Ghazal Firouzi, atteinte de nanisme : "J’ai toujours voulu être maman mais il y a une chance sur deux que je transmette ma pathologie"
  • l’année dernière
Changer le regard sur le handicap et transmettre un message fort en faveur de l’inclusion, c’est l’ambition de "Différent.e.s". Pour l’incarner, qui mieux que Salim Ejnaïni : cavalier de Jumping, sportif, conférencier, entrepreneur… et non-voyant ? Comment vit-on avec une "différence", comment apprend-on à s'accepter soi et à accepter le regard de l'autre ? Parcours cabossés, destins contrariés et incroyables leçons de vie : Salim Ejnaïni recueille les témoignages de nos invités extra-ordinaires. Des histoires fortes et inspirantes autour de la résilience et du vivre-ensemble…Atteinte d’une forme de nanisme, Ghazal Firouzi mesure 1m10, une taille avec laquelle elle a dû apprendre à composer. Pour Yahoo, la jeune femme de 24 ans a accepté de parler de son handicap afin de briser le tabou autour de sa pathologie. Déterminée à libérer la parole, elle s’est notamment confiée sur son envie de maternité, un projet qui pourrait se heurter à certains obstacles.Reconnu comme une maladie génétique rare, le nanisme concerne environ 400 naissances par an. La pseudoachondroplasie, dont est atteinte Ghazal, est une anomalie du développement osseux. Elle est caractérisée par un ralentissement sévère de la croissance associé à des déformations telles qu'une incurvation des membres inférieurs et une hyperlordose.
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