Iran: Le réalisateur Jafar Panahi proteste contre sa détention avec "ce qui est le plus cher, sa vie
- l’année dernière
#réalisateur #détention #proteste #culture
https://gotopnews.com/post/1669414
Le cinéaste Jafar Panahi, détenu à la prison d'Evin depuis le 20 juillet, a décidé commencer une grève la faim le mercredi 1er février, afin protester contre les conditions illégales sa détention et ce qu'il décrit inspire particulièrement "prise d'otages". Il a ditIl refuserait maintenant manger et de boire "toute la nourriture et tout médicament jusqu'au moment libération". "Je continuerai même si c'est mon corps sans vie qui sortira de la prison", a-t-il poursuivi. C'est son épouse, Tahereh Saeidi, qui a annoncé sa grève la faim en publiant un communiqué de presse lui sur sa page Instagram., ainsi que «la capitulation finale des autorités judiciaires» devant elle, «masques simples pour la répression». Un nouveau procès Le 20 juillet 2022, avant la prison d'Evin, il était venu protester avec un groupe cinéastes contre l'arrestation deux ses collègues, Mostafa Al Ahmad et Mohammad Rasoulof - sorti pendant deux semaines le 12 janvier en raison Hishealth. Le cinéaste avait euPuis a été arrêté et emprisonné pour l'exécution d'une peine qui avait été prononcée contre lui en 2010. "Cette arrestation ressemblait davantage à un enlèvement ou à une otage-promenade qu'à l'exécution d'une peine judiciaire", a déclaré Jafar Panahi. Pour lire également en Iran, les cinéastes sous surveillance Le directeur révèle également que les autorités judiciaires l'ont soumise entre-temps à un nouveau procès devant la Cour suprême, la plus haute autorité en matière de affaires judiciaires, le 15 octobre 2022. Mais même dans cette affaire, il devrait lui avoir été libéré en vertu de la libération sousBail en attendant son jugement. "Aujourd'hui, comme beaucoup de gens pris au piège en Iran, je n'ai pas d'autre choix que de protester contre ces comportements inhumains avec ce que j'ai le plus cher, c'est-à-dire ma vie", explique-t-il. Son dernier film "Aucun Bear", Prix spécial du jury à Venise L'adversaire a déclaré au régime, condamné en 2010 ne plus faire film, ni à quitter son pays, le directeur Taxi Téhéran et trois visages n'avait continué se cacher au cours ses dernières années, refusant quitter soncountry. Son dernier film,Aucun Bear, tourné dans des conditions acrobatiques entre l'Iran et la Turquie, s'interrogeait sur la question de l'exil. Sélectionnée lors de la dernière Venise Mostra, il y a remporté le prix spécial du jury. Son arrestation en juillet, avant même le début des mouvements de protestation en Iran, avait suscité l'indignation de communauté internationale, mais la mobilisation pour libérer progressivement.Les Iraniens qui contestent le régime sont condamnés.
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Le cinéaste Jafar Panahi, détenu à la prison d'Evin depuis le 20 juillet, a décidé commencer une grève la faim le mercredi 1er février, afin protester contre les conditions illégales sa détention et ce qu'il décrit inspire particulièrement "prise d'otages". Il a ditIl refuserait maintenant manger et de boire "toute la nourriture et tout médicament jusqu'au moment libération". "Je continuerai même si c'est mon corps sans vie qui sortira de la prison", a-t-il poursuivi. C'est son épouse, Tahereh Saeidi, qui a annoncé sa grève la faim en publiant un communiqué de presse lui sur sa page Instagram., ainsi que «la capitulation finale des autorités judiciaires» devant elle, «masques simples pour la répression». Un nouveau procès Le 20 juillet 2022, avant la prison d'Evin, il était venu protester avec un groupe cinéastes contre l'arrestation deux ses collègues, Mostafa Al Ahmad et Mohammad Rasoulof - sorti pendant deux semaines le 12 janvier en raison Hishealth. Le cinéaste avait euPuis a été arrêté et emprisonné pour l'exécution d'une peine qui avait été prononcée contre lui en 2010. "Cette arrestation ressemblait davantage à un enlèvement ou à une otage-promenade qu'à l'exécution d'une peine judiciaire", a déclaré Jafar Panahi. Pour lire également en Iran, les cinéastes sous surveillance Le directeur révèle également que les autorités judiciaires l'ont soumise entre-temps à un nouveau procès devant la Cour suprême, la plus haute autorité en matière de affaires judiciaires, le 15 octobre 2022. Mais même dans cette affaire, il devrait lui avoir été libéré en vertu de la libération sousBail en attendant son jugement. "Aujourd'hui, comme beaucoup de gens pris au piège en Iran, je n'ai pas d'autre choix que de protester contre ces comportements inhumains avec ce que j'ai le plus cher, c'est-à-dire ma vie", explique-t-il. Son dernier film "Aucun Bear", Prix spécial du jury à Venise L'adversaire a déclaré au régime, condamné en 2010 ne plus faire film, ni à quitter son pays, le directeur Taxi Téhéran et trois visages n'avait continué se cacher au cours ses dernières années, refusant quitter soncountry. Son dernier film,Aucun Bear, tourné dans des conditions acrobatiques entre l'Iran et la Turquie, s'interrogeait sur la question de l'exil. Sélectionnée lors de la dernière Venise Mostra, il y a remporté le prix spécial du jury. Son arrestation en juillet, avant même le début des mouvements de protestation en Iran, avait suscité l'indignation de communauté internationale, mais la mobilisation pour libérer progressivement.Les Iraniens qui contestent le régime sont condamnés.