#Quepassetil #exactementIran #Lorsque
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Réseaux sociaux: Méfiez-vous des fausses nouvelles! Des sources d'informations classiques, telles que correspondants, les envoyés spéciaux, agences, s'étant séchées ... restent, réseaux sociaux. Mais quelle crédibilité donner aux vidéos et aux témoignages circulant sur Facebook, Instagram ou Twitter, et dont la source, la date etLe lieu d'origine est souvent inconnu? Une source éclairée, mais souhaitant rester anonyme, nous a expliqué que des groupes d'opposition iraniens basés à l'étranger n'ont pas hésité à faire circuler des vidéos manifestations datant il y a plusieurs années, en les passant pour les images actuelles, afin de donnerPlus d'ampleur au mouvement protestation anti-régime. Ce type de «faux» devient de plus en plus fréquent sur les réseaux sociaux. Et non seulement en Iran.Les téléphones, relayés à la chaîne sur des plates-formes comme Facebook, WhatsApp Ortwitter, sans aucune source, ni place ni date, mentionnée. «Les agences de presse internationales ont des services compétents pour déchiffrer les images amateurs qui circulent sur Internet, explique aurélie Didier.Ces agences. Et nous nous abstenons d'utiliser les autres circulant sur les réseaux sociaux, même lorsqu'ils sont partagés par des collègues d'autres médias jugés crédibles. " En parallèle, le rédacteur en chef a commencé à former ses propres équipes dans l'analyse et le décryptage des images circulant sur Internet, mais ce travail à long terme n'est malheureusement pas d'une grande aide pour couvrir les nouvelles quotidiennes.