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  • 14/02/2023

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Transcription
00:00 Bien sûr qu'il faut que l'homme paye l'addition.
00:01 Moi je connais plein de mecs qui ne sont pas du tout féministes
00:03 et au moment de payer l'addition, ça s'ensemble en fémen,
00:04 les mecs ils veulent absolument que ce soit la femme qui les invite.
00:06 Le pire, c'est de partager l'addition.
00:08 Et le summum du gros rat d'égout,
00:10 c'est de compter ce que chacun a pris au centime.
00:11 - Oh la la !
00:13 - C'est l'enfer.
00:13 - Ça je sais, ça je sais, je sais qu'il y en a qui le font ici.
00:16 Je ne donnerai pas les noms.
00:18 Un petit indice, il était en retard.
00:22 Un indice pour les téléspectateurs, il était en retard.
00:25 Gilles Verdet.
00:25 - Moi je ne suis pas du tout moderne là-dessus effectivement.
00:28 Je paye, je ne peux pas imaginer autrement.
00:30 Parce que si c'était autrement,
00:31 je ne pourrais pas manger ce que j'ai envie de manger.
00:33 Je me restreindrais, c'est impossible pour moi.
00:37 - Donc tu considères que la femme est soumise à l'addition ?
00:40 - Non, non, je n'ai pas dit ça.
00:40 Je dis que je ne suis pas moderne là-dessus et je le reconnais.
00:42 Pour moi, c'est l'homme qui paye et voilà, c'est ce que je suis là.
00:45 - Non mais pas du tout.
00:47 - Bah si.
00:47 - Pas le jour de la cécimate.
00:48 - Bah oui, c'est ce que ça veut dire aujourd'hui quand même.
00:51 - C'est ce que tu as l'air de dire.
00:52 - En fait, de toute façon, tu veux t'embrouiller avec quelqu'un tous les jours.
00:55 - Et c'est tout le temps moi en plus.
00:56 - Je suis en train de le rechauffer lui.
00:57 - Qu'est-ce que tu as envie de lui dire ?
00:58 - Lui, je le rechauffe parce que toi hier, on a failli se battre
01:01 et je me suis dit que je ne suis pas sûr de serre gagnant.
01:04 Gilles, sur les probas, je suis meilleur.
01:06 Alors nous, c'est un peu différent
01:07 parce que je dîne rarement à la Saint-Valentin avec une fille.
01:10 Pour des raisons...
01:10 - Mais pour quelles raisons ?
01:11 - Alors, pour...
01:13 - Est-ce que tu es sûr ?
01:15 - Nous, chez les personnes différentes, on a une règle un peu.
01:19 C'est celui, en gros, qui a le plus d'argent qui paye.
01:21 - Ah bon ?
01:21 - Ah d'accord.
01:22 - Donc tu payes souvent ?
01:23 - Très honnêtement, oui.
01:24 Je reconnais que très honnêtement, oui.
01:26 Mais...
01:27 - Mais comment vous le savez ?
01:28 - C'est bizarre quand même.
01:28 - Comment tu le sais ?
01:30 - Quand il se présente, il montre sa fille.
01:31 - Mais tu dois l'être.
01:32 - Non, mais tu sais à peu près que si le mec, il est vendeur chez Orange Télécom,
01:36 tu gagnes plus d'argent que lui.
01:38 Et que s'il est animateur sur TPMP...
01:41 - Tu sors beaucoup avec des vendeurs Orange de France Télécom ?
01:43 - Non, mais c'est un...
01:45 Peut-être ce soir.
01:46 - Ah !
01:47 - Moi, je faisais un truc avec un pote.
01:50 Je disais...
01:50 Précipitément, je me levais, je disais "Paye, je t'expliquerai".
01:54 Tu vois, je sortais.
01:55 Et lui, il sortait, il me dit "Alors, bah, j'ai l'heure de te payer, quoi".
01:58 - C'est pas mal.
02:03 C'est pas mal.
02:06 Oui, Sophie ?
02:06 - J'ai une blague sur ça.
02:07 - Non, mais moi, je trouve que pour la Saint-Valentin, puisque c'est ça, le contexte,
02:11 je trouve que c'est bien d'être un peu à l'ancienne, comme Gilles.
02:13 Ça fait plaisir.
02:14 - Vous faites quoi, vous, pour la Saint-Valentin, ce soir ?
02:15 - Moi, je fais rien.
02:16 - Quoi, y a pas un Valentin ?
02:17 - R.
02:18 - R.
02:19 - Rien.
02:19 - R.
02:20 Naufrage, désastre, voulez tout le champ lexical de ma vie sentimentale.
02:23 - Non, non, c'est rien.
02:24 Quoi, y a pas un bail ?
02:25 - Y a zéro bail.
02:26 - Y a pas un mec qui te chauffe sur la table ?
02:28 Je dis comme t'es.
02:28 - Eh, rendez compte, on est au même plan.
02:30 C'est ça.
02:31 (Rires)
02:32 (Applaudissements)
02:37 - C'est faux, hein ?
02:38 (Rires)
02:39 (Applaudissements)
02:42 - C'est vrai, elle a raison.
02:43 - Bravo, Daniel.
02:44 - Elle a raison, c'est incroyable.
02:45 Non, mais Sophie, quoi, y a pas un...
02:46 - Non, peut-être qu'elle a pas envie.
02:47 - Non, non, non, elle a envie.
02:48 - Peut-être qu'elle est dans une période où elle a envie d'être seule.
02:50 - T'as l'air, Julie, qu'est-ce que t'es jolie, elle m'a dit, tu ressembles à mon chien.
02:53 (Rires)
02:54 - C'est vrai ?
02:55 - C'est vrai, c'est vrai.
02:56 C'est ce qu'elle a dit, en plus.
02:57 C'est vrai que c'est ce qu'elle a dit.
02:58 - C'est incroyable.
02:59 - C'est incroyable.
03:00 - Ah, vas-y.
03:01 - Ça, c'est un mec, il est avec son copain, son pote, il lui dit, écoute, comment tu fais
03:05 à chaque fois qu'on va dans un restaurant, tu manges gratuitement ?
03:07 Il dit, c'est très simple, je mets un cafard dans ma poche, à la fin, quand j'ai bien mangé,
03:12 je demande une soupe et je mets le cafard dans la soupe et là, je m'indigne.
03:15 Regarde, alors il mange, il finit, il demande une soupe, il ramène, il met le cafard dans
03:19 la soupe et là, il crie, c'est quoi, c'est un scandale, y a un cafard dans la soupe.
03:23 Le mec du restaurant, il dit, vous inquiétez pas, monsieur, vous êtes...
03:26 Non, non, pas de scandale, vous êtes invité, excusez-nous, ça arrive.
03:29 Donc, il dit, mais c'est chanmé, moi, demain, j'ai rendez-vous avec ma meuf, t'as pas un cafard ?
03:33 Il dit, si, j'ai un cafard.
03:34 Je lui donne un cafard, il dit, va, il mange avec sa femme et quand il finit de manger,
03:37 y a une addition de 2 000 euros, il dit, mais donnez-moi une soupe, s'il vous plaît.
03:40 Il dit, ah, excusez-nous, ici, on fait pas de soupe.
03:43 Il dit, ben, je le mets où, mon cafard ?
03:45 (Rires)
03:50 (Applaudissements)
03:51 [Musique]

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