Stéphane Simon : «On a une classe politique qui aujourd'hui est plus attirée par le clientélisme de certaines minorités»

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L'auteur Stéphane Simon déplore les décisions du gouvernement concernant la réforme des retraites. Il dénonce une confiscation de l'opinion majoritaire d'un côté et des minorités de plus en plus agissantes de l'autre.

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00:00 - Je vous observe souvent, ici, vous êtes soucieux du bien commun et de l'intérêt général.

00:05 Or, on a une classe politique, quand même, on a une classe politique qui est plus, aujourd'hui,

00:10 attirée par le clientélisme de certaines minorités, et qui se soucie assez peu de l'intérêt général.

00:16 Et j'en veux pour démonstration, simplement, le fait qu'on ait totalement confisqué ce pour quoi se battaient,

00:22 par exemple, les Gilets jaunes, c'est-à-dire l'idée du référendum. Plus de référendum depuis 2005.

00:27 La dernière fois qu'on a fait un référendum, on n'en a pas tenu compte, c'était en 2005.

00:31 Il y a eu, après, sur le plan local, Notre-Dame-des-Landes, où, là encore, on n'a pas écouté les référendums.

00:37 Donc, vous avez, d'un côté, confiscation de l'opinion majoritaire, et, de l'autre côté, des minorités qui sont de plus en plus agissantes.

00:46 [Musique]

00:49 [Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org]

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