que cette histoire va fonctionner ?
28:46 Est-ce que vous avez autre chose qui vous attend ?
28:48 Pour moi, je ne veux pas vraiment vouloir vous sortir
28:52 et vous influencer à quitter cet homme.
28:54 Mais oui, il y a une continuité pour l'instant,
28:57 parce qu'il y a de l'attachement, il y a du sentiment.
29:00 Et puis aussi, il ne faut pas oublier que vous avez perdu votre ex-compagnon.
29:04 Donc, vous vous rattachez à un nouvel espoir aussi,
29:07 au-delà du sentiment.
29:08 Donc, ça vous est difficile d'accepter
29:11 et de penser qu'à un moment donné, vous vous êtes trompé.
29:14 Donc, pour moi, il y a vraiment cette continuité.
29:18 Mais vous verrez que sur le long terme,
29:21 la relation ne semble pas vouloir ou ne semble pas perdurer.
29:25 Donc, protégez-vous là aussi,
29:28 s'il s'installe chez vous,
29:30 de manière à ce que ça ne soit pas trop compliqué.
29:32 Parce que dans une période d'à peu près un an et demi,
29:35 vous serez face à un changement de situation affective
29:39 avec une nouvelle rencontre.
29:41 D'accord, pensez à vous surtout.
29:42 Véronique, protégez-vous. À bientôt.
29:44 Allez, on passe maintenant à l'ange du jour, Alexandre.
29:46 Quel ange se célèbre le 15 mars ?
29:48 Alors, ce 15 mars, déjà, c'est la Sainte Louise.
29:51 Bonne fête à toutes les Louises.
29:52 Voilà, bonne fête.
29:53 L'ange qui gouverne cette journée, c'est Yé-Ya-Yel.
29:57 Il apporte la joie de vivre.
29:58 Il vous donne la possibilité de l'élévation sociale.
30:01 Il vous protège dans vos échanges.
30:03 Et sa formule d'invocation essaie de dire que
30:05 Yé-Ya-Yel apporte un éclaircissement sur le chemin à prendre.
30:09 Pour faire une bonne invocation, vous pouvez lui visualiser avec la couleur corail.
30:14 Alors, c'est une pierre...
30:16 Ben non, mais oui, sa pierre de chance, c'est le nacre.
30:19 On aurait pu penser au corail, mais non, c'est la nacre.
30:22 Excusez-moi, j'ai mes yeux qui ont fourché, enfin, vous voyez, qui ont sauté de lignes.
30:27 Il y a l'âge aussi qui est là.
30:29 Oh non, vous avez 20 ans, je me rappelle.
30:31 Oui, et plus 2.
30:34 Alors, dans le symbolisme, la nacre est censée évoquer des vertus maternelles par son aspect laiteux.
30:42 Alors, c'est une pierre féminine et protectrice.
30:44 Elle est censée prévenir des difficultés de l'existence, des blessures du cœur aussi.
30:49 Alors, ce minéral possède d'autres vertus et bienfaits, agissant en symbiose sur le corps et l'esprit.
30:55 Elle apaise également les colères, les tensions provoquées par le stress quotidien.
31:00 Et elle se recharge sur un hamas de quartz ou d'amethyst.
31:04 Elle se recharge bien en la mettant sur ça.
31:07 Petit anniversaire du jour ?
31:09 Pourquoi petit ?
31:10 On va lui souhaiter un grand anniversaire à Eva Longoria.
31:14 Ah oui ? Et bien un souvenir ?
31:16 Non, je n'ai pas trouvé. Il n'y a pas de souvenir.
31:18 Bon, allez, on retrouve Inès. Demande de souvenir.
31:21 Oui, oui.
31:23 Bonjour Inès.
31:24 Bonjour.
31:25 Bienvenue.
31:26 Bonjour, Cécile.
31:27 Bonjour Alexandre. Je vous remercie de me recevoir.
31:30 Merci à vous.
31:31 Alors, vous avez, si j'ai bien compris, suivi votre mari pour une opportunité professionnelle.
31:35 Et vous vous regrettez un peu, enfin vous vous posez des questions en tout cas.
31:38 Oui, beaucoup. En fait, il y a cinq ans, nous avons quitté notre région d'origine, le Nord.
31:45 Nous installions dans le Sud-Ouest. C'était suite à une opportunité professionnelle de mon mari.
31:50 Et j'ai donc démissionné d'un poste de travail où, en fait, je venais de recevoir quelque part une opportunité encore plus puce.
32:01 J'étais cadre supérieur et je me suis dit, c'est tout, je démissionne et je le suis.
32:08 Et depuis cinq ans que je suis dans le Sud-Ouest, je ne cumule que des petits contrats saisonnés.
32:14 Je suis un peu l'employée à tout faire.
32:17 Je ne remonte pas la pente. Je ne comprends pas.
32:21 Et mon mari, qui est aujourd'hui travailleur indépendant, fait un peu de souci parce qu'il a des revenus réguliers.
32:28 Moi, je ne permets pas financièrement d'être à la hauteur de tout aussi.
32:35 Et voilà, de cette situation de précarité, je me pose la question.
32:41 Est-ce qu'un jour je vais retrouver un emploi stable comme j'avais avant ou pas ?
32:47 Dois-je accepter la précarité ou pas ?
32:50 J'ai 52 ans, c'est également complexe.
32:56 Est-ce que vous envisagez éventuellement de retourner dans le Nord ?
33:00 C'est quelque chose dont vous parlez ensemble ?
33:03 Alors, je vais être franche avec vous.
33:06 Depuis un certain temps, nous ne prévoyons pas d'aller dans le Nord.
33:11 Parce que depuis un an, les parents de mon mari ont déménagé pour nous, pour s'installer dans le Sud.
33:18 D'accord. Ce qui est compliqué aussi.
33:21 Vous comprenez ?
33:23 Oui, tout à fait. Alexandre, comment ça peut évoluer selon vous ?
33:28 D'un point de vue professionnel, c'est bien ça votre question.
33:32 Oui, globalement du coup, par conséquent.
33:35 Alors, écoutez, c'est très étrange.
33:38 Je vais quand même vous demander de me donner une couleur, s'il vous plaît.
33:41 Le rouge.
33:45 Le rouge.
33:47 Le rouge. D'accord.
33:49 Je sens que vous êtes en train d'aller vers une évolution.
33:53 Il y a un changement qui s'est déjà installé à ce jour.
33:57 C'est-à-dire que même si aujourd'hui vous n'avez pas les résultats dans sa totalité,
34:02 mais il y a quand même une progression chez vous qui est en train de se mettre en place et qui est en train de se faire.
34:07 Alors, je comprends que pour vous, vous ne vous sentez pas reconnu par ces petits jobs ou ces petits boulots dans lesquels vous êtes investi.
34:17 Mais vous verrez que d'ici, je dirais une période d'un an, mais je crois moins d'un an,
34:25 vous allez trouver une stabilité, vous allez trouver un travail qui va vous permettre d'avoir de la valeur, de la reconnaissance
34:32 et sur lequel on va carrément vous donner de la responsabilité.
34:37 Je pense que pour vous, ce qui vous convient, c'est de pouvoir travailler de manière très autonome, très indépendante,
34:44 tout en étant peut-être un salarié.
34:47 Mais j'ai l'impression que vous avez cette capacité à vous gérer, à être, je dirais, un peu votre propre patron.
34:54 Est-ce que c'est le cas ?
34:57 Alors, effectivement, lorsque j'étais dans la région Nord-Est, je travaillais en toute indépendance, même si j'étais salariée.
35:09 Je vous l'avoue.
35:11 Et je crois que c'est dans ce genre de statut, d'activité, où vous pouvez vous réaliser, vous pouvez vous sentir reconnu et vous épanouir.
35:19 Et ça va arriver. Et vous verrez que vous aurez la chance de trouver peut-être une petite PME
35:25 où ils ont besoin d'une personne comme vous qui aura cette capacité, qui sera à même de pouvoir se responsabiliser tout seul.
35:34 Et je vous sens être épanoui dans ce travail-là.
35:38 Donc ça va arriver dans moins d'un an. Persévérez, persévérez. Les choses sont en train déjà de se mettre en place.
35:43 On vous le souhaite, Inès. Merci d'avoir été avec nous sur ce radio.
35:46 Merci à vous. A bientôt. A bientôt, au revoir.
35:49 Allez, venez nous rejoindre vous aussi. 0800 26 300 300. On se retrouve dans quelques minutes.
35:53 Sud Radio, c'est votre avenir. Trina Magdine, Alexandre Delevanne.
35:58 De retour pour la dernière partie de "C'est votre avenir". Vous pouvez encore nous appeler, bien sûr. 0800 26 300 300.
36:04 C'est le numéro du standard pour poser toutes vos questions à notre coach intuitif, Alexandre.
36:09 Comme Eric. Bonjour, Eric.
36:11 Bonjour, Trina.
36:12 Bienvenue, Eric.
36:13 Merci. Et bonjour, Alexandre aussi.
36:16 Bonjour.
36:17 Alors, vous êtes en conflit avec votre fille, c'est ça ?
36:20 Oui, et bien contre mon gré d'ailleurs.
36:22 Alors, pour résumer un tout petit peu, avec ma fille, on s'était perdu de vue quand elle avait 18 ans
36:30 parce qu'elle avait quitté le domicile un peu avec fracas. On s'est retrouvés après quand j'ai divorcé avec sa mère.
36:35 Oui.
36:36 On a renoué de très, très bons contacts. Parfait. Et puis un jour, je rencontre une nouvelle compagne,
36:43 ce qu'elle m'avait d'ailleurs déjà annoncé, Alexandre, il y a deux ans.
36:47 D'accord.
36:48 Donc, je ne me suis pas trompé.
36:49 Très bien. Passage.
36:51 Et puis, avec cette compagne, effectivement, ça va très bien. L'année dernière, elle a passé une semaine chez ma fille
36:59 qui venait de déménager dans un nouveau logement pour l'aider. Jusque là, tout se passait très bien.
37:04 On était allés les voir plusieurs fois. Elle s'est même confiée à elle l'été dernier.
37:09 Moi, je les ai rejoints à la fin de la semaine à cause du travail. Tout allait bien jusqu'à un petit peu après les vacances.
37:18 Ma compagne a peut-être eu un petit moment malheureux. Enfin, malheureux, pas tellement. Elle était indiscrète simplement
37:25 parce qu'au niveau de la famille, elle avait révélé peut-être des choses que ma fille n'aurait pas souhaitées
37:30 sur la naissance d'un enfant probable en Fabrique.
37:34 D'accord.
37:35 Et puis, bon, les contacts sont quand même là. Et juste avant Noël, au mois de novembre, je lui annonce qu'on doit se marier.
37:43 Et là, c'est fini. Je ne veux plus de contacts. Je ne veux plus rien. Je ne veux plus de voir.
37:49 Et j'étais en colère avec elle parce que d'ailleurs, à ce titre, elle en a envoyé un message incendiaire à ma compagne
37:55 qui s'est totalement justifié. Très agressif. Et voilà. Donc, j'ai pu son nom au téléphone. Enfin, j'ai pu.
38:05 Elle m'a bloqué partout.
38:07 Ah oui. D'accord.
38:09 Elle m'a bloqué sur le téléphone. Elle m'a bloqué sur Facebook. Enfin, bon, voilà.
38:13 Comme elle habite La Rochelle et moi dans le Puy-de-Dôme, voilà.
38:17 Oui, c'est compliqué.
38:18 Oui, voilà.
38:19 Et le mariage est prévu pour ?
38:21 Alors, le mariage, il sera prévu pour l'année prochaine. On ne sait pas encore vraiment maintenant dans quelle circonstance.
38:26 Au départ, on pensait faire une grande fête parce qu'on voulait partager ce bonheur avec tout le monde, avec le maximum de famille.
38:31 Mais maintenant, si ma fille ne vient pas, je ne sais pas. Peut-être qu'on fera quelque chose d'intime.
38:37 Je ne sais pas. Mais c'est prévu pour l'année prochaine.
38:40 D'accord. Alexandre, selon vous, est-ce que le lien peut reprendre ?
38:45 Ça va être un peu compliqué. Ça va être un peu compliqué. En tous les cas, je crois que ce n'est pas la période pour justement espérer un climat serein et bénéfique dans ce sens-là.
38:56 Et d'autant plus que vous êtes dans une période heureuse avec votre compagne de mariage.
39:03 Peut-être qu'il faut faire attention pour ne pas, je dirais, gâcher aussi ce moment-là.
39:09 Alors, quand je parle de gâcher, bien entendu, je le dis avec beaucoup de pudeur et de respect vis-à-vis de votre vie et de votre famille.
39:18 Mais en ce qui concerne votre fille, je crois vraiment qu'elle a du mal à accepter les propos de votre compagne qui ont été dit auparavant.
39:33 Mais il y a une chose, vous avez aussi un autre enfant.
39:37 Oui, et là, ça se passe bien avec lui ?
39:41 Parfait, très très bien.
39:43 Alors, c'est pour ça. Je vous parle de ça parce que j'ai l'impression qu'il y aura la possibilité de bien communiquer avec votre fils.
39:50 Et peut-être, lui, il jouera cet intermédiaire où à un moment donné, il y aura de l'information qui va vous permettre de retrouver un lien avec votre fille.
40:00 Mais ça se fera avec du temps. Et là, pour l'instant, pensez à votre bonheur.
40:05 Donc, on est ravis si vous avez rencontré cette personne.
40:08 Oui, pour le mariage.
40:09 Vous êtes sûr de ce mariage ?
40:12 Ah oui, oui, oui, oui, oui.
40:14 Vous êtes certain ?
40:15 Oui, oui, absolument. Pourquoi ?
40:17 Non, non, je plaisante.
40:19 Vous avez dû faire peur, Alexandre.
40:20 Non, puisque je vous l'ai prédit il y a deux ans, apparemment.
40:22 Oui, oui, on est en contre.
40:24 Vous ne m'aviez pas prédit le mariage, vous m'aviez prédit cette rencontre.
40:27 Et vous m'avez dit que vous verriez, vous allez rencontrer quelqu'un qui prendra soin de vous.
40:31 Et alors, extraordinaire, parce que c'est exactement comme ça que ça s'est passé.
40:37 Eh bien, tant mieux.
40:38 Bon, mais super. Vous êtes un homme heureux, alors.
40:40 Oui, c'est ça.
40:41 Mais ne vous inquiétez pas, dans l'inconscient, les choses vont se rétablir avec votre fille.
40:46 Et il faut juste laisser ce temps se faire.
40:49 Merci beaucoup, Eric, d'avoir été avec nous sur Cidradio.
40:53 A bientôt.
40:54 A bientôt, au revoir.
40:55 Merci, Alexandre. Rendez-vous demain ?
40:57 Oui.
40:58 Et demain, on verra comment rédiger des lettres de commande à l'univers.
41:01 Bonsoir, mon cher Rédéric Brindel.
41:03 Bonsoir. Alors, je n'ai pas prévu de me marier aujourd'hui, moi.
41:06 Ce n'est pas dans votre lettre de commande, ça ?
41:08 Non, d'autant que ma duétiste n'est pas là, Cécile Doménibus.
41:12 Alors, elle est un peu souffrante.
41:13 Ah, zut.
41:14 Un petit peu souffrante.
41:15 On pense à elle, alors.
41:16 Donc, évidemment, je pense qu'elle nous écoute, nous l'embrassons.
41:18 Elle m'a aidé à préparer cette émission qui va être, on va le dire, assez musclée.
41:23 Bon.
41:24 17h30.
41:25 Aujourd'hui, c'est la journée de mobilisation, évidemment, les manifestations un petit peu partout.
41:30 Deux rendez-vous importants.
41:32 17h30, action musclée.
41:34 Vous savez que ça concerne les déchets, l'électricité, les transports, etc.
41:38 Les syndicalistes se trompent-ils de cible ?
41:41 Nous posons la question.
41:42 C'est un peu provocateur, hein ?
41:43 Oui.
41:44 Mais on est là pour ça.
41:45 Ah oui, c'est le but.
41:46 Bien sûr.
41:47 18h30.
41:48 Beaucoup de choses se seront passées, puisque vous le savez, les défilés se passent en ce moment même.
41:52 Le vote aussi de la commission mixte paritaire, enfin on va dire l'objectif.
41:57 Nous tranchons ces 14 parlementaires qui sont au travail.
42:02 Vers 18h30, ils auront terminé.
42:04 Vers 18h30, on pourra faire un point de cette journée.
42:06 La journée de mobilisation aura-t-elle servi à quelque chose ?
42:09 C'est la question que nous posons.
42:11 Vous allez sur le compte Twitter de Sud Radio, vous répondez à ces questions.
42:15 Vous voulez que je vous dise nos vraies voix ?
42:16 Avec grand plaisir.
42:18 J'ai Olivier Dardigolle, j'ai Elisabeth Lévy et Philippe Bidjerre.
42:23 Ça promet du débat animé.
42:25 Débat animé musclé, vraie voix musclée.
42:28 Il ne me reste qu'à mettre votre beau blouson Trina, qui est magnifique et qui est plutôt rock'n'roll.
42:35 Et j'aime ça.
42:36 C'est très bien.
42:37 A tout de suite.

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