L'homme soupçonné d'avoir empoisonné sa femme à Mercure est décédé en prison
- l’année dernière
#L #hommesuspecté #avoir
https://gotopnews.com/post/1611453
L'homme soupçonné d'avoir empoisonné Mercury, son ex-partenaire est décédé ce dimanche dans sa cellule dans la prison la santé.Les informations, révélées par le site de l'ACTU 17, ont été confirmées par le bureau du procureur Paris. Une enquête pour rechercher les causes du décès a été confiée àLe 3e district de la police judiciaire parisienne. L'hafide B., 50ont essayé d'ouvrir ses veines.de ses deux filles. Coupé jeudi 26 janvier dans le contexte la détention pré-provenante, Hafid B. avait été placé en garde à vue deux jours plus tôt, puis inculpé d'empoisonnement avec préméditation, un crime susceptible de perpétuité.faisait partie d'un contexte séparation non acceptée semble être par conjoint. Il avait lui-même informé les médecins Quelques mois après avoir quitté son compagnon, le père de ses deux enfants, Catherine D., 4615, cet entrepreneur spécialisé dans la vente de vêtements tamponnés "biologiques" avait alors fait l'objet d'une batterie d'examens médicaux. Dans le même temps, l'administration l'hôpital a reçu une série de messages son ex-companion qui suggérait l'existence d'un empoisonnement au mercure. L'hypothèse qui aurait perçu la profession médicale perplexe avant les analyses toxicologiques des années quarante.a révélé la présence de mercure dans des proportions très élevées, conformément aux indications de son ex-companion. Après un rapport de l'hôpital avec le système judiciaire, une enquête avait été ouverte par le procureur de Paris et confiée à la brigade pénale.CatherineD. est décédé quelques jours plus tard, le 19 janvier. Un chat mort au réfrigérateur
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L'homme soupçonné d'avoir empoisonné Mercury, son ex-partenaire est décédé ce dimanche dans sa cellule dans la prison la santé.Les informations, révélées par le site de l'ACTU 17, ont été confirmées par le bureau du procureur Paris. Une enquête pour rechercher les causes du décès a été confiée àLe 3e district de la police judiciaire parisienne. L'hafide B., 50ont essayé d'ouvrir ses veines.de ses deux filles. Coupé jeudi 26 janvier dans le contexte la détention pré-provenante, Hafid B. avait été placé en garde à vue deux jours plus tôt, puis inculpé d'empoisonnement avec préméditation, un crime susceptible de perpétuité.faisait partie d'un contexte séparation non acceptée semble être par conjoint. Il avait lui-même informé les médecins Quelques mois après avoir quitté son compagnon, le père de ses deux enfants, Catherine D., 4615, cet entrepreneur spécialisé dans la vente de vêtements tamponnés "biologiques" avait alors fait l'objet d'une batterie d'examens médicaux. Dans le même temps, l'administration l'hôpital a reçu une série de messages son ex-companion qui suggérait l'existence d'un empoisonnement au mercure. L'hypothèse qui aurait perçu la profession médicale perplexe avant les analyses toxicologiques des années quarante.a révélé la présence de mercure dans des proportions très élevées, conformément aux indications de son ex-companion. Après un rapport de l'hôpital avec le système judiciaire, une enquête avait été ouverte par le procureur de Paris et confiée à la brigade pénale.CatherineD. est décédé quelques jours plus tard, le 19 janvier. Un chat mort au réfrigérateur