Harry, le vilain petit canard des Windsor ? Si l'image paraît réductrice, elle est pourtant largement admise dans l'opinion publique, au grand dam de l'intéressé. Il faut dire que face à la figure intouchable du premier de la classe – le prince William –, la presse ne s'est pas gênée pour brocarder le cadet, en pointant du doigt régulièrement ses dérapages d'ado : Harry le skinhead – quand il s'était rasé la tête –, Harry le nazi – lors d'une fameuse soirée costumée –, Harry le drogué – quand il a commencé à fumer des joints… Une fois adulte, l'étiquette est restée, elle n'a même jamais cessé de grossir jusqu'à l'acte de rébellion extrême, quand le duc de Sussex a rompu ses liens avec la famille royale.