Nantes-OM : Tavares fait la différence, les notes et appréciations des Olympiens
  • l’année dernière
Poussé par d’inattendus supporters, l’OM l’a logiquement emporté 0-2 ce mercredi soir à Nantes, a repris sa marche en avant et continue de rêver.

Comme après chaque rencontre, découvrez les notes et appréciations des Olympiens.

Dans la lumière

Tavares : d’abord positionné en piston droit, comme en deuxième période contre Monaco (1-1), le Portugais a retrouvé des couleurs quand il a été replacé à gauche, juste après l’entrée de Jonathan Clauss (57). C’est d’ailleurs sur son premier ballon qu’il fait la différence, en rentrant sur son pied droit et en s’infiltrant dans l’axe, avant de servir Cengiz Ünder et de voir Joao Victor marquer contre son camp (58).

Balerdi : intéressant en première période, l’Argentin a encore répondu présent en défense. Autoritaire, il a tenu la baraque sur la fin quand le FCN se faisait pressant. Seul bémol, il a récolté un carton jaune et sera donc suspendu pour la réception du PSG en 8es de finale de coupe de France.

Gigot : l’Avignonnais ne fait pas de fioritures. Solide dans les duels, il répond présent sur tous les impacts, quitte à prendre un grand nombre de coups. Il n’hésite pas non plus à apporter le surnombre dans la surface adverse.

Dans le rang

Ünder : préféré à Matteo Guendouzi au coup d’envoi en soutien de Sanchez, l’international turc n’a pas eu le même rendement que lors de ses précédentes sorties. Brouillon, ayant du mal à combiner avec Nuno Tavares, il s’est illustré avec une piètre qualité sur les coups de pied arrêtés, où quasiment tous ses corners rentrants ont fini dans les bras d’Alban Lafont. Mais il a tout de même réussi à être impliqué sur le but marseillais (58), en faisant un bon appel et en mettant la pression sur Joao Victor, buteur contre son camp.

Dans l'ombre

Malinovskyi : pour sa troisième titularisation, l’Ukrainien a soufflé le chaud, et surtout le froid. Il a alerté Alban Lafont sur une frappe à ras de terre, plein axe, captée en deux temps (24), puis sur un coup franc puissant tiré de sa patte gauche, mais à côté (28). C’est à peu près tout à mettre à son crédit car il a surtout enchaîné les pertes de balles et les mauvais choix, à l’image du contre où il tarde tout à la fois à servir son partenaire et à tirer (32). Il lui faut encore du temps pour se mettre au diapason de ses partenaires. Averti pour une faute sur Sissoko (17), il a cédé sa place à Matteo Guendouzi (57).
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